Pour les Superviseurs les informations sont les suivantes.
Profession: Superviseur
Niveau: DAS - MAS
Durée: 2 et demi - 3 ans / de 6000 - à 12000.-
Conditions d'entrée en formation: dépend du diplôme : voir les liens des écoles ci-joints:
Ecoles:
CEFOC (HETS)
HEP Bejune (Berne Jura Neuchâtel)
Association: ARS (Association romande des superviseurs)
association suisse romande de supervision pastorale
Fiche d'orientation: Fiche de description
Vous trouverez toutes les informations sur la profession de superviseur et la supervision professionnelle à l'adresse http://www.superviseurs.ch/index.html , bonne visite autrement du site Educh.ch, si vous avez une question n'hésitez pas.
Les formations offertes par Bejune : http://www.hep-bejune.ch/formations/formations-hep-bejune
Voir aussi le CAS de Superviseur dans les équipes et institutions
http://www.ies-geneve.ch/Cefoc/PresentationSession.php?to=1.2.7&coursId=11&Back=catalogue
La supervision est un acte de formation de base ou continue, composé concrètement d’une série d’entretiens entre un professionnel (la supervisée ou le supervisé) et un autre professionnel spécialement formé à cet effet (la superviseuse ou le superviseur). Les entretiens peuvent se faire individuellement ou en groupe restreint. Le processus de supervision, qui fait l’objet d’un contrat, comprend en général 20 entretiens de 90 minutes ou 30 entretiens de 60 minutes, répartis régulièrement sur une période déterminée.
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La formation de superviseuses et superviseurs
Dossier d’information
DAS - Superviseur-e-s dans le domaine de l’action sociale & psychosociale |
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40 ECTS |
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Formation en cours Ce cours postgrade HES-SO prépare à l’exercice d’une fonction de superviseur-e. La formation vise l’acquisition de connaissances et de compétences pour réaliser des supervisions individuelles et en petits groupes, à la demande d’étudiant-e-s ou de professionnel-le-s. La formation est destinée aux professionnel-le-s du travail social, aux ergothérapeutes, aux thérapeutes en psychomotricité et aux éducateurs et éducatrices du secteur de la Petite Enfance. |
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Objectifs & Contenus | |||||||||||||
Module A: construction identitaire et questionnement sur les pratiques professionnelles. |
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Supervision
Dossier d’information
Définition de la supervision
(Source: Association Romande des Superviseurs)
Un acte de formation
La supervision est un acte de formation de base ou continue, composé concrètement d’une série d’entretiens entre un professionnel (la supervisée ou le supervisé) et un autre professionnel spécialement formé à cet effet (la superviseuse ou le superviseur). Les entretiens peuvent se faire individuellement ou en groupe restreint. Le processus de supervision, qui fait l’objet d’un contrat, comprend en général 20 entretiens de 90 minutes ou 30 entretiens de 60 minutes, répartis régulièrement sur une période déterminée.
Les entretiens
Les entretiens portent sur des situations concrètes et actuelles de la vie professionnelle, vécues par la supervisée ou le supervisé. Ces situations sont tirées du champ professionnel. La vie privée de la supervisée ou du supervisé n’est pas l'objet de la supervision. La confidentialité est garantie.
Un processus
La supervision est une réflexion approfondie sur le vécu professionnel. Cette réflexion est plus qu’une analyse intellectuelle, elle est un effort de compréhension de la personne totale, intégrant les aspects cognitif, relationnel et émotionnel. Elle n’est pas une forme de thérapie. Elle est une confrontation personnelle de la supervisée ou du supervisé à son propre rôle professionnel.
Une finalité
L’objectif premier de la supervision ne consiste pas à résoudre des problèmes ni à donner des conseils. La supervisée ou le supervisé est accompagné-e dans une démarche qui vise à mieux comprendre et à améliorer son propre fonctionnement professionnel à tous les niveaux, en acquérant une plus grande lucidité sur l’ensemble des aspects personnels et institutionnels de son action professionnelle. Le but final de la supervision est, pour la supervisée ou le supervisé, une meilleure autonomie professionnelle.
Une déontologie
Les superviseuses et superviseurs s'engagent :
-
à préserver la confidentialité du processus ;
-
à se donner des moyens d’évaluation et de contrôle par rapport à leurs supervisions, notamment dans le cadre d'un groupe de référence
Caractéristiques et objectifs de la formation
Il s’agit d’une formation complémentaire qui prépare des enseignantes et enseignants, des éducatrices et éducateurs, des travailleuses et travailleurs sociaux à exercer une fonction de supervision auprès d'étudiantes et étudiants ou de professionnelles et de professionnels, au sens de la définition donnée plus haut.
La formation vise notamment à développer des compétences
-
personnelles :
-
se connaître soi-même, être capable d’écoute et d’évolution ;
-
-
relationnelles :
-
être capable de percevoir des situations relationnelles complexes et d’agir dans ces situations ;
-
-
professionnelles :
-
être capable de progresser dans sa profession, en lien avec ses pratiques et en fonction de l'évolution des sciences humaines ; – être capable d’élargir sa compréhension du contexte institutionnel et social.
-
Etre capable de formaliser des réflexions (mise en relation théorie-pratique) dans le cadre d'une recherche liée aux problématiques rencontrées ou étudiées lors de la formation en supervision.
-
Contenus de la formation
La méthodologie utilisée vise à l’intégration forte et simultanée des quatre domaines de formation.
I - Pratique de la supervision
Chaque superviseuse et superviseur en formation assure la conduite de trois supervisions en principe de 40 périodes chacune. La première supervision doit être individuelle.
II - Intégration théorie-pratique
Sous la responsabilité d'une formatrice ou d’un formateur, chaque étudiant-e participe à “un groupe de référence” pendant lequel elle-il construit son savoir-faire et sa méthodologie en liant théorie et pratique.
En fin de première année, une formalisation de la pratique sous forme écrite est exigée. En fin de seconde année, une réflexion sur un aspect théorique ou méthodologique lié à la supervision est demandée par écrit.
III - Théorie
Contenus théoriques spécifiques à la supervision (contrat, cadre, processus, ....) Ouvertures à différents courants psychologiques et pédagogiques d’aide, d’explicitation, dynamique des groupes, ...)
Espace relationnel entre superviseuse ou superviseur et supervisé-e-s, notamment communication verbale et non-verbale, Techniques d’entretien et d’animation des groupes (entretien aspects affectifs et émotionnels, ...)
Formation à la recherche dans le domaine de la supervision
IV - Mémoire professionnel
Lectures
Rédaction et soutenance du mémoire professionnel
Déroulement et durée
La formation se déroule sur 3 ans
1ère année | 2e année | 3e année | Total | |
Domaine 1
Pratique de la supervision |
40 périodes |
|
|
|
Domaine 2 Groupe de référence Formalisation de la pratique |
80 périodes 40 heures |
80 périodes 40 heures |
80 périodes 10 heures |
240 périodes 90 heures |
Domaine 3 Théorie |
100 périodes |
76 périodes |
64 périodes |
240 périodes |
Domaine 4 Aspects théoriques Lectures Rédaction et soutenance du mémoire |
16 périodes 20 heures |
28 périodes 20 heures |
16 périodes 20 heures 90 heures |
60 périodes 60 heures 90 heures |
Évaluation et validation de la formation
Une évaluation formative permanente a lieu durant la formation.
Au terme de chaque année, une validation formelle intervient. Elle portera sur la présence et l'atteinte des objectifs de la formation notamment la validation des travaux (acquisition des crédits ECTS).
La certification intervient à la fin de la 3ème année par la validation de chaque année de formation, par l'acceptation du mémoire professionnel, par la validation de la soutenance du mémoire.
Conditions d'admission à la formation
(Règlement concernant les critères d'admission R.16.8.2, art. 5 et 6).
Les personnes titulaires d'un diplôme d'enseignement, d'éducation spécialisée ou de travail social sont admissibles en vue de l'obtention d'un certificat de superviseuses ou superviseurs (une demande de reconnaissance de la formation complémentaire à la supervision auprès de la CDIP est en cours; cette formation pourrait déboucher sur un "Master of Advanced Studies HEP-BEJUNE in supervision).
Les personnes titulaires d'un titre reconnu équivalent par le Comité de direction sont admissibles.
Les candidates et candidats doivent pouvoir justifier d'une expérience pédagogique, éducative ou de travail social d'au moins 5 ans et d'une formation continue.
Les candidates et candidats doivent assumer une activité dans les domaines de l'enseignement, de l'éducation spécialisée ou du travail social.
Les candidates et candidats doivent avoir vécu, comme supervisée ou supervisé, une supervision professionnelle, individuelle, de 40 périodes attestée par une superviseuse ou un superviseur certifié(e) ou reconnu(e), et réalisée dans les 5 dernières années.
Les candidates et candidats doivent prendre l'engagement de principe de fonctionner comme superviseuse ou superviseur au terme de la formation et de participer à un groupe de référence.
Les candidates et candidats doivent avoir obtenu l'accord de leur employeur.
Les candidates et candidats participent à un entretien sélectif.
Procédure d'admission
L'admission se fera sur la base du dossier de candidature, et d'un entretien individuel. Le dossier doit être demandé à la plate-forme 3: formation continue, ou consulté sur le site.
Modalités d'inscription
Délai d'inscription: au 31 mai 2006 (Les candidats s'inscrivent au moyen du bulletin reçu sur demande).
La formation ne s'organise qu'à partir de 10 candidats. Le nombre de participants est fixé à un maximum de 14.
Finances
(Règlement concernant la formation de superviseuses et superviseurs, R.16.8.1 art. 12, 13 et 14) Il est perçu une taxe auprès des participantes et participants (en principe 7'000.- pour les 3 ans).
Le montant des écolages dus par les cantons ou par les participantes et participants des cantons non signataires du concordat est fixé conformément à l'article 40 du concordat HEP-BEJUNE.
Les autres frais tels que déplacements et subsistance, matériel et moyens d'enseignement, sont assumés par les participantes et participants.
Les participantes et participants ne perçoivent aucune indemnité pour les supervisions effectuées dans le cadre de leur formation.
Début de la formation
Août 2006
Lieux de la formation
Bienne ou La Chaux-de-Fonds
Demande des dossiers d'information et de candidature :
HEP-BEJUNE - Formation continue
Rue du 1er-Août 33
2300 La Chaux-de-Fonds
Tél 032 886 99 31/37
Josiane.Greub@hep-bejune.ch
www.hep-bejune.ch
Définition de la supervision
(Source : Association Romande des Superviseurs)
Un acte de formation
La supervision est un acte de formation de base ou continue, composé concrètement d’une série d’entretiens entre un professionnel (la supervisée ou le supervisé) et un autre professionnel spécialement formé à cet effet (la superviseuse ou le superviseur). Les entretiens peuvent se faire individuellement ou en groupe restreint. Le processus de supervision, qui fait l’objet d’un contrat, comprend en général 20 entretiens de 90 minutes ou 30 entretiens de 60 minutes, répartis régulièrement sur une période déterminée.
Les entretiens
Les entretiens portent sur des situations concrètes et actuelles de la vie professionnelle, vécues par la supervisée ou le supervisé. Ces situations sont tirées du champ professionnel. La vie privée de la supervisée ou du supervisé n’est pas l'objet de la supervision. La confidentialité est garantie.
Un processus
La supervision est une réflexion approfondie sur le vécu professionnel. Cette réflexion est plus qu’une analyse intellectuelle, elle est un effort de compréhension de la personne totale, intégrant les aspects cognitif, relationnel et émotionnel. Elle n’est pas une forme de thérapie. Elle est une confrontation personnelle de la supervisée ou du supervisé à son propre rôle professionnel.
Une finalité
L’objectif premier de la supervision ne consiste pas à résoudre des problèmes ni à donner des conseils. La supervisée ou le supervisé est accompagné-e dans une démarche qui vise à mieux comprendre et à améliorer son propre fonctionnement professionnel à tous les niveaux, en acquérant une plus grande lucidité sur l’ensemble des aspects personnels et institutionnels de son action professionnelle. Le but final de la supervision est, pour la supervisée ou le supervisé, une meilleure autonomie professionnelle.
Une déontologie
Les superviseuses et superviseurs s'engagent :
- à préserver la confidentialité du processus ;
-
à se donner des moyens d’évaluation et de contrôle par rapport à leurs supervisions, notamment dans le cadre d'un groupe de référence.
Caractéristiques et objectifs de la formation
Il s’agit d’une formation complémentaire qui prépare des enseignantes et enseignants à exercer une fonction de supervision auprès d'étudiantes et étudiants ou de professionnelles et de professionnels, au sens de la définition donnée plus haut.
La formation vise notamment à développer des compétences
personnelles :
- se connaître soi-même et être capable d’écoute et d’évolution ;
relationnelles :
-
être capable de percevoir des situations relationnelles complexes et d’agir dans ces situations ;
professionnelles :
-
être capable de progresser dans sa profession, en lien avec sa pratique de l’enseignement et en fonction de l'évolution des sciences humaines ;
-
être capable d’élargir sa compréhension du contexte institutionnel et social.
Contenus de la formation
La méthodologie utilisée vise à l’intégration forte et simultanée des quatre axes de formation décrits ci-dessous.
AXE I Pratique de la supervision (120 périodes)
Chaque superviseuse et superviseur en formation assure la conduite de trois supervisions en principe de 40 périodes chacune. La première supervision doit être individuelle.
AXE II Intégration théorie-pratique (240 périodes)
Sous la responsabilité d'une formatrice ou d’un formateur, chaque étudiant-e participe à « un groupe de référence » pendant lequel elle-il construit son savoir-faire et sa méthodologie en liant théorie et pratique.
AXE III Théorie (184 périodes)
- Contenus théoriques spécifiques à la supervision (contrat, cadre, processus, ....)
- Ouvertures à différents courants psychologiques et pédagogiques
- Techniques d’entretien et d’animation des groupes (entretien d’aide, d’explicitation, dynamique des groupes, ...)
- Espace relationnel entre superviseuse ou superviseur et supervisé-e-s, notamment communication verbale et non-verbale, aspects affectifs et émotionnels, ...
AXE IV Travaux personnels (116 périodes)
Lectures
Travaux écrits :
- au terme de la première année, compte-rendu et réflexions sur la première supervision ;
- au terme de la seconde année, réflexions sur un aspect méthodologique.
Déroulement et durée de la formation
La formation se déroule sur 3 ans.
PERIODES |
1ère année |
2ème année |
3ème année |
Total |
Supervision – axe I |
40 |
40 |
40 |
120 |
Groupe de référence – axe II |
80 |
80 |
80 |
240 |
Cours théoriques – axe III |
84 |
56 |
44 |
184 |
Travail personnel - axe IV |
|
|
|
116 |
Evaluation et validation de la formation
Une évaluation formative permanente a lieu durant la formation.
Au terme de chaque année, une validation formelle intervient. Elle porte sur les objectifs et contenus de la formation.
Conditions d'admission à la formation
(Règlement concernant les critères d'admission R.16.8.2, art. 5 et 6)
Les personnes titulaires d'un diplôme d'enseignement, d'éducation spécialisée ou de travail social sont admissibles en vue de l'obtention du certificat de superviseuses ou superviseurs.
Les personnes titulaires d'un titre reconnu équivalent par le Comité de direction sont admissibles.
Les candidates et candidats doivent pouvoir justifier d'une expérience pédagogique, éducative ou de travail social d'au moins 5 ans et d'une formation continue.
Les candidates et candidats doivent assumer une activité dans les domaines de l'enseignement, de l'éducation spécialisée ou du travail social.
Les candidates et candidats doivent avoir vécu, comme supervisée ou supervisé, une supervision professionnelle, individuelle, de 30 périodes au moins attestée par une superviseuse ou un superviseur certifié(e) ou reconnu(e), et réalisée dans les 5 dernières années.
Les candidates et candidats doivent prendre l'engagement de principe de fonctionner comme superviseuse ou superviseur au terme de la formation et de participer à un groupe de référence.
Les candidates et candidats doivent avoir obtenu l'accord de leur employeur.
Les candidates et candidats participent à un entretien sélectif avec des membres de la commission.
Procédure d'admission
L'admission se fait sur la base du dossier de candidature, et d'un entretien individuel. Le dossier doit être demandé à la plate-forme 3: formation continue.
Modalités d'inscription
Les candidats s'inscrivent au moyen du bulletin reçu sur demande.
Une formation (2002 – 2005) se déroule actuellement et les modalités d’organisation d’une nouvelle volée ne sont pas encore arrêtées.
Finances
(Règlement concernant la formation de superviseuses et superviseurs, art. 12, 13 et 14)
Il n'est pas perçu de taxe auprès des participantes et participants.
Le montant des écolages dus par les cantons ou par les participantes et participants des cantons non signataires du concordat est fixé conformément à l'article 40 du concordat HEP-BEJUNE.
Vu la conjoncture actuelle, les dispositions légales dans ce contexte sont susceptibles d’être modifiées.
Les autres frais tels que déplacements et subsistance, matériel et moyens d'enseignement, sont assumés par les participantes et participants.
Il est loisible aux cantons concordataires de participer au financement des frais ci-dessus.
Les participantes et participants ne perçoivent aucune indemnité pour les supervisions effectuées dans le cadre de leur formation.
Début de la prochaine formation
A définir.
Lieux de la formation
La formation se déroule principalement sur le site neuchâtelois de la HEP-BEJUNE, à l’Institut pédagogique neuchâtelois, Rue du 1er Août 33, Case postale 5014, 2305 La Chaux-de-Fonds.
Les personnes intéressées peuvent obtenir le dossier de « demande d'admission » à la plate-forme 3 : formation continue.
Berne | HEP-BEJUNE |
Plate-forme 3: formation continue | |
Institut pédagogique bernois | |
Chemin de la Ciblerie 45 | |
2503 Bienne | |
Jura | HEP-BEJUNE |
Plate-forme 3 : formation continue | |
Rue du Banné 23 | |
2900 Porrentruy | |
Neuchâtel | HEP-BEJUNE |
Plate-forme 3 : formation continue | |
Institut pédagogique neuchâtelois | |
Rue du 1er Août 33 | |
Case postale 5014 | |
2305 La Chaux-de-Fonds
|
Formation à la Supervision en Suisse les écoles de références.
Les formations de superviseurs que l'ARS reconnaît actuellement sont :
CEFOC
Centre d'études et de formation continue, Genève
http://www.ies-geneve.ch/Cefoc/default.htm
HEP-BEJUNE
Haute Ecole Pédagogique BErne JUra NEuchâtel
http://www.hep-bejune.ch/
http://www.hep-bejune.ch/fr/supervision_pf3.asp Voir cette page sur la formation en Supervision
L'Assemblée Générale de l'ARS du 25 novembre 2002 a accepté de reconnaître les écoles de formation qui font partie du BSO (Association Suisse alémanique des superviseurs).
AEB
Akademie für Erwachsenenbildung
www.aeb.ch
EGIS
Europäische Stiftung für interdisziplinäre Studien Ausbildung "Supervision als Kunst"
www.egis.ch
Fachhochschule Zürich
Hochschule für Soziale Arbeit Weiter und Fortbildung
www.hssaz.ch
HSL
Höhere Fachschule für Sozialpädagogik Luzern
www.hsl-luzern.ch
IAP
Institut für Angewandte Psychologie Supervisions-Ausbildung
www.iap.psy.ch
IAS
Institut für angewandte Sozialwissenschaften
www.iasag.ch
IEF
Institut für systemische Entwicklung und Fortbildung
www.ief-zh.ch
IFO
Institution für Führungs- und Organisationsentwicklung
e-mail: ifo.ch@datacomm.ch
NLP
Ressource-Training
www.nlp-resources.ch
Regio-team
Bildungsmanagement GmbH
www.regio-team.com
SAAP
Rosenbergstrasse 10 6300 Zug
e-mail: ullmann@swissonline.ch oder:
zbindenwerner@compuserve.com
TRIAS
Institut für Supervision und Organisations-Entwicklung
www.trias.ch
ZAK
zentrum für agogik gmbh
www.zak.ch
WPI AG
Wirtschaftspädagogisches Institut
www.wpi.ch
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QUELQUES DEFINITIONS pour y voir plus clair
La supervision
La supervision offre aux professionnels et aux étudiants un lieu de parole privilégié où ils travaillent les situations qu’ils rencontrent jour après jour, en particulier dans le domaine des relations professionnelles : relations avec les clients, avec l’institution, les collègues, les supérieurs ; relations avec la communauté et la société ; relation avec soi-même. Elle leur permet une distanciation, une réflexion, une clarification, un soutien en cas de crise, une réorientation éventuelle, une adaptation aux changements.
Dans un sens plus strict la supervision et en particulier la supervision pédagogique permet de se centrer sur la manière de mettre en œuvre sur le terrain les méthodes et techniques enseignées dans les lieux de formation et de relier la théorie et la pratique.
En supervision, chaque démarche est semblable à un voyage en avion ou en hélicoptère ; quittant le sol, on tente de s’élever ensemble pour découvrir un nouveau paysage, chacun à partir de sa place. Il est vrai que trous d’air et bourrasques nous bousculent durant le périple, que les décollages et les atterrissages sont parfois malaisés ; montagnes, vallons et plaines, champs et ruisseaux, même s’ils sont bien connus, prennent des aspects nouveaux.
C’est un processus à deux (ou à plusieurs), avec un cadre et une durée fixés d’avance, et dans lequel le travail s’effectue en partageant non seulement un vécu, mais aussi les représentations subjectives qu’il provoque pour chacun des partenaires en présence.
En principe, le superviseur ne doit pas faire partie des collaborateurs réguliers de l’institution ; il ne lui appartient pas non plus de donner avis ou conseils à la hiérarchie, à moins que le(s) responsable(s) concerné(s) participe(nt) lui(eux)-même(s) à la démarche. Dans ce cas, la question du contrôle reste présente, dans les représentations des intéressés. C’est un point sur lequel il vaut la peine de s’interroger lorsqu’on met en place un processus de supervision d’équipe où la hiérarchie entend s’impliquer d’une manière ou d’une autre.
Remarque: une supervision n’est pas une thérapie. Ce sont les situations professionnelles qu’on travaille en supervision, et non, comme en thérapie, les situations personnelles. Les travailleurs sociaux, il est vrai, s’appuient sur leur noyau personnel dans leur travail quotidien “ Le premier outil de l’éducateur, c’est lui-même ” (A Paré). On n’évite donc pas certaines incursions dans la sphère personnelle, mais seulement lorsque c’est nécessaire pour y voir plus clair dans la sphère professionnelle.
La médiation
Il s’agit d’une procédure de résolution non-violente des conflits avec l’aide d’un médiateur. Ce sont les personnes ou les groupes en conflit qui en font la demande ou qui, du moins, y consentent librement.
Le médiateur, comme son nom l’indique, est celui qui s’interpose, se “ met au milieu ” (Tosquelles) pour favoriser l’expression des idées ou des sentiments lorsque l’échange n’est plus possible entre les personnes concernées.
La médiation s’est aujourd’hui diversifiée en fonction des contextes (médiation scolaire, conjugale, de quartier etc.).
La consultation
Les Grecs et les Romains consultaient les oracles chaque fois qu’ils avaient une décision importante à prendre. Actuellement, lorsqu’on cherche une meilleure efficacité, on s’adresse à l’expert, on consulte un avocat ou un médecin, un financier ou un publicitaire, un psycho-sociologue ou un spécialiste en management, et j’en passe.
Ce qu’on cherche en recourant à un consultant, c’est une aide technique précise dans un domaine où l’on ne se juge pas soi-même suffisamment compétent.
La consultation peut déboucher sur un audit lorsqu’on cherche davantage qu’un simple conseil d’ordre technique.
L’audit
Le Robert, à l’article AUDITIONNER, indique : écouter pour juger (abusivement). Le terme audit prend de plus en plus aujourd’hui un sens moins négatif, celui qu’il a depuis les années 1970 aux États Unis où on l’utilise pour décrire l’étude critique d’entreprises ou de services, lorsqu’il s’agit de préparer des décisions de recentrage sur des objectifs pertinents, des aménagements en vue d’une plus grande efficacité et d’indiquer les conditions de faisabilité de changements envisagés. (Le Boterf).
L’audit est commandé par une instance à laquelle les consultants font rapport et qui décide de la suite à donner à la démarche.
Le coaching
De plus en plus à la mode, ce mot vient de l’anglais coach, terme repris du français coché qui provient lui-même du hongrois kocs. Un coach, c’est d’abord une diligence transportant des voyageurs; c’est aussi un entraîneur de chevaux, puis l’entraîneur d’un sportif ou d’une équipe de sportifs. Notons en passant que ceux qui, dans l’antiquité grecque, étaient chargés de coacher les futurs participants aux jeux olympiques ne s’intéressaient pas seulement à leur entraînement physique, mais aussi à leur formation philosophique et artistique.
Le coaching suppose dans tous les cas un contrat clarifiant le cadre, les rôles et les demandes. Il peut revêtir aujourd’hui plusieurs significations et désigner en particulier
1) l’aide à la réflexion, à la prise de décision ou à l’action demandée par un responsable, un collaborateur parfois même un « bénéficiaire », demande adressée à une personne intérieure ou extérieure au service ou à l’institution.
2) le travail de soutien, d’aide à la réflexion, à la prise de décision ou à l’action qu’un responsable hiérarchique effectue auprès de ses collaborateurs, individuellement ou en équipe.
Dans les deux cas, ce qui différencie le coaching de la consultation ou de l’audit, c’est qu’il s’inscrit dans une durée et qu’il représente une forme d’accompagnement.
Jacques Dekoninck, fondateur de l’Académie belge de coaching et promoteur de l’Académie romande de coaching, considère de manière tout à fait générale que le coaching est
“ un processus d’accompagnement à l’action d’individus ou d’équipes. Cet accompagnement vise la libération et l’expression des ressources et des compétences des acteurs, grâce à une activité de soutien pertinent, concomitant et efficient pour leur permettre d’atteindre leurs objectifs et ceux du service, de l’institution ou de l’entreprise ”.
Je remarque, pour conclure, que la demande dans tous ces domaines est aujourd’hui importante. Elle tend à augmenter encore depuis quelques années avec la complexification des problèmes et les défis importants liés à la dégradation des finances publiques dont le secteur social est devenu toujours plus tributaire. C’est pouquoi il est essentiel de bien choisir l’outil de travail à mettre en oeuvre, en fonction de la situation où l’on se trouve.
Christiane Besson
Chroniques et points de vue
Présentation de l'éditeur
Le coaching est à la mode, mais le coach demeure un inconnu. Au-delà des qualités communément admises en relation d'aide, quels sont en effet les savoir-faire nécessaires à l'exercice de cette nouvelle profession ? En utilisant la forme originale d'une correspondance pédagogique, l'auteur propose et décrit un ensemble de sept compétences fondamentales à déployer dans tout coaching. Il distingue également quatre types de coaching portant respectivement sur les personnes, les relations, les groupes et les organisations. Toutes les questions importantes qui concernent le métier de coach y sont abordées : les techniques d'entretien, la déontologie, la supervision, le " business " de coaching, etc. Le livre retrace également l'histoire du coaching et donne un sens aux raisons de l'engouement actuel pour cette forme d'accompagnement personnalisé. Cette seconde édition clarifie en outre les éléments de connaissance de soi, vigilance et qualité d'être que doit développer un coach pour bien exercer son métier. L'ouvrage est destiné aux coachs confirmés, à ceux qui veulent le devenir, aux prescripteurs de coaching, à tous ceux et celles qui suivent un coaching.
Biographie de l'auteur
François Delivré : polytechnicien, homme d'art et de méthodes, il œuvre dans deux domaines : les entreprises dans lesquelles, après vingt ans de responsabilités opérationnelles, il intervient comme consultant en Relations Humaines et Organisation spécialisé en coaching ; la sculpture qu'il pratique dans son atelier de la Ferté-Milon. Avec François Souweine et Noëlle Philippe, il a créé en 2003 l'Académie du Coaching qui forme des coachs professionnels en entreprise.
Pierre-Alain
|
Document actualisé au
au 22.01.2012
Tableau synoptique des formations
Mind Map d'orientation Formations
Office fédéral de la formation et du travail
Reconnaissance des diplômes étrangers
Organisation professionnelle sociale
Institut de formation en Suisse
Adresse privée Adresse professionnelle
AEBISCHER Gérard
Route de Montaubert 30
1720 CORMINBOEUF
Canton(s) de supervision : Berne - Fribourg - Jura - Neuchâtel - Vaud
HEF-TS
Rue Jean-Prouvé 10
1762 GIVISIEZ
Tél. : 026 460 85 70 Fax : 026 460 85 71 Tél. : 026 322 41 91 Fax : 026 322 41 62
Domaine d'activité : formation prof. TS
Individuelle/Groupe
Email : g_aebischer@bluewin.ch Email : aebischer@hef-ts.ch
AMIGUET Marianne
Chemin du Levant 43
1005 LAUSANNE
Canton(s) de supervision : Vaud
Tél. : 021 323 98 55
Domaine d'activité : travail social
Individuelle/Groupe
AUBERT Pierre-Yves
Rue de la Mairie 17
1207 GENEVE
Canton(s) de supervision : Genève
INFOR JEUNES
Rue Verdaine 13
1204 GENEVE
Tél. : 022 420 56 10 Fax : 022 420 56 09 Tél. : 022 420 56 10 Fax : 022 420 56 09
Domaine d'activité : service de prévention jeunes adultes
Individuelle/Groupe
Email : pya@ge-ariane.ch Email : pya@ge-ariane.ch
Portable : 0033 607 67 00 19
AUBORT Pierre
La Crêtaz
1612 ECOTEAUX
Canton(s) de supervision : Berne - Fribourg - Genève - Vaud
SERVICE SOCIAL LAUSANNE
Place Chauderon 5
1003 LAUSANNE
Tél. : 021 315 76 10 Tél. : 021 907 82 34
Domaine d'activité : informaation sociale / assistance
Individuelle/Groupe
Email : Pierre.Aubort@bluewin.ch
AVVANZINO Maria
Petit-Vennes 15
1066 EPALINGES
Canton(s) de supervision : Vaud
Tél. : 021 653 10 23 Fax : 021 653 10 23
Domaine d'activité : service social/Education sociale
Individuelle/Groupe
Email : m.avvanzino@bluewin.ch
Portable : 079 378 28 88
-!1!- 07.04.05
Adresse privée Adresse professionnelle
AVVANZINO Pierre
Chemin de Petit-Vennes 15
1066 EPALINGES
Canton(s) de supervision : Fribourg - Genève - Neuchâtel - Valais - Vaud
ART CO
Av. de la Gare 34a
1022 CHAVANNES-PRES-RENENS
Tél. : 021 635 18 72 Tél. : 021 653 10 23 Fax : 021 653 10 23
Domaine d'activité : délinquance violence
Individuelle/Groupe
Email : pavvanzino@romandie.com Email : willartco@worldonline.ch
Portable : 079 661 91 37
BALLY MATZ Colette
Route de Burtigny 12
1268 BEGNINS
Canton(s) de supervision : Vaud
Tél. : 022 366 18 91
Domaine d'activité :
Individuelle/Groupe
BAUER Philippe
Jonchère 7
2052 FONTAINEMELON
Canton(s) de supervision : Neuchâtel
HEP - BEJUNE
Rue du 1er-Août 33
2300 LA CHAUX-DE-FONDS
Tél. : 032 919 73 27
Domaine d'activité : enseignement spécialisé
Individuelle/Groupe
Email : philippe.bauer@hep-bejune.ch Email : philippe.bauer@hep-bejune.ch
Portable : 079 795 28 84
BAUME Claude
Chevreuils 31
2300 LA CHAUX-DE-FONDS
Canton(s) de supervision : Neuchâtel
CENTRE PEDAGOGIQUE LES BILLODES
Route des Monts 24-28
2400 LE LOCLE
Tél. : 032 933 99 00 Fax : 032 933 99 09 Tél. : 032 926 97 45
Domaine d'activité : institution JP
Individuelle/Groupe
Email : claude.baume@ne.ch
BECCO Christian
Chemin de Boissonnet 61
1010 LAUSANNE
Canton(s) de supervision : Vaud
OFFICE DU TUTEUR GENERAL
Chemin de Mornex 32
1014 LAUSANNE ADM CANT
Tél. : 021 316 66 92 Fax : 021 316 67 19 Tél. : 021 652 75 13
Domaine d'activité : mandats tutélaires adultes et mineurs
Individuelle
Email : christian.becco@stg.vd.ch
-!2!- 07.04.05
Adresse privée Adresse professionnelle
BELISSARD Arlette
Route du Pas-de-l'Echelle 60
1255 VEYRIER
Canton(s) de supervision : Genève
Tél. : 022 784 34 25
Domaine d'activité :
Individuelle
Email : abelissard@bluewin.ch
BELLONI Tiziano
6981 BEDIGLIORA
Canton(s) de supervision : Tessin
UFFICIO DEL TUTORE UFFICIALE
Via Vergiò 18
6932 BREGANZONA
Tél. : 091 815 31 94 / 90 Fax : 091 815 31 99 Tél. : 091 608 28 49 Fax : 091 608 28 49
Domaine d'activité : travail social
Individuelle
Email : brutit.belloni@bluewin.ch Email : tiziano.belloni@ti.ch
BERGER Annelyse
La Déserte
1167 LUSSY-SUR-MORGES
Canton(s) de supervision : Vaud
CENTRE DE VIE ENFANTINE
Rue de Couvaloup 10
1110 MORGES
Tél. : 021 804 98 98 Fax : 021 801 52 05 Tél. : 021 801 82 60
Domaine d'activité : enfance 0 - 12 ans
Individuelle/Groupe
Email : a.berger@smile.ch Email : annelyse.berger@morges.ch
Portable : 078 824 55 43
BERTALLO Françoise
Chemin de Praz 25
2017 BOUDRY
Canton(s) de supervision : Neuchâtel
Tél. : 032 842 40 87 Fax : 032 842 40 77
Domaine d'activité : service éducatif itinérant et enseignement
Individuelle/Groupe
Portable : 079 679 28 86
BERTOCCHI Silvie
Villa Hortensia
1854 LEYSIN
Canton(s) de supervision : Valais - Vaud
SPJ
Grand-Rue 50
1814 LA TOUR-DE-PEILZ
Tél. : 021 977 03 73 Tél. : 024 494 15 11
Domaine d'activité : familles en difficulté, spéc. prob. toxicomanie
Individuelle/Groupe
Email : largeshorizons@bluewin.ch
Portable : 079 600 99 65
-!3!- 07.04.05
Adresse privée Adresse professionnelle
BESSON Christiane
Impasse de la Dîme
1523 GRANGES-MARNAND
Canton(s) de supervision : Fribourg - Jura - Neuchâtel - Valais - Vaud
Tél. : 026 668 02 78 Fax : 026 668 02 78
Domaine d'activité : handicaps, groupes, réseaux, systèmes, bénévolat
Individuelle/Groupe
Email : chr.besson@bluewin.ch
BIDERBOST Marc
Rue de St Guérin 28
1950 SION
Canton(s) de supervision : Fribourg - Genève - Valais - Vaud
Tél. : 027 456 32 76
Domaine d'activité : communication, marketing
Individuelle
Email : mantoine.biderbost@bluewin.ch
Portable : 079 220 24 65
BLANCHET Robert
Beffeux
1895 VIONNAZ
Canton(s) de supervision : Valais - Vaud
Tél. : 024 481 38 26
Domaine d'activité :
Individuelle/Groupe
Portable : 079 794 39 67
BLANDENIER Eddy
Rue du Four 5
2065 SAVAGNIER
Canton(s) de supervision : Jura - Neuchâtel - Vaud
ASSOCIATION NEUCHATELOISE DE SERVICES BENEVOLES
Rue des Brévards 1a
2000 NEUCHATEL
Tél. : 032 724 06 41 Fax : 032 724 06 00 Tél. : 032 853 43 66
Domaine d'activité : formateur d'adultes
Individuelle/Groupe
Email : eddy.blandenier@ne.ch Email : eddy.blandenier@ne.ch
BLANDU BIDAUX Antoinette
Avenue du Grey 14
1004 LAUSANNE
Canton(s) de supervision : Fribourg - Genève - Valais - Vaud
Tél. : 021 646 28 22
Domaine d'activité : institutions, internat, externat, dir. SPJ EPE
Individuelle
Email : d.a.blandu@surfeu.ch
-!4!- 07.04.05
Adresse privée Adresse professionnelle
BLUMER Pierre
Ch. de la Brenaz 21
1241 PUPLINGE
Canton(s) de supervision : Genève
CENTRE DE LOISIRS
Rue François Perréard 2
1225 CHENE-BOURG
Tél. : 022 348 96 78 Fax : 022 348 96 75 Tél. : 022 349 74 25 Fax : 022 349 74 25
Domaine d'activité : animation socio-culturelle
Individuelle/Groupe
Email : plumer21@yahoo.fr
BOHNET Raphaël
Rochettes 5
2022 BEVAIX
Canton(s) de supervision : Neuchâtel
OFFICE DES MINEURS
Faubourg de l'Hôpital 36
2000 NEUCHATEL
Tél. : 032 889 85 35 Fax : 032 889 60 93 Tél. : 032 846 22 68
Domaine d'activité : protection des mineurs
Individuelle
Email : Raphael.Bohnet@ne.ch
BOSCH Jean-Pierre
Chemin de Pomey 14 C
1800 VEVEY
Canton(s) de supervision : Vaud
Tél. : 021 944 00 43
Domaine d'activité : psy du trav. thérapeut énergicien, magnétisme
Individuelle/Groupe
BOSONNET Monique
Ch. de la Bergeronette 33
1228 PLAN-LES-OUATES
Canton(s) de supervision : Genève
Tél. : 022 794 59 36
Domaine d'activité : éducation spécialisée
Individuelle
Portable : 078 612 70 26
BOSSHARD Catherine
Crêt du Jura 3
2208 LES HAUTS-GENEVEYS
Canton(s) de supervision : Neuchâtel
CENTRE PEDAGOGIQUE LES PERCE-NEIGE
Rue du Port Roulant 5
2000 NEUCHATEL
Tél. : 032 732 99 77 Tél. : 032 853 68 17
Domaine d'activité : pédagogie / éducation
Individuelle
Email : catherine.bossard@ne.ch Email : catherine.bosshard@ne.ch
Portable : 079 433 45 15
-!5!- 07.04.05
Adresse privée Adresse professionnelle
BOURGOZ René
Rue Verdaine 11
1204 GENEVE
Canton(s) de supervision : Genève
BOURGOZ
Rue Verdaine 11
1204 GENEVE
Tél. : 079 708 70 43 Tél. : 022 312 27 90
Domaine d'activité : prise charge auteurs de violences domestiques
Individuelle/Groupe
Email : rene.bourqoz@cario.fr Email : rené.bourgoz@cario.fr
Portable : 079 708 70 43
BREGNARD Serge
Chemin Mont de Plan
1071 CHEXBRES
Canton(s) de supervision : Vaud
L'APPAR'T DES EPINETTES
Chemin des Epinettes 10
1007 LAUSANNE
Tél. : 021 601 04 04 Fax : 021 601 04 48 Tél. : 021 312 85 03
Domaine d'activité : adolescence en difficulté
Individuelle/Groupe
Email : appart.epinettes@bluewin.ch
BUCHS Yvette
Route de Grandvaux 2
1072 FOREL (LAVAUX)
Canton(s) de supervision : Vaud
FONDATION VAUDOISE CONTRE L'ALCOOLISME
Rue des Pêcheurs 8
1400 YVERDON-LES-BAINS
Tél. : 021 784 34 93
Domaine d'activité : les dépendances
Individuelle/Groupe
Email : yvettebuchs@bluewin.ch Email : ybuchs@fva.ch
BURDET Albert
Beau-Séjour 18
1003 LAUSANNE
Canton(s) de supervision : Vaud
Tél. : 021/ 312 44 70 Tél. : 021 323 37 32 Fax : 021 323 37 32
Domaine d'activité : form. scol., adultes, médiation, gestion projets
Individuelle/Groupe
Email : burdet@dekpoint.ch
BUSSIEN-BURKLI Dominique
Rue du Temple 5
1031 MEX
Canton(s) de supervision : Fribourg - Genève - Valais - Vaud
ART-PSYCHOTHERAPEUTE BUSSIEN DOMINIQUE
Quartier Beau-Site 4A
1023 CRISSIER
Tél. : 021 635 93 23 Fax : 021 635 93 24 Tél. : 021 701 06 03 Fax : 021 635 93 24
Domaine d'activité : enf., adol, adultes, couples, frateries
Individuelle/Groupe
Email : euquinimode@bluemail.ch Email : euquinimode@bluemail.ch
Portable : 079 611 80 79
-!6!- 07.04.05
Adresse privée Adresse professionnelle
CANTIN GONCZY Florence
Ch. Maurice Ravel 12 b
1290 VERSOIX
Canton(s) de supervision : Genève
COLLEGES ET ECOLES DE COMMERCE
Rte de St-Julien 25
1227 CAROUGE
Tél. : 022 342 69 50 Tél. : 022 755 62 02
Domaine d'activité :
Individuelle/Groupe
Email : Michel_flo@bluewin.ch Email : florence.cantin@etat.ge.ch
Portable : 079 705 96 32
CASAGRANDE Edgardo
Rue Henri-Mussard 15
1208 GENEVE
Canton(s) de supervision : Genève
Tél. : 022 700 05 90
Domaine d'activité : orientation professionnelle
Individuelle
CATTAFI Filippo
Rue Fendt 11
1201 GENEVE
Canton(s) de supervision : Genève
CENTRE DE FORMATION DE L'ENSEIGNEMENT PRIMAIRE
Chemin de Pinchat 22
1227 CAROUGE
Tél. : 022 309 35 22 Tél. : 022 734 47 02
Domaine d'activité : évaluation, ens. spéc., différentiation apprentiss
Individuelle/Groupe
Email : filippo.cattafi@edu.ge.ch
CATTIN Jean-Philippe
rue de la Charbonnière 12
2065 SAVAGNIER
Canton(s) de supervision : Jura - Neuchâtel
CENTRE ALFASET
Rue des Terreaux 50
2300 LA CHAUX-DE-FONDS
Tél. : 032 967 96 50 Fax : 032 967 96 51
Domaine d'activité : AI
Groupe
Email : jean-philippe.cattin@ne.ch Email : jean-philippe.cattin@ne.ch
Portable : 079 327 56 64
CEPPI Maria Silva
PREE
6873 CORTEGLIA
Canton(s) de supervision : Tessin
CENTRO COPPIA E FAMIGLIA
Vicolo Confalonieri 4
6850 MENDRISIO
Tél. : 091 646 04 14 Fax : Tél. : 091 993 32 27
Domaine d'activité : famille
Individuelle/Groupe
Email : ccp.mendrisio@ticino.com
Portable : 079 293 91 06
-!7!- 07.04.05
Adresse privée Adresse professionnelle
CERRONE Toni
Ruelle de Cojonnex 10
1807 BLONAY
Canton(s) de supervision : Fribourg - Valais - Vaud
FONDATION DES LYS
Ch. des Lys 18
1010 LAUSANNE
Tél. : 021 657 08 41 Fax : 021 657 08 44 Fax : 021 943 18 00
Domaine d'activité : réhabilitation psycho-sociale
Individuelle/Groupe
Email : tonique@bluewin.ch
Portable : 079 252 77 30
CHARPILLOD Evelyne
Rue du Marché-Neuf 14
2502 BIEL/BIENNE
Canton(s) de supervision : Berne
OFFICE DES TUTELLES
Rue Centrale 49
2502 BIEL/BIENNE
Tél. : 032 326 20 76 Fax : 032 326 15 96 Tél. : 032 322 45 76
Domaine d'activité : service juridique et d'enquêtes
Individuelle/Groupe
Email : eveline.charpilloz@biel-bienne.ch Email : eveline.charpilloz@biel-bienne.ch
Portable : 078 800 54 49
CHARRIER Claudine
Rue de la Venoge 2
1028 PREVERENGES
Canton(s) de supervision : Vaud
LE CERF-VOLANT
Chemin des Cigognes 4
1162 ST-PREX
Tél. : 021 806 13 30 Tél. : 021 801 61 28
Domaine d'activité : prime-enfance
Individuelle/Groupe
CHATELAIN Jean-Paul
Rue de L'Ancien-Tir 2
1252 MEINIER
Canton(s) de supervision : Genève
CLINIQUE DE PSYCHIATRIE BELLE-IDEE
Chemin du Petit-Bel-Air 2
1225 CHENE-BOURG
Tél. : 022 305 50 30 Tél. : 022 752 32 09
Domaine d'activité : psychiatrie gériatrique
Individuelle/Groupe
CHRISTEN Pierre-André
Av. des Boveresses 12
1010 LAUSANNE
Canton(s) de supervision : Vaud
EESP - ECOLE D'ETUDES SOCIALES ET PEDAGOGIQUES
Chemin des Abeilles 14
1000 LAUSANNE 24
Tél. : 021 651 62 00 Tél. : 021 653 47 75
Domaine d'activité : éducation sociale
Individuelle/Groupe
Email : pachristen@eesp.ch
-!8!- 07.04.05
Adresse privée Adresse professionnelle
CHRISTEN MAYOR Evelyne
Sentier Lycée 1
1009 PULLY
Canton(s) de supervision : Genève - Neuchâtel - Valais - Vaud
Tél. : 021 729 89 29 Fax : 021 729 89 33
Domaine d'activité : handicap, violence, crises services sociaux
Individuelle/Groupe
Email : evelynechristen@hotmail.com
CLIVAZ Jean-Daniel
Chemin de la Cabolétaz 21
1066 EPALINGES
Canton(s) de supervision : Vaud
LE CHATELARD ASSOCIATION
Chemin de la Cigale 21
1000 LAUSANNE 24
Tél. : 021 651 42 00 Tél. : 021 384 35 08
Domaine d'activité : troubles du comportement
Individuelle/Groupe
Email : jdclivaz@urbanet.ch Email : jean-daniel.clivaz@bluewin.ch
Portable : 079 220 36 91
CLOPT NEUVECELLE Chantal
Route de Puplinge 41
1241 PUPLINGE
Canton(s) de supervision : Genève
ECOLE D'EDUCATEURS DU JEUNE ENFANT
Rue Alcide-Jentzer 17
1205 GENEVE
Tél. : 022 807 08 53 Tél. : 022 349 00 52
Domaine d'activité :
Individuelle/Groupe
Email : clopt@bluewin.ch Email : chantal.clopt@edu.ge.ch
Portable : 079 467 66 20
COLLAUD FRAGNIERE Marie-Chantal
Mont-Tendre 28
1007 LAUSANNE
Canton(s) de supervision : Vaud
ACTION BENEVOLE
Avenue Louis-Ruchonnet 1
1003 LAUSANNE
Tél. : 021 646 21 96 Fax : 021 646 18 97 Tél. : 021 617 67 53 Fax : 021 616 73 92
Domaine d'activité : promotion vie associative
Individuelle
Email : mccollaud@yahoo.com Email : action.benevole@span.ch
Portable : 079 397 83 25
CONOD A, Olivier
La Source
1329 BRETONNIERES
Canton(s) de supervision : Vaud
CENTRE SOCIAL REGIONAL DE LAUSANNE
Place Chauderon 4
1000 LAUSANNE 9
Tél. : 021 315 76 89 Tél. : 024 453 11 58
Domaine d'activité : social
Individuelle
Email : conodolivier@freesurf.ch Email : olivier.conod@lausanne.ch
Portable : 079 450 21 15
-!9!- 07.04.05
Adresse privée Adresse professionnelle
CONTESSE Marie
Rue du Temple 20
2114 FLEURIER
Canton(s) de supervision : Neuchâtel
CENTRE PROFESSIONNEL DU LITTORAL NEUCHATELOIS
Rue Maladière 84
2000 NEUCHATEL
Tél. : 032 861 13 20 Fax : 032 861 16 70
Domaine d'activité : formation professionnelle
Individuelle/Groupe
Email : marie-contesse@net2000.ch
Portable : 079 263 19 68
CONTI Mieke
Chemin du Signal 15
1807 BLONAY
Canton(s) de supervision : Vaud
FONDATION VERDEIL - ECOLE D'ENSEIGNEMENT SPECIALIS
Boulevard d'Arcangier 21
1800 VEVEY
Tél. : 021 943 14 31 Fax : 021 943 14 31
Domaine d'activité : hand mental, troubles comport. ens.+ éduc. spéc.
Individuelle/Groupe
Email : mieke.conti@freesurf.ch Email : mieke.conti@verdeil.ch
Portable : 076 341 52 64
CONTI Roberto
Chemin du Signal 15
1807 BLONAY
Canton(s) de supervision : Fribourg - Genève - Valais - Vaud
FONDATION DE VERDEIL - ECOLE D'ENSEIGNEMENT SPECIA
Chemin des Mayoresses 9-11
1012 LAUSANNE
Tél. : 021 943 14 31 Fax : 021 943 14 31
Domaine d'activité : ens., éduc. spéc. handicap, troubles comp. toxico
Individuelle/Groupe
Email : roberto.conti@fresurf.ch Email : roberto.conti@verdeil.ch
Portable : 076 341 12 64
CORNUT PILLER Chantal
Rue du Pré Court 7
1893 MURAZ
Canton(s) de supervision : Valais - Vaud
Tél. : 024 472 73 64 Fax : 024 472 86 92
Domaine d'activité : travail social / chômage
Individuelle/Groupe
Email : chantal.cornut-piller@bluewin.ch
COSTE Florence
Chemin du Crèpillon 157
1220 GRILLON
Canton(s) de supervision : Genève
COSTE
Rue du Stand 40
1204 GENEVE
Tél. : 022 781 31 21 Fax : Tél. : 0450 20 28 91
Domaine d'activité : psychothérapie, formations, supervisions
Individuelle
Email : florence.coste.g@wanadoo.fr
-!10!- 07.04.05
Adresse privée Adresse professionnelle
COTTING Marcel
Chemin du Joran 3
2016 CORTAILLOD
Canton(s) de supervision : Neuchâtel
COTTING MARCEL PSYCHOLOGUE - PSYCHOTHERAPEUTE
Avenue du 1er-Mars 6
2000 NEUCHATEL
Tél. : 032 725 96 66 Fax : 032 725 96 66 Tél. : 032 842 56 15 Fax : 032 725 06 66
Domaine d'activité :
Individuelle
Email : marcel.cotting@ne.ch Email : marcel.cotting@ne.ch
COULBAULT Catherine
Fergy 877
74410 DUINGT
Canton(s) de supervision : Genève
DIRECTION DE LA PREVENTION PMI
Avenue de Genève 97bis
74000 ANNECY
Tél. : 0033 450 33 50 00 Tél. : 0033 450 68 56 59
Domaine d'activité : secteur médico-social
Individuelle
Email : catherine.coulbault@cg74.fr
CRELIER Véronique
Chambion 11
2853 COURFAIVRE
Canton(s) de supervision : Jura
ECOLE PUBLIQUE PRIMAIRE ET ENFANTINE
Rue Saint-Germain 31
2853 COURFAIVRE
Tél. : 032 426 70 17 Fax : 032 426 70 17 Tél. : 032 426 80 08 Fax : 032 426 80 08
Domaine d'activité : enseignement
Individuelle/Groupe
Email : veronique.crelier@educanet.ch Email : veronique.crelier@educanet.ch
CRETTOL-ROUGE Chantal
Rue Marc Dufour 5
1007 LAUSANNE
Canton(s) de supervision : Vaud
LA MAISONNETTE
Rue de la Pontaise 11
1018 LAUSANNE
Tél. : 021 646 22 01 Fax : 021 646 22 01 Tél. : 021 311 35 48 Fax : 021 311 35 48
Domaine d'activité : tous secteurs, petite enf., enf. ados, adultes
Individuelle/Groupe
Email : chantalcrettol@hotmail.com Email : info@lamaisonnette.ch
DAFFLON Philippe
Chemin du Schoenberg 5
1700 FRIBOURG
Canton(s) de supervision : Fribourg
DAFFLON PHILIPPE / CABINET DE PSYCHOTHERAPIE
Rte des Bonnefontaines 38
1700 FRIBOURG
Tél. : 026 466 31 01 Fax : 026 466 31 01 Tél. : 026 481 40 08
Domaine d'activité : formateur d'adultes
Individuelle/Groupe
Email : phil.dafflon@bluewin.ch Email : phil.dafflon@bluewin.ch
-!11!- 07.04.05
Adresse privée Adresse professionnelle
DARIOLI Simon
Rue de Gramois
1965 SAVIESE
Canton(s) de supervision : Valais
SERVICE DE L'ACTION SOCIALE
Rue des Vergers 2
1950 SION
Tél. : 027 606 48 55 Fax : 027 606 48 54 Tél. : 027 722 25 37
Domaine d'activité : social
Individuelle
Email : simon.darioli@bluwin.ch Email : simon.darioli@admin.vs.ch
Portable : 079 447 27 64
DE MONTMOLLIN BOVET Muriel
La Roche 1
2012 AUVERNIER
Canton(s) de supervision : Neuchâtel
ATELIER «M»
La Roche 1
2012 AUVERNIER
Tél. : 032 731 87 00 Fax : 032 731 87 00 Tél. : 032 731 87 00 Fax : 032 731 87 00
Domaine d'activité : musicothérapie, superv., interv, ateliers divers
Individuelle/Groupe
Email : info@atelierm.ch Email : info@atelierm.ch
DEGOUMOIS Jean-Michel
"Sous-Lavy"
74130 FAUCIGNY
Canton(s) de supervision : Genève
DEGOUMOIS JEAN-MARC CABINET DE PSYCHANALYSE
Rue Liotard 52
1202 GENEVE
Tél. : 022 344 10 28 Fax : Tél. : 0033450 25 67 85
Domaine d'activité :
Individuelle/Groupe
Email : jm.degoumois@wanadoo.fr
DELICADO Vincent
Route de Vandoeuvres 110
1253 VANDOEUVRES
Canton(s) de supervision : Genève - Vaud
INFOR JEUNES
Rue Verdaine 13
1204 GENEVE
Tél. : 022 420 55 11 Fax : 022 420 56 09
Domaine d'activité : prévention communautaire
Individuelle/Groupe
Email : vincent.delicado@freesurf.ch Email : vincent.deliccado@ge-ariane.ch
Portable : 078 826 87 84
DELL'EVA Bruno
Chemin des Vignes 15
1121 BREMBLENS
Canton(s) de supervision : Vaud
LA POUPONNIERE ET L'ABRI
Av. de Beaumont 48
1012 LAUSANNE
Tél. : 021 651 61 53 Fax : 021 651 61 02 Tél. : 021 802 19 42 Fax : 021 651 61 02
Domaine d'activité : éduc, social, prévention, petite enf. , enf. mères
Individuelle/Groupe
Email : bruno.dell_eva@pouponnière.ch Email : bruno.dell_eva@pouponniere.ch
Portable : 079 298 41 12
-!12!- 07.04.05
Adresse privée Adresse professionnelle
DEMAUREX Annette
Route de la Métraude 5
1092 BELMONT-SUR-LAUSANNE
Canton(s) de supervision : Vaud
UNIONS CHRETIENNES FEMININES VAUDOISES
Rue Pré-du-Marché 15
1004 LAUSANNE
Tél. : 021 311 86 76 Fax : 021 311 86 77 Tél. : 021 784 00 68 Fax : 021 784 44 91
Domaine d'activité : femmes adultes
Individuelle/Groupe
Portable : 079 703 42 13
DESPLOS Henri
Le Verger
1167 LUSSY-SUR-MORGES
Canton(s) de supervision : Genève - Vaud
CEFIL
Avenue de Plan 18
1110 MORGES
Tél. : 021 811 51 61 Fax : 021 811 51 60 Tél. : 021 811 51 61 Fax : 021 811 51 60
Domaine d'activité : formation - social - santé - animation culturelle
Individuelle/Groupe
Email : h.desplos@cefil.ch Email : h.desplos@cefil.ch
Portable : 079 409 02 31
DIZERENS Jacques
Rue du Salève 111
01210 ORNEX
Canton(s) de supervision : Genève
MAISON D'ENFANTS PIERRE GRISE
Chemin des Chênes 15
1294 GENTHOD
Tél. : 022 959 70 10 Fax : 022 959 70 17 Tél. : 0033 450 28 04 65
Domaine d'activité : enseignement spécialisé
Individuelle
Email : jacques.dizerens@tele2.fr
Portable : 078 803 52 48
DOLIVO WALLISER Béatrice
Ecluses 1
2502 BIEL/BIENNE
Canton(s) de supervision : Berne - Jura - Neuchâtel
ANNEE SCOLAIRE DE PREPARATION PROF.
Rue Général-Dufour 22
2502 BIENNE
Tél. : 032 323 95 48 Fax : Tél. : 032 342 32 85 Fax : 032 343 32 85
Domaine d'activité : ens. difficulté, accompagnement individualisé
Individuelle
Email : beado@bluewin.ch
DROZ Anita
Chemin de Fontenelle
1272 GENOLIER
Canton(s) de supervision : Genève - Vaud
LIGUE VAUDOISE CONTRE LE CANCER
Avenue Montagibert 20bis
1011 LAUSANNE
Tél. : 021 314 72 29 Fax : 021 314 72 27 Tél. : 022 366 47 50
Domaine d'activité : service social
Individuelle/Groupe
Email : anitadroz@bluemail.ch Email : anita.droz@lvc.ch
Portable : 078 710 29 76
-!13!- 07.04.05
Adresse privée Adresse professionnelle
DUCOMMUN Pierre
Chemin de Flore 3
2300 LA CHAUX-DE-FONDS
Canton(s) de supervision : Neuchâtel
SERVICE D'ENSEIGNEMENT OBLIGATOIRE
Rue de l'Ecluse 67
2000 NEUCHATEL
Tél. : 032 889 59 30 Tél. : 032 926 72 21
Domaine d'activité : Enseignement, éducation spécialisée
Individuelle/Groupe
Email : pducommun@vtx.ch Email : Pierre.Ducommun@ne.ch
Portable : 079 460 78 92
DUMAS Jean-Baptiste
Boulevard de Grancy 27
1006 LAUSANNE
Canton(s) de supervision : Vaud
IPGL
Route de Chavannes 7
1007 LAUSANNE
Tél. : 021 625 15 26 Fax : 021 625 17 48 Tél. : 021 601 23 41
Domaine d'activité : formation EPE
Individuelle/Groupe
Email : jean-baptiste.dumas@ipgl.ch
DUMONT Jean-Henri
Rue du Rhône 32
1950 SION
Canton(s) de supervision : Valais
HOME LA TOUR EMERA
Av. St-François 18
1950 SION
Tél. : 027 322 22 38 Fax : 027 322 82 51 Tél. : 027 323 22 28 Fax : 027 323 22 28
Domaine d'activité : handicap psychique
Individuelle/Groupe
Email : jhdumont@bluewin.ch
Portable : 079 445 10 79
DUMONT Maïté
Chemin Isabelle de Montolieu 133
1010 LAUSANNE
Canton(s) de supervision : Valais - Vaud
Tél. : 021 653 57 03 Fax : 021 653 57 03
Domaine d'activité : travail social
Individuelle/Groupe
Email : maite.dumont@freesurf.ch
DUNAND Anne
ch. de Moïse Duboule 25
1209 GENEVE
Canton(s) de supervision : Genève
ECOLE D'AIDE FAMILIALE
Avenue de la Roseraie 25
1205 GENEVE
Tél. : 022 322 00 60 Tél. : 022 733 97 37
Domaine d'activité : enseignement, accompagnement de volée
Individuelle/Groupe
Email : anet@bluewin.ch Email : anne.dunand@edu.ge.ch
-!14!- 07.04.05
Adresse privée Adresse professionnelle
DUPONT Alain
1211 GENEVE 4
Canton(s) de supervision : Fribourg - Genève - Valais - Vaud
AD-CONSULTANTS
Case postale 302
1211 GENEVE 4
Tél. : 022 328 74 83 Fax : 022 781 60 55 Tél. : 022 328 74 83 Fax : 022 781 60 55
Domaine d'activité : travail social
Individuelle/Groupe
Email : alain@ad-consultants.ch Email : alain@ad-consultants.ch
DUTHEIL DE LA ROCHERE Bruno
Chemin de Bochardon 9
1012 LAUSANNE
Canton(s) de supervision : Vaud
Tél. : 021 617 20 03
Domaine d'activité : supervisions. soutiens éducatifs
Individuelle/Groupe
Email : b.dutheil@bluewin.ch
Portable : 079 476 78 24
ECUYER Joël
Chemin du Moulanais 22
1253 VANDOEUVRES
Canton(s) de supervision : Genève
CLINIQUE DE PSYCHIATRIE
Chemin du Petit-Bel-Air 2
1225 CHENE-BOURG
Tél. : 022 305 41 11 Fax : 022 305 41 62 Tél. : 022 349 01 48 Fax : 022 349 02 13
Domaine d'activité : psychiatrie
Individuelle
Portable : 076 375 77 07
EGGER Joseph
Chemin des Pâquerettes 6
1580 AVENCHES
Canton(s) de supervision : Fribourg - Vaud
FOYER DE COUR
Avenue de Cour 18
1007 LAUSANNE
Tél. : 021 315 69 00 Fax : 021 315 69 09 Tél. : 026 675 11 78
Domaine d'activité : éducation spécialisée
Individuelle/Groupe
Email : joseph.egger@bluewin.ch Email : joseph.egger@Lausanne.ch
Portable : 078 679 72 71
EGGERTSWYLER André
Villars-Vert 18
1752 VILLARS-SUR-GLANE
Canton(s) de supervision : Fribourg
EGGERTSWYLER ANDRE
Rte de Villars Vert 18
1752 VILLARS-SUR-GLANE
Tél. : 026 402 06 59 Fax : Tél. : 026 402 09 45 Fax : 026 402 09 51
Domaine d'activité : psycho-social en général
Individuelle/Groupe
Email : eggertswyler-a@bluewin.ch
-!15!- 07.04.05
Adresse privée Adresse professionnelle
EMERY Didier
Tout-Vent 2
1023 CRISSIER
Canton(s) de supervision : Vaud
FONDATION ST-GEORGE
Rue Verdan
1400 YVERDON-LES-BAINS
Tél. : 024 445 23 33 Fax : 024 445 38 29 Tél. : 021 634 44 10
Domaine d'activité : handicap mental, hébergement
Individuelle/Groupe
Email : st_george@bluewin.ch
EVÊQUOZ-WALTI Dea
Rue de la Sauge 5
1030 BUSSIGNY-PRES-LAUSANNE
Canton(s) de supervision : Vaud
EVEQUOZ DEA
Rue du Midi 10
1020 RENENS
Tél. : 021 634 85 32 Fax : Tél. : 021 701 45 03
Domaine d'activité :
Individuelle/Groupe
Email : devequoz@eesp.ch
EXQUIS Martine
Av. Grand Champsec 18 B
1950 SION
Canton(s) de supervision : Valais
LA FONTANELLE - FOYER D'ACCUEIL
1891 MEX VS
Tél. : 027 767 11 22
Domaine d'activité :
Individuelle/Groupe
Email : martineexquis@netplus.ch
Portable : 079 432 37 69
FACELLI-ISELI Rose-Marie
Route du Puits 19
1740 NEYRUZ
Canton(s) de supervision : Fribourg - Vaud
Tél. : 026 477 04 45 Fax : 026 477 04 46
Domaine d'activité :
Individuelle/Groupe
Email : r.facelli@bluewin.ch
Portable : 079 214 75 80
FAVRE Michel
1723 MARLY
Canton(s) de supervision : Fribourg
ADMINISTRATION COMMUNALE
Route de Chésalles 49
1723 MARLY
Tél. : 026 436 40 50 Fax : 086-079 634 32 84 Fax : 086 079 634 32 84
Domaine d'activité : loisir jeunesse, formateur en promotion de qualité
Individuelle/Groupe
Email : etrier@bluewin.ch Email : anjm@bluewin.ch
Portable : 079 634 32 84
-!16!- 07.04.05
Adresse privée Adresse professionnelle
FEHLBAUM Anne
Petit Catéchisme 7
2000 NEUCHATEL
Canton(s) de supervision : Berne - Neuchâtel - Vaud
SERVICE DES MINEURS ET DES TUTELLES - OFFICE DES TUTELLES
Faubourg de l'Hôpital 36
2000 NEUCHATEL
Tél. : 032 889 85 31 Tél. : 032 724 30 47 Fax : 032 724 30 47
Domaine d'activité : mandats office des mineurs
Individuelle
Email : Anne.Fehlbaum@ne.ch
Portable : 078 711 83 39
FISCHER Nina
Ch. de la Chapelle
1077 SERVION
Canton(s) de supervision : Fribourg - Vaud
EESP - ECOLE D'ETUDES SOCIALES ET PEDAGOGIQUES
Chemin des Abeilles 14
1000 LAUSANNE 24
Tél. : 021 651 62 00 Tél. : 021 903 22 86 Fax : 021 903 22 86
Domaine d'activité : ateliers
Individuelle
Email : nfische_lindema@hotmail,ch
Portable : 076 380 22 86
FIVAZ Monique
Ruelle de Cojonnex 10
1807 BLONAY
Canton(s) de supervision : Fribourg - Valais - Vaud
L'ARTISSAGE
Ch. du Plan-Bourdin 4B
1806 ST-LEGIER
Tél. : 021 943 59 75 Fax : 021 943 59 75 Tél. : 021 943 18 00 Fax : 021 943 59 75
Domaine d'activité : handicap mental, toxicos dépendances
Individuelle/Groupe
Email : tonique@bluewin.ch
Portable : 079 338 45 08
FOL Robert
Ch. Sous-Balme 8
1255 VEYRIER
Canton(s) de supervision : Genève - Vaud
OOFP - CENTRE DES TROIS-CHENE
Chemin de la Montagne 136
1224 CHENE-BOUGERIES
Tél. : 022 869 44 44 Fax : 022 869 44 55 Tél. : 022 784 68 01
Domaine d'activité : orientation scolaire et prof., gestion carrière
Individuelle/Groupe
Email : folrobert@yahoo.fr Email : robert.fol@etat.ge.ch
Portable : 079 478 68 11
FRIBOULET Marguerite
Rue du Marchet 12
1740 NEYRUZ
Canton(s) de supervision : Fribourg
PRO INFIRMIS
Route des Arsenaux 9
1705 FRIBOURG
Tél. : 026 347 15 Fax : 026 347 40 01 Tél. : 026 477 31 25 Fax : 026 347 40 01
Domaine d'activité : personnes handicapées
Individuelle/Groupe
Email : maguerite.friboulet@proinfirmis.ch Email : marguerite.friboulet@proinfirmis.ch
Portable : 078 805 12 26
-!17!- 07.04.05
Adresse privée Adresse professionnelle
GAGNEBIN Bertrand
Sous L'Eau Belle 25
2534 ORVIN
Canton(s) de supervision : Berne - Neuchâtel
COLLEGE DU CHATELET
Rue du Châtelet 37
2504 BIEL/BIENNE
Tél. : 032 342 30 38 Tél. : 032 358 15 84 Fax : 032 358 22 54
Domaine d'activité : branches scientifiques
Individuelle
Email : tbgagnebin@yahoo.ca
GAILLARD-KOCHER Marainne
La Pièce
1273 LE MUIDS
Canton(s) de supervision : Vaud
Tél. : 022 366 23 84 Fax : 022 366 23 13
Domaine d'activité :
Individuelle
Email : md.kocher@bluewin.ch
GALLAND Sylvie
Chemin des Planches 42
1066 EPALINGES
Canton(s) de supervision : Vaud
Tél. : 021 784 47 16
Domaine d'activité :
Individuelle/Groupe
Email : sygalland@hotmail.com
GAUDARD Jean-Pierre
Chemin du Saux 20
1052 LE MONT-SUR-LAUSANNE
Canton(s) de supervision : Vaud
LA CIGALE
Av. de Montolieu 84
1010 LAUSANNE
Tél. : 021 652 44 17 Fax : 021 652 44 15 Tél. : 021 653 36 60 Fax : 021 653 36 65
Domaine d'activité : éducation
Individuelle/Groupe
Email : jpgaudard@vtx.ch Email : la cygale@swissonline.ch
Portable : 079 366 99 38
GENIER Jean-Marc
Sur les Quais 33
1342 LE PONT
Canton(s) de supervision : Vaud
Tél. : 021 841 17 04 Fax : 021 841 17 00
Domaine d'activité : culture et social
Individuelle/Groupe
Email : jmgenier@eesp.ch
Portable : 079 210 20 61
-!18!- 07.04.05
Adresse privée Adresse professionnelle
GENOUD Marité
Ch. de la Petite Boissière 44
1208 GENEVE
Canton(s) de supervision : Genève
GENOUD MARITE
Rue des Terreaux-du-Temple 4
1201 GENEVE
Tél. : 022 731 01 45 Fax : Tél. : 022 700 46 46
Domaine d'activité : enfants, adultes
Individuelle/Groupe
Email : genoud.marité@freesurf.ch
GILLIOZ Anne
Route de Chenarlier 14
1872 TROISTORRENTS
Canton(s) de supervision : Valais
SCJ
Avenue de France 37
1870 MONTHEY
Tél. : 024 473 35 70 Fax : 024 473 35 71 Tél. : 024 477 20 93
Domaine d'activité : consult. et thérap. indiv.0-18 an, systémique
Individuelle/Groupe
Email : anne.gillioz@admin.vs.ch
Portable : 079 504 23 20
GRABER-BRAENDLIN Anne-Catherine
Rue Floréal 5
1350 ORBE
Canton(s) de supervision : Berne - Fribourg - Genève - Jura - Neuchâtel - Vaud
Tél. : 024 441 70 48
Domaine d'activité : prom. santé, santé commun., recherche...
Individuelle
Email : ac.graber@bluewin.ch
GREC François
Chemin des Ormeaux 26
1066 EPALINGES
Canton(s) de supervision : Vaud
AEMO LAUSANNE
Rte d'Oron 77
1010 LAUSANNE
Tél. : 021 651 04 04 Fax : 651 04 00 Tél. : 021 652 27 91
Domaine d'activité : ambulatoire 0 - 18 ans
Individuelle/Groupe
Email : francois.grec@buewin.ch Email : francois.grec@fjfnet.ch
GRESSLIN Philippe
Chemin de Carvalho 5
1009 PULLY
Canton(s) de supervision : Vaud
LA FEUILLERE - MAISON D'ENFANTS
Ch. de la Viane 54
1052 LE MONT-SUR-LAUSANNE
Tél. : 021 651 99 88 Fax : 021 651 99 89 Tél. : 021 729 59 41 Fax : 021 651 99 89
Domaine d'activité : éducation spécialisée
Individuelle/Groupe
Email : philippe.gresslin@bluewin.ch Email : feuillere@bluewin.ch
Portable : 079 509 54 82
-!19!- 07.04.05
Adresse privée Adresse professionnelle
GREUB Josiane
Puits 27
2300 LA CHAUX-DE-FONDS
Canton(s) de supervision : Berne - Neuchâtel
HEP-BEJUNE
Ch. de la Ciblerie 45
2503 BIEL/BIENNE
Tél. : 032 919 69 03 Fax : 032 919 60 55 Tél. : 032 968 60 01 Fax : 032 968 95 04
Domaine d'activité : formation continue des enseigant-e-s
Individuelle/Groupe
Email : josiane.greub@bluewin.ch Email : josiane.greub@hep-bejune.ch
Portable : 079 637 86 43
GROS-ZUFFEREY Huguette
Raidillon 5
1066 EPALINGES
Canton(s) de supervision : Fribourg - Genève - Valais - Vaud
PRO JUVENTUTE LAUSANNE-REGION
Place Chauderon 24
1003 LAUSANNE
Tél. : 021 661 30 38 Fax : 021 661 30 39 Tél. : 021 784 06 69
Domaine d'activité : jeunesse
Individuelle/Groupe
Email : proju-lsne@bluewin.ch
Portable : 079 662 74 60
GRUETTER FURLER Teresa
Via Ronco 28A
6618 ARCEGNO
Canton(s) de supervision : Tessin
Tél. : 091 791 09 43
Domaine d'activité : foyer
Individuelle/Groupe
Portable : 079 293 96 26
GSCHWEND Christine
Rte de Clémesin 8
2057 VILLIERS
Canton(s) de supervision : Berne - Fribourg - Jura - Neuchâtel
COLLEGE DES ACACIAS
Rue de Pierre-à-Bot 24
2002 NEUCHATEL
Fax : Tél. : 032 853 45 16
Domaine d'activité :
Individuelle/Groupe
Email : christine.gschwend@net2000.ch Email : christine.gschwend@rpn.ch
Portable : 076 502 27 16
GUELAT Gabriel
Chemin de Champ-Pamont 31
1033 CHESEAUX-SUR-LAUSANNE
Canton(s) de supervision : Vaud
L'ESPERANCE
Rte de Lavigny 7
1163 ETOY
Tél. : 021 821 13 13 Fax : 021 821 13 14 Tél. : 021 731 38 96
Domaine d'activité : éducation, handicap mental adulte
Individuelle/Groupe
Email : g.guelat@hispeed.ch Email : g.guelat@esperance.ch
Portable : 079 687 13 61
-!20!- 07.04.05
Adresse privée Adresse professionnelle
HODEL Danièle
Chemin Château Sec 35
1009 PULLY
Canton(s) de supervision : Vaud
CENTRE MEDICO-SOCIAL PRILLY
Rte de Cossonay 26
1008 PRILLY
Tél. : 021 620 02 70 Fax : 021 620 02 80 Tél. : 021 728 68 83
Domaine d'activité : médico-social
Individuelle/Groupe
Email : danièle.hodel@omsv.vd.ch
HUGUENIN Eric
Av. Fornachon 6
2034 PESEUX
Canton(s) de supervision : Neuchâtel - Vaud
FONDATION DE VERNAND
Chemin de Praz-Lau 5
1033 CHESEAUX-SUR-LAUSANNE
Tél. : 021 731 94 11 Fax : 021 731 94 13
Domaine d'activité : handicap mental
Individuelle/Groupe
Email : ehuguenin@dplanet.ch Email : qualite@fondation-de-vernand.ch
Portable : 076 345 60 11
HUTMACHER Ruth
Rue Montchoisy 74
1207 GENEVE
Canton(s) de supervision : Genève
Tél. : 022 786 76 26 Fax : 0222 786 76 26
Domaine d'activité : anciennement petite enfance, délingance juvénile
Individuelle/Groupe
Email : ruth.hutmacher@bluewin.ch
Portable : 079 359 74 80
ISCHER Olivier
Chemin des Merles 21
1213 ONEX
Canton(s) de supervision : Genève
LE POINT
Rue Ardutius-de-Faucigny 2
1204 GENEVE
Tél. : 022 327 08 08 Tél. : 022 793 84 36
Domaine d'activité : développement collectif, gestion de crise
Individuelle
Email : olivier.ischer@etat.ge.ch
Portable : 079 645 23 43
JECKER Thomas
Route de la Berra 14
1752 VILLARS-SUR-GLANE
Canton(s) de supervision : Berne - Fribourg - Genève - Jura - Neuchâtel - Valais - Vaud
HEF-TS
Rue Jean-Prouvé 10
1762 GIVISIEZ
Tél. : 026 460 85 70 Fax : 026 460 85 71 Tél. : 026 401 28 88
Domaine d'activité : travail social / santé-social
Individuelle/Groupe
Email : jecker@hef-ts.ch
Portable : 079 669 03 49
-!21!- 07.04.05
Adresse privée Adresse professionnelle
JOLY Marc
Av. de la Praille 32
1227 CAROUGE
Canton(s) de supervision : Genève
ARC-EN-CIEL
Route de Soral 12
1232 CONFIGNON
Tél. : 022 757 23 38 Fax : 022 757 49 97 Tél. : 022 342 49 35
Domaine d'activité : éducation, groupe psychodrame, thérapie famille
Individuelle
Email : marcjolych@hotmail.com Email : arcenciel@astural.ch
Portable : 079 661 66 53
KELLER Véréna
Rue des Gares 27
1201 GENEVE
Canton(s) de supervision : Genève - Vaud
EESP - ECOLE D'ETUDES SOCIALES ET PEDAGOGIQUES
Chemin des Abeilles 14
1000 LAUSANNE 24
Tél. : 021 651 62 00 Tél. : 022 733 48 74
Domaine d'activité : service social, pauvreté, politique sociale
Individuelle/Groupe
Email : vkeller@eesp.ch
KOBEL Michèle
Ch. du Motier 5
2024 ST-AUBIN
Canton(s) de supervision : Neuchâtel
COLLEGE SECONDAIRE LES CERISIERS
Rue Lancelot 1
2023 GORGIER
Tél. : 032 836 29 79 Fax : 032 836 29 80 Tél. : 032 835 48 01
Domaine d'activité : pdagogie, ens., soutien, formation, accompagnement
Individuelle
Email : michele.kobel@rph.ch Email : michele.kobel@rpn.ch
Portable : 079 209 09 16
KOLLY-OTTIGER Isabelle
Rue Fontanel 5
1227 CAROUGE
Canton(s) de supervision : Genève
CEFOC
Rue des Voisins 30
1211 GENEVE 4
Tél. : 022 322 14 33 Fax : 022 781 62 34 Tél. : 022 301 27 36
Domaine d'activité : social - santé
Individuelle/Groupe
Email : ikollyo@freesurf.ch
Portable : 076 576 74 26
KOTTELAT Jacques
Moissons 11
2800 DELEMONT
Canton(s) de supervision : Berne - Jura
AEMO - FONDATION ST-GERMAIN
Chemin du Creux-de-la-Terre 1
2800 DELEMONT
Tél. : 032 422 55 43 Fax : Tél. : 032 422 04 47 Fax : 032 423 01 94
Domaine d'activité : éducation spécialisée, formation d'adultes
Individuelle/Groupe
Email : j.kottelat@bluewin.ch
Portable : 079 280 03 42
-!22!- 07.04.05
Adresse privée Adresse professionnelle
KRAYENBUHL BAUDOUIN Chantal
Avenue des Tilleuls 34
1203 GENEVE
Canton(s) de supervision : Genève
LE CHATELEINE
Rte de Vernier 92
1219 LE LIGNON
Tél. : 022 796 82 64 Fax : 022 796 83 12 Tél. : 022 345 39 31 Fax : 022 796 83 12
Domaine d'activité : externat pédagothérapeutique
Individuelle/Groupe
Email : chatelaine@astural.ch Email : chatelaine@astural.ch
KREBS Blaise-Alain
Impasse des Pins 6
2016 CORTAILLOD
Canton(s) de supervision : Neuchâtel
FOYER JEANNE ANTIDE
Rue de la Jardinière 121
2300 LA CHAUX-DE-FONDS
Tél. : 032 913 16 14 Fax : 032 914 10 68 Tél. : 032 842 45 37
Domaine d'activité : petite enfance
Individuelle/Groupe
Email : mabak@bluewin.ch Email : blaise-alain.krebs@ne.ch
Portable : 079 635 43 32
KRETSCHMER Micheline
Rue du Conseil Général 18
1205 GENEVE
Canton(s) de supervision : Genève - Jura - Neuchâtel - Vaud
Tél. : 022 328 35 17
Domaine d'activité :
Individuelle
Email : micheline.kretschmer@bluewin.ch
KRONNER Denis
Maisons familiales 37
1018 LAUSANNE
Canton(s) de supervision : Vaud
Tél. : 021 647 88 08
Domaine d'activité : santé mentale - handicap - éducation
Individuelle/Groupe
KRUTTLI Françoise
Rue du Nord 28
2800 DELEMONT
Canton(s) de supervision : Jura
ECOLE PUBLIQUE PRIMAIRE
Rue des Arquebusiers 9
2800 DELEMONT
Tél. : 032 422 78 33 Tél. : 032 422 45 19
Domaine d'activité :
Individuelle/Groupe
Email : françoise.kruttli@educonet.ch
-!23!- 07.04.05
Adresse privée Adresse professionnelle
KURZ GUILLOT Josette
Rue Amat 6
1202 GENEVE
Canton(s) de supervision : Genève
Tél. : 022 732 08 86
Domaine d'activité : parents - enfants
Individuelle/Groupe
Email : jokurz@freesurf.ch
LACASA Marie-Josée
Promenade de l'Europe 35
1203 GENEVE
Canton(s) de supervision : Genève - Vaud
LACASA MARIE-JOSE, PSYCHOLOGUE
Rue des Eaux-Vives 94
1207 GENEVE
Tél. : 022 345 40 73
Domaine d'activité : psychothérapie couple, famille
Individuelle/Groupe
Email : laca-mac@bluewin.ch Email : laca-mac@bluewin.ch
Portable : 079 206 44 79
LAPOUILLE Anne-Dominique
Rue des Confessions 5
1203 GENEVE
Canton(s) de supervision : Genève
FOYER PICCOLO
Rte du Grand-Lancy 161
1213 ONEX
Tél. : 022 793 86 92 Tél. : 022 340 14 25
Domaine d'activité : enfance
Individuelle/Groupe
Email : alapuille@bluewin.ch
LECHENNE Philippe
Rue du Roveray 11
1207 GENEVE
Canton(s) de supervision : Genève
OFFICE PROTESTANT
Rue de la Madeleine 10
1204 GENEVE
Tél. : 022 311 82 11 Fax : 022 312 29 79 Tél. : 022 736 06 89
Domaine d'activité : consultations
Groupe
Email : plechenne@bluewin.ch
LECHENNE-RICHARD Colette
Rue du Roveray 14
1207 GENEVE
Canton(s) de supervision : Valais
LECHENNE COLETTE
Rue du Roveray 14
1207 GENEVE
Tél. : 022 700 41 64 Fax : 022 700 41 64 Tél. : 022 700 41 64 Fax : 022 700 41 64
Domaine d'activité : éducatif, social et thérapeutique
Individuelle/Groupe
Email : clechenne@artsalou.ch
-!24!- 07.04.05
Adresse privée Adresse professionnelle
LEDERREY Léo
Les Puisses
1987 HEREMENCE
Canton(s) de supervision : Valais - Vaud
HEVS2 TRAVAIL SOCIAL
Gravelone 5
1950 SION
Fax : o27 281 24 58 Tél. : 027 281 24 58 Fax : 027 281 24 58
Domaine d'activité : relations humaines
Individuelle/Groupe
Email : leo@relationshumaines.ch Email : leo@relationshumaines.ch
Portable : 079 434 85 18
LEIBELT Ruth
Clos de la Fonderie 21
1227 CAROUGE
Canton(s) de supervision : Genève
CENTRE LE PONT
Place de l'Octroi 11
1227 CAROUGE GE
Tél. : 022 342 00 23 Tél. : 022 300 44 24
Domaine d'activité : adolescence et autres
Individuelle/Groupe
LEYMARIE PADUANO Maire-Françoise
1613 MARACON
Canton(s) de supervision : Fribourg - Neuchâtel - Vaud
CENTRE COMMUNAL POUR ADOLESCENTS
Avenue de Valmont 35
1010 LAUSANNE
Tél. : 021 653 16 22 Fax : 021 653 16 62 Tél. : 021 907 94 84
Domaine d'activité : éducation spécialisée
Individuelle/Groupe
Email : marie_francoise.leymairie@lausanne.ch Email : marie-francoise.leymarie@lausanne.ch
LIBOIS Joëlle
Rue Centrale 6
1247 ANIERES
Canton(s) de supervision : Genève
INSTITUT D'ETUDES SOCIALES
Rue Prévost-Martin 28
1211 GENEVE 4
Tél. : 022 322 14 52 Fax : 022 322 14 99 Tél. : 022 751 11 58 Fax : 022 322 14 99
Domaine d'activité : animation/analyse du travail/dynamique d'équipe
Individuelle/Groupe
Email : joelle.libois@ies.unige.ch Email : joelle.libois@ies.unige.ch
LOVY REBETEZ Béatrice
Rue Dumont 83
2800 DELEMONT
Canton(s) de supervision : Jura
ECOLE PUBLIQUE SECONDAIRE
Geneveret
2824 VICQUES
Tél. : 032 432 64 92 Tél. : 032 422 81 80
Domaine d'activité : enseignement
Individuelle
Email : b.lovyrebetez@bluewin
-!25!- 07.04.05
Adresse privée Adresse professionnelle
MADER Laurent
Combe-Sandoz 11
2400 LE LOCLE
Canton(s) de supervision : Neuchâtel
FAS
Rue du Collège 11 / C.P. 2163
2302 LA CHAUX-DE-FONDS
Tél. : 032 919 75 17 Fax : 032 919 65 16 Tél. : 032 931 65 37 Fax : 032 931 65 37
Domaine d'activité : service social
Individuelle/Groupe
Email : laurent.mader@bluewin.ch Email : Laurent.Mader@ne.ch
MAHLER Jean
En Amont
1784 WALLENRIED
Canton(s) de supervision : Fribourg - Neuchâtel - Vaud
MAHLER
Route du Mont-Carmel 2
1762 GIVISIEZ
Tél. : 026 466 82 22 Fax : 026 466 82 22 Tél. : 026 466 82 22 Fax : 026 466 82 22
Domaine d'activité : psychtérapie, supervision, formation adultes
Individuelle/Groupe
MAHOT Georges
Route d'Ecône 2
1907 SAXON
Canton(s) de supervision : Fribourg - Genève - Valais - Vaud
HOME LA TOUR EMERA
Av. St-François 18
1950 SION
Tél. : 027 322 22 38 Fax : 027 322 82 51 Tél. : 027 744 35 39
Domaine d'activité : adultes souffrant de troubles psychiques
Individuelle/Groupe
Email : gmahot@yahoo.fr Email : hometour@emera.ch
Portable : 078 804 11 51
MAILLEFER Fabienne
Rue des Pêcheurs 8
1400 YVERDON-LES-BAINS
Canton(s) de supervision : Genève - Valais - Vaud
MAILLEFER FABIENNE
Centre St-Roch, Rue des Pêcheurs 8
1400 YVERDON-LES-BAINS
Tél. : 024 425 24 27
Domaine d'activité : superv., formation, dom. adductions, ados, adultes
Individuelle/Groupe
Email : fabienne.maillefer@bluewin.ch Email : fabienne.maillefer@bluewin.ch
Portable : 078 640 38 00
MARGUET Jean-Claude
Rue Abraham-Robert 2
2300 LA CHAUX-DE-FONDS
Canton(s) de supervision : Neuchâtel
SERVICE D'ENSEIGNEMENT OBLIGATOIRE
Rue de l'Ecluse 67
2001 NEUCHATEL 1
Tél. : 032 889 69 20 Tél. : 032 913 12 12 Fax : 032 913 12 12
Domaine d'activité : enseignement obligatoire
Individuelle/Groupe
Email : jean-claude.marguet@bluewin.ch
-!26!- 07.04.05
Adresse privée Adresse professionnelle
MARQUIS Annemarie
Avenue des Bosquets-de-Julie 42
1815 CLARENS
Canton(s) de supervision : Vaud
CHUV - FORMATION CONTINUE DES SOINS INFIRMIERS
Mont Paisible 16
1011 LAUSANNE
Tél. : 021 314 18 62 Fax : 021 314 18 28 Tél. : 021 964 33 38
Domaine d'activité : enseignement, consultation et supervision
Individuelle/Groupe
Email : Annemarie.Marquis@chuv.hospvd.ch
MARRO Jean-Jacques
Avenue de la Plage 69
1028 PREVERENGES
Canton(s) de supervision : Vaud
ASSOCIATION RELAIS DE MORGES
Grand-Rue 82
1110 MORGES
Tél. : 021 804 88 11 Fax : 021 801 86 02 Fax : 021 803 47 67
Domaine d'activité : Toxicomanie / sida
Individuelle
Email : jjmarro@relais.ch Email : administration@relais.ch
Portable : 079 233 30 06
MARTIN Philippe-André
Chemin du Frêne 6
1004 LAUSANNE
Canton(s) de supervision : Valais - Vaud
Tél. : 021 646 24 63
Domaine d'activité : éducatif/paramédical/anim./thérapie famille
Individuelle/Groupe
MARTINAL-BESSERO Brigitte
Rue de la Poste 24
1926 FULLY
Canton(s) de supervision : Valais - Vaud
MARTINAL BESSERO
Rue de la Poste 24
1926 FULLY
Tél. : 027 746 17 00 Fax : 027 746 17 00 Tél. : 027 746 17 00 Fax : 027 746 17 00
Domaine d'activité : privé, 20% institution, chargée de cours HES Sion
Individuelle/Groupe
Email : stephane.bessero@mycable
Portable : 079 611 57 26
MATTHEY Pierre
Rte du Saconnex d'Arve 252
1228 PLAN-LES-OUATES
Canton(s) de supervision : Genève
FOYER CLAIR BOIS - PINCHAT
Chemin Henry Baumgartner 5
1234 VESSY
Tél. : 022 827 89 50 Fax :
Domaine d'activité : adultes poly-handicapés
Individuelle/Groupe
Portable : 078 618 01 09
-!27!- 07.04.05
Adresse privée Adresse professionnelle
MAURY Odile
Rue Délèze 12
1920 MARTIGNY
Canton(s) de supervision : Valais
LIGUE VALAISANNE CONTRE LES TOXICOMANIES
Rue d'Octodure 10 B
1920 MARTIGNY
Tél. : 027 721 26 33 Fax : 027 723 23 22 Tél. : 027 722 77 57
Domaine d'activité : toxicomanies + alcool
Individuelle
Email : odilemaury@hotmail.com Email : odile.maury@lvt.ch
MAYE Olivier
Ch. des Collines 5
1950 SION
Canton(s) de supervision : Valais
CYCLE D'ORIENTATION DE ST-GUERIN
Avenue Petit-Chasseur 43
1950 SION
Tél. : 027 324 13 32 Tél. : 027 321 31 00
Domaine d'activité : enseignement
Individuelle/Groupe
MAYOR Simone
Au Praz Derrey
1613 MARACON
Canton(s) de supervision : Fribourg - Vaud
Tél. : 021 907 82 52 Fax : 021 907 82 52
Domaine d'activité :
Individuelle
Email : mayor-bieler@bluewin.ch
MERCIER Madeleine
Rue de Lausanne 25
1028 PREVERENGES
Canton(s) de supervision : Vaud
AEMO LAUSANNE
Route d'Oron 77
1010 LAUSANNE
Tél. : 021 651 04 04 Fax : 021 651 04 00 Tél. : 021 801 74 76
Domaine d'activité : milieu ouvert
Individuelle/Groupe
Email : aemo.lausanne@fjfnet.ch
METRAL Alain
Les Neys 11
1872 TROISTORRENTS
Canton(s) de supervision : Valais - Vaud
Tél. : 024 477 30 53 Fax : 024 477 30 53
Domaine d'activité :
Individuelle/Groupe
Email : a.metral@econophone.ch
Portable : 079 433 23 14
-!28!- 07.04.05
Adresse privée Adresse professionnelle
MONARD Philippe
La Porte des Chaux
2405 LA CHAUX-DU-MILIEU
Canton(s) de supervision : Neuchâtel
OFFICE DES TUTELLES
Rue du Rocher 7
2300 LA CHAUX-DE-FONDS
Tél. : 032 919 75 28 Tél. : 032 936 11 35
Domaine d'activité : service social
Individuelle/Groupe
Email : Philippe.Monard@ne.ch Email : Philippe.Monard@ne.ch
MONNERET Gérard
Ch. du Petit Clos 3
1800 VEVEY
Canton(s) de supervision : Vaud
CLASSES ENSEIGNEMENT SPECIALISE 3
Ch. du Petit-Clos 3
1800 VEVEY
Tél. : 021 925 59 81 Fax : Tél. : 021 922 90 74
Domaine d'activité : enseignement branches générales + TM
Individuelle
MONNIER Sylvie
Rampe de Chavant 12
1232 CONFIGNON
Canton(s) de supervision : Genève
CEFOC
Rue des Voisins 30
1211 GENEVE 4
Tél. : 022 322 14 47 Tél. : 022 757 57 90
Domaine d'activité : formation continue
Individuelle/Groupe
Email : sylvie.monnier@ies.unige.ch
MORA-BROGLI Agnès
Route de Genève 36
1180 ROLLE
Canton(s) de supervision : Genève - Vaud
PRE DE VERT - ENSEIGNEMENT SPECIALISE
Route de Genève 34
1180 ROLLE
Tél. : 021 825 30 21 Tél. : 021 825 30 04 Fax : 021 825 30 15
Domaine d'activité : enseignement
Individuelle/Groupe
Email : lesmora@bluewin.ch
Portable : 079 274 68 30
MORARD Marie-josé
Ch. des Recluses 10
1213 PETIT-LANCY
Canton(s) de supervision : Genève
FONDATION SGIPA
Rue Alexandre Gavard 35
1227 CAROUGE
Tél. : 022 342 62 70 Fax : 022 342 62 70 Tél. : 022 793 73 10 Fax : 022 793 73 10
Domaine d'activité : pers. hand. mentale adultes et enfants
Individuelle
Email : majo.morard@freesurf.ch
Portable : 079 446 32 36
-!29!- 07.04.05
Adresse privée Adresse professionnelle
MOREL Martine
Le Château
1358 VALEYRES-SOUS-RANCES
Canton(s) de supervision : Vaud
Tél. : 024 441 03 73 Fax : 024 441 03 73
Domaine d'activité :
Individuelle/Groupe
Email : m.morel@bluewin.ch
MOREL-FAVRE Christine
Avenue Glayre 5
1004 LAUSANNE
Canton(s) de supervision : Vaud
LE COTEAU
Ch. de Grand-Vennes 32
1000 LAUSANNE 24
Tél. : 021 653 11 08 Tél. : 021 647 32 55
Domaine d'activité : encadrement relation parents - enfant
Individuelle/Groupe
Portable : 079 703 52 84
MOSIMANN Bernard
Route des Alpes 883
01280 PREVESSIN-MOENS
Canton(s) de supervision : Genève
MAISON D'ENFANTS PIERRE GRISE
Chemin des Chênes 15
1294 GENTHOD
Tél. : 022 959 70 10 Tél. : 0033 450 28 00 53
Domaine d'activité : internat pédago-thérapeutique
Individuelle/Groupe
Email : bernard.mosimann@hiscali.fr Email : bernard.mosimann@ge-ariane.ch
MOTTET Philippe
Rte de Signèse 38
1966 AYENT
Canton(s) de supervision : Valais
VILLA FLORA
Chemin des Cyprès 4
3964 MURAZ(SIERRE)
Tél. : 027 455 75 51 Tél. : 027 398 30 22
Domaine d'activité : dépendance
Individuelle/Groupe
Portable : 079 540 14 04
MOULIN Daniel
Rue des Vergers 23
1941 VOLLEGES
Canton(s) de supervision : Valais
CMS ENTREMONT
La Cure
1933 SEMBRANCHER
Tél. : 027 785 25 85 Fax : 027 785 25 38 Tél. : 027 785 18 71
Domaine d'activité :
Individuelle/Groupe
Email : sms.dmoulin@dransnet.ch
-!30!- 07.04.05
Adresse privée Adresse professionnelle
MOULIN Fabien
Rue de l'Eglise 10
1975 ST-SEVERIN
Canton(s) de supervision : Fribourg - Valais - Vaud
MOULIN
Rue du Rhône 29
1950 SION
Tél. : 079 695 57 44
Domaine d'activité : éducation, social
Individuelle/Groupe
Email : fabien.moulin@tvsenet.ch Email : fabien.moulin@tvs2net.ch
Portable : 079 645 57 44
MOUTHON Olivier
Route du Chili 2
1870 MONTHEY
Canton(s) de supervision : Valais - Vaud
CENTRE DES MARMETTES
Case postale 1363
1870 MONTHEY
Tél. : 024 472 19 09 Fax : 024 472 19 42
Domaine d'activité :
Individuelle/Groupe
Email : o.mouthon@frsa.ch Email : o.mouthon@frsa.ch
Portable : 079 477 36 29
MUSILLO Italo
c/o Sémaphore C.P. 3074
1211 GENEVE 3
Canton(s) de supervision : Genève - Vaud - Tessin
COLLECTIF SEMAPHORE
1211 GENEVE 3
Tél. : 022 736 95 81
Domaine d'activité : sociologie d'équipe et d'institutions
Groupe
Email : semaphore5@hotmail.ch
Portable : 079 691 20 78
MUSILLO Simonetta
c/o Sémaphore C.P. 3074
1211 GENEVE 3
Canton(s) de supervision : Genève
COLLECTIF SEMAPHORE
1211 GENEVE 3
Tél. : 022 736 95 81
Domaine d'activité :
Individuelle
Email : semaphore5@hotmail.ch
PAVILLON WEISS Janine
Montligstrasse 1
2575 TAUFFELEN
Canton(s) de supervision : Berne - Fribourg - Neuchâtel
Tél. : 032 396 22 19 Fax : 032 396 22 19
Domaine d'activité :
Individuelle
Email : jpavillonweiss@bluewin.ch
Portable : 079 603 75 90
-!31!- 07.04.05
Adresse privée Adresse professionnelle
PERROT Muriel
Rte Suisse 196
1290 VERSOIX
Canton(s) de supervision : Genève - Vaud
Tél. : 022 755 45 39
Domaine d'activité : accompagnement personnes malades et en fin de vie
Individuelle
PETIGNAT Pierre
La Violette 111
2517 DIESSE
Canton(s) de supervision : Berne
HEP-BEJUNE
Ch. de la Ciblerie 45
2503 BIEL/BIENNE
Tél. : 032 366 59 00 Tél. : 032 315 26 13 Fax : 032 315 26 13
Domaine d'activité : pédagogie + divers
Individuelle/Groupe
Email : pierre.petignat@hep.bejune.ch Email : ipb@hep-bejune.ch
Portable : 079 437 25 63
PEZZOLI Lorenzo
Carlo Pasta 3 B
6850 MENDRISIO
Canton(s) de supervision : Tessin
ANTENNA ALICE
Via al Chioso 3
6900 LUGANO
Tél. : 091 973 30 30 Fax : 091 971 87 79 Tél. : 091 646 33 61 Fax : 091 646 19 25
Domaine d'activité : toxicodependance
Individuelle/Groupe
Email : lorenzooezzoli@dplanet.ch Email : alicel@bluewin.ch
Portable : 076 317 10 58
PFISTER Jean-René
Rue Jean-Pelletier 5
1225 CHENE-BOURG
Canton(s) de supervision : Genève
SERVICE DE PROTECTION DE LA JEUNESSE
Rue Adrien Lachenal 8
1211 GENEVE 3
Tél. : 022 327 63 45 Fax : 022 327 63 52 Tél. : 022 348 55 07
Domaine d'activité : divorce
Individuelle
Portable : 078 613 94 79
PFISTNER Sylviane
Sentier de Courtaraye 8
1073 SAVIGNY
Canton(s) de supervision : Fribourg - Neuchâtel - Valais - Vaud
ESPACE RESSOURCES SARL
Rue St-Etienne 4
1005 LAUSANNE
Tél. : 021 320 23 33 Tél. : 021 781 29 70 Fax : 021 781 29 84
Domaine d'activité : institrutions, professionnels socio-éducatifs
Individuelle/Groupe
Email : s.pfistner@espaceressources.com Email : s.pfistner@espaceressources.com
Portable : 079 210 20 27
-!32!- 07.04.05
Adresse privée Adresse professionnelle
RAIS Georges
Rue Chanteclair 19
2800 DELEMONT
Canton(s) de supervision : Berne - Jura
Tél. : 032 422 53 88
Domaine d'activité : travail social, éducation, enseignement
Individuelle/Groupe
Email : georgesrais@bluewin.ch
RENAUD Alain
Avenue du Muret 12
1110 MORGES
Canton(s) de supervision : Vaud
Tél. : 021 801 76 19 Fax : 021 801 76 24
Domaine d'activité :
Individuelle/Groupe
Email : alain.claudin.renaud@bluewin.ch
REUSSER Monique
Av. Glayre 15
1004 LAUSANNE
Canton(s) de supervision : Vaud
CENTRE MEDICO-SOCIAL - RESIDENCE DU TALENT
Côte à Tenot 1
1040 ECHALLENS
Tél. : 021 886 16 20 Fax : 021 886 16 29 Tél. : 021 647 29 04
Domaine d'activité : santé-social / maintien à domicile
Individuelle
Email : monique.reu@vtx.ch Email : monique.reusser@omsv.vd.ch
REVERSAT Anny
Chemin du Pré-du-Camp 18
1228 PLAN-LES-OUATES
Canton(s) de supervision : Genève
Tél. : 022 793 26 41 Fax : 022 793 26 41
Domaine d'activité :
Individuelle/Groupe
Email : areversat@télé2.ch
REYMOND Anne-Marie
Les Jordils
1080 LES CULLAYES
Canton(s) de supervision : Fribourg - Genève - Valais - Vaud
CENTRE SOCIAL REGIONAL DE L'OUEST LAUSANNOIS
Rue de Lausanne 21
1020 RENENS VD
Tél. : 021 903 32 70
Domaine d'activité : Protection de la jeunesse
Individuelle/Groupe
Portable : 079 261 46 74
-!33!- 07.04.05
Adresse privée Adresse professionnelle
REYMOND-LECHOT Mireille
Chemin du Polny 9
1066 EPALINGES
Canton(s) de supervision : Fribourg - Genève - Valais - Vaud
CENTRE SOCIAL REGIONAL DE L'OUEST LAUSANNOIS
Rue de Lausanne 21
1020 RENENS VD
Tél. : 021 632 77 42 Fax : 021 632 77 98 Tél. : 021 320 64 29 Fax : 021 320 64 29
Domaine d'activité : protection de la jeunesse
Individuelle/Groupe
Email : mireille.reymond@tmin.vd.ch Email : Anne-Marie.Reymond@admin.vd.ch
Portable : 079 423 76 85
RODARI Riccardo
Boulevard Carl-Vogt 89
1205 GENEVE
Canton(s) de supervision : Genève - Vaud
INSTITUT D'ETUDES SOCIALES
Rue Prévost-Martin 28
1211 GENEVE 4
Tél. : 022 322 14 95 Tél. : 022 328 71 54
Domaine d'activité : travail social
Groupe
Email : r.rodarti@bluewin.ch Email : riccardo.rodari@ies.unige.ch
ROSSIER Claude
Rue du Stade
1992 LES AGETTES
Canton(s) de supervision : Valais
SERVICE ESPACE DE MEDIATIONS
Rue des Remparts 8
1950 SION 1
Tél. : 079 409 14 87 Tél. : 027 207 14 28
Domaine d'activité : jeunesse, famille, médiation, chargé cours
Individuelle/Groupe
Email : Claude.Rossier@admin.vs.ch Email : claude.rossier@admin.vs.ch
Portable : 079 409 14 87
ROSSIER Marc
Rue de Pierre Fleur 65
1958 UVRIER
Canton(s) de supervision : Valais
OFFICE CANTONAL POUR LA PROTECTION DE L'ENFANT
Avenue Max-Huber 2
3960 SIERRE
Tél. : 027 451 20 55 Fax : 027 451 20 59 Tél. : 027 203 67 75
Domaine d'activité :
Individuelle
Email : marc.rossier@netplus.ch
Portable : 079 224 45 11
ROSSIER DELALOYE Christiane
Chemin de la Cure 11
1012 LAUSANNE
Canton(s) de supervision : Vaud
COPAI
Rue des Uttins 38
1400 YVERDON-LES-BAINS
Tél. : 024 447 44 44 ou 48 Fax : 024 447 44 40 Tél. : 021 652 83 57 Fax : 021 653 19 27
Domaine d'activité : socioprofessionnel, évaluation globale
Individuelle/Groupe
Email : christiane.rossier.delaloye@vtxnet.ch Email : christiane.rossier.delaloye@oriph.ch
Portable : 079 273 26 92
-!34!- 07.04.05
Adresse privée Adresse professionnelle
ROUGET Etienne
Sous le Vernay
74490 ONNION
Canton(s) de supervision : Genève
CENTRE DE LOISIRS ET DE RENCONTRES
Route de Jussy 39
1226 THONEX
Tél. : 022 348 75 32 Fax : 022 348 31 90 Tél. : 0033 450 35 70 98
Domaine d'activité : animation socioculturelle
Individuelle/Groupe
Email : etienne.rouget@wanadoo.fr
ROULET Délphine
Rue Fontaine-André 7
2000 NEUCHATEL
Canton(s) de supervision : Neuchâtel - Vaud
UNIVERSITE - INSTITUT DE PSYCHOLOGIE BFSH2
Dorigny
1015 LAUSANNE 15
Tél. : 021 692 32 80 Tél. : 032 724 10 15
Domaine d'activité : gérontologie psychosociale
Individuelle/Groupe
Email : Delphine.Roulet@ip.unil.ch Email : Delphine. Roulet@unil.ch
Portable : 076 537 62 63
ROY Louis-Pierre
Ch. de Dallaz 16
1030 BUSSIGNY-PRES-LAUSANNE
Canton(s) de supervision : Vaud
EESP - ECOLE D'ETUDES SOCIALES ET PEDAGOGIQUES
Chemin des Abeilles 14
1000 LAUSANNE 24
Tél. : 021 651 62 00 Tél. : 021 701 08 48
Domaine d'activité : enseignement - formation
Individuelle/Groupe
Email : lproy@eesp.ch
RUDAZ Danielle
Quai Capo-d'Istria 7
1205 GENEVE
Canton(s) de supervision : Genève
CEFOC
Rue des Voisins 30
1211 GENEVE 4
Tél. : 022 320 39 75 Fax : 022 781 62 34 Tél. : 022 329 74 34
Domaine d'activité : créativit, écriture, petite enf., aide victimes...
Individuelle
RUDAZ Rita
Chemin de la Comète 11
1096 VILLETTE (LAVAUX)
Canton(s) de supervision : Vaud
Domaine d'activité : social et culturel
Individuelle/Groupe
Email : ritarudaz@yahoo.fr
Portable : 079 250 29 76
-!35!- 07.04.05
Adresse privée Adresse professionnelle
RUFER Christiane
Charmettes 79
2000 NEUCHATEL
Canton(s) de supervision : Neuchâtel
COLLEGE DU MAIL
Av. Bellevaux 52
2000 NEUCHATEL
Tél. : 032 730 22 18
Domaine d'activité :
Individuelle/Groupe
Email : crufer@bluemail.ch
SAULMIER-HUMBERSET Judith
Ch. du Vieux-Bureau 96
1217 MEYRIN
Canton(s) de supervision : Genève
ASSOCIATION APPARTEMENT DE JOUR - APAJ
Rue des Asters 4
1202 GENEVE
Tél. : 022 733 07 64 Fax : 022 739 32 04 Tél. : 022 782 79 69
Domaine d'activité : accueil de jour, personne souffrant probl psych.
Individuelle
Email : apaj@asil.ch
Portable : 078 743 68 59
SCHINDELHOLZ Maryvonne
Place de la Foire 8A
2800 DELEMONT
Canton(s) de supervision : Berne - Jura - Neuchâtel
Tél. : 032 422 30 57
Domaine d'activité :
Individuelle/Groupe
Portable : 078 613 97 97
SCHNEIDER François
Rue Bellevue 9
2206 LES GENEVEYS-SUR-COFFRANE
Canton(s) de supervision : Fribourg - Jura - Vaud
Tél. : 032 857 15 64 Fax : 032 857 15 64
Domaine d'activité : systémique CAM
Individuelle
Email : fschneider@modeleurargile.com
SERMET Isabelle
Rue des Dolaires 6 A
2063 SAULES
Canton(s) de supervision : Neuchâtel
Tél. : 032 853 53 61 Fax : 032 853 53 61
Domaine d'activité : pédagogie, systémique CHM
Individuelle/Groupe
-!36!- 07.04.05
Adresse privée Adresse professionnelle
SEURET Jean-Claude
Route du Grand-Lancy 159
1213 ONEX
Canton(s) de supervision : Genève - Vaud
FONDATION DU MIDI
Chemin du Midi 2
1260 NYON
Tél. : 022 994 75 00 Fax : 022 994 75 30 Tél. : 022 793 41 57 Fax : 022 793 41 57
Domaine d'activité : établissement médico-social
Individuelle
Email : jseuret@infomaniak.ch Email : dir@fondationmidi.org
Portable : 079 344 01 80
SIERRO-CHAVAZ Colette
Rue du Simplon 10
1920 MARTIGNY
Canton(s) de supervision : Fribourg - Neuchâtel - Valais - Vaud
OFFICE CANTONAL POUR LA PROTECTION DE L'ENFANT
Rue d'Octodure 10 B
1920 MARTIGNY
Tél. : 027 721 26 15 Fax : 027 721 26 65 Tél. : 027 722 19 01 Fax : 027 721 26 65
Domaine d'activité : office des mineurs VS
Individuelle/Groupe
Email : colette.sierro@admin.vs.ch
Portable : 079 720 43 85
SILVANIE Jacques
Avenue du Simplon 60
1870 MONTHEY
Canton(s) de supervision : Valais - Vaud
Tél. : 024 471 70 72 Fax : 024 472 25 65
Domaine d'activité :
Individuelle/Groupe
Portable : 079 254 46 09
SOGUEL Isabelle
Place du Marché 23 A
1880 BEX
Canton(s) de supervision : Valais - Vaud
EESP - ECOLE D'ETUDES SOCIALES ET PEDAGOGIQUES
Chemin des Abeilles 14
1000 LAUSANNE 24
Tél. : 021 651 62 00 Tél. : 024 463 45 75
Domaine d'activité : travail social / formation pratique
Individuelle/Groupe
Email : isabelle.soguel@bluewin.ch
STAUB Marcel
Rue du Château
1376 GOUMOENS-LA-VILLE
Canton(s) de supervision : Vaud
CEPM
Av. de Marcelin 31 C.P. 240
1110 MORGES 1
Tél. : 021 881 39 54
Domaine d'activité :
Individuelle/Groupe
Email : netystaub@yahoo.fr
-!37!- 07.04.05
Adresse privée Adresse professionnelle
STAUFFER Didier
Chemin de la Colline 36
1400 YVERDON-LES-BAINS
Canton(s) de supervision : Vaud
COM-IMPULS
Rue du Lac 44
1400 YVERDON-LES-BAINS
Tél. : 024 426 51 44 Fax : 024 426 51 44 Tél. : 024 425 40 84
Domaine d'activité :
Groupe
Portable : 079 467 08 36
STAUFFER Jean-Daniel
Rue de l'Helvétie 54
2300 LA CHAUX-DE-FONDS
Canton(s) de supervision : Neuchâtel
OFFICE DES MINEURS
Rue du Rocher 7
2300 LA CHAUX-DE-FONDS
Tél. : 032 919 66 45 Tél. : 032 926 53 22
Domaine d'activité : famille, enfants, protection de l'enfance
Individuelle/Groupe
Email : Jean-Daniel.Stauffer@ne.ch Email : Jean-Daniel.Stauffer@ne.ch
STEGMULLER-HAERING Anne
Près du Puit 3
1273 ARZIER
Canton(s) de supervision : Genève - Vaud
Tél. : 022 366 08 18 Fax : 022 366 08 18
Domaine d'activité : enseignement
Individuelle/Groupe
STERN Eric
Avenue de la Gare 2
1434 EPENDES
Canton(s) de supervision : Neuchâtel - Valais - Vaud
FONDATION JEUNESSE ET FAMILLES - DIRECTION
Avenue Vinet 19bis
1004 LAUSANNE
Tél. : 021 644 20 37 Fax : 021 644 20 40 Tél. : 024 435 11 12
Domaine d'activité : éducation spécialisée, management
Individuelle/Groupe
Email : ericstern@vtxnet.ch Email : eric.stern@fjfnet.ch
Portable : 079 202 47 69
STITELMANN Jacques
Rue Malnati 9
1217 MEYRIN
Canton(s) de supervision : Genève
L'ATELIER
Av. du Mail 24
1205 GENEVE
Tél. : 022 320 39 93 Fax : 022 320 39 93
Domaine d'activité :
Individuelle/Groupe
Email : www.L-atelier.ch
-!38!- 07.04.05
Adresse privée Adresse professionnelle
STOCKAR Dana
Rue Georges-Jordil 3
1700 FRIBOURG
Canton(s) de supervision : Fribourg - Vaud
FOYER DES BONNESFONTAINES
Route des Bonnesfontaines 30
1700 FRIBOURG
Tél. : 026 460 14 32
Domaine d'activité : séjours de rupture en montagne
Individuelle/Groupe
Email : dstockar@yahoo.com
Portable : 079 343 02 06
STUCKY Jean-Pierre
Ch. du Renard 22
1219 AIRE
Canton(s) de supervision : Genève
CLAIR BOIS-LANCY
Av. du Petit-Lancy 7
1213 PETIT-LANCY
Tél. : 022 879 14 86 Tél. : 022 796 66 66
Domaine d'activité : handicap
Individuelle/Groupe
Email : jps@superviseurs.ch Email : formation.lancy@clairbois.ch
THEILLARD Nathalie
Chemin de Lugny 3
1031 MEX
Canton(s) de supervision : Fribourg - Vaud
CENTRE ORIPH
Chemin de Mont-de-Brez
1405 POMY
Tél. : 024 424 12 12 Fax : 024 424 12 13
Domaine d'activité : responsable de l'équipe sociale
Individuelle/Groupe
Email : nt1611@hotmail.com Email : nathalie.theilland@oriph.ch
Portable : 076 320 83 32
THIEBAUT Sylvain
Pré-Baron
1261 MARCHISSY
Canton(s) de supervision : Genève - Vaud
INSTITUT D'ETUDES SOCIALES
Rue Prévost-Martin 28
1211 GENEVE 4
Tél. : 022 322 14 72 Fax : 022 322 14 99 Tél. : 022 368 12 10
Domaine d'activité : enseignement
Individuelle/Groupe
Email : sylvain.thiebaut@ies.unige.ch
Portable : 079 696 91 22
TISSOT Sylvie
Route du Noiret 797
74350 CRUSEILLES
Canton(s) de supervision : Genève
INSTITUT D'ETUDES SOCIALES
Rue Prévost-Martin 28
1211 GENEVE 4
Tél. : 022 322 14 39 Fax : 022 781 62 34 Tél. : 0033 4 50 44 05 18
Domaine d'activité : travail social et psychomotricité
Individuelle/Groupe
Email : sylvie.tissot@ies.unige.ch
-!39!- 07.04.05
Adresse privée Adresse professionnelle
TOGNI Giordano
Rue Prévost-Martin 27
1207 GENEVE
Canton(s) de supervision : Genève
ARC-EN-CIEL
Route de Soral 12
1232 CONFIGNON
Tél. : 022 757 23 38 Fax : 022 757 49 97 Tél. : 022 328 01 72
Domaine d'activité : enfance, pédago-thérapeutique
Individuelle/Groupe
Portable : 076 505 82 73
TOLOTTI Enrico
Rue St-Randoald 3F
2740 MOUTIER
Canton(s) de supervision : Berne - Jura
FONDATION CONTACT
Rue H.-F. Sandoz 26
2710 TAVANNES
Tél. : 032 481 15 16 Fax : 032 481 15 93 Tél. : 032 493 44 35 Fax : 032 481 15 93
Domaine d'activité : centre de traitement des dépendances
Individuelle/Groupe
Email : etolotti@hotmail.com Email : tolotti-contact@freesurf.ch
Portable : 078 675 51 80
TORRI-GREMAUD Christine
Route du Platy 5A
1752 VILLARS-SUR-GLANE
Canton(s) de supervision : Fribourg
FOYER ST-LOUIS
Rte de Morat 65
1700 FRIBOURG
Tél. : 026 347 27 03 Tél. : 026 402 63 53
Domaine d'activité : handicaps psychiques
Individuelle/Groupe
TRABER Jean
La Joratienne
1509 VUCHERENS
Canton(s) de supervision : Vaud
Tél. : 021 903 13 66
Domaine d'activité :
Individuelle/Groupe
Email : jeantraber@bluewin.ch
TSCHOPP Françoise
Rue Goetz-Monin 15
1205 GENEVE
Canton(s) de supervision : Genève
CEFOC
Rue des Voisins 30
1211 GENEVE 4
Tél. : 022 320 39 75 Tél. : 022 320 24 38
Domaine d'activité : formation continue
Individuelle/Groupe
Email : francoise.tschopp@ies.unige.ch
-!40!- 07.04.05
Adresse privée Adresse professionnelle
TURELL Jean
Ch. de Pé-Marquis 5 B
1241 PUPLINGE
Canton(s) de supervision : Genève
MAISON BOISSONNAS
Ch. de Grange-Canal 22
1208 GENEVE
Tél. : 022 700 43 43 Fax : 022 700 27 78 Tél. : 022 349 24 36
Domaine d'activité : SMP- enfants 6 à 13 ans
Individuelle
Email : familleturell@freesurf.ch
UDRESSY Olivier
Rue du Purgatoire 1
1204 GENEVE
Canton(s) de supervision : Genève - Valais - Vaud
ASSOCIATION GROUPE SIDA GENEVE
Rue Pierre-Fatio 17
1204 GENEVE
Tél. : 022 700 15 00 Fax : 022 700 15 47 Tél. : 022 348 77 90
Domaine d'activité : soutien, accomp. pers. vivant avec sida +formation
Individuelle/Groupe
Email : olivier@interactions.ch Email : olivier.udressy@groupesida.ch
Portable : 079 382 21 51
VENETZ Annie-Moria
Prolin
1987 HEREMENCE
Canton(s) de supervision : Valais
VENETZ ANNIE-MORIA
Av. de la Gare 24
1950 SION
Tél. : 027 323 48 82 Fax : 027 323 48 82 Tél. : 027 281 28 09 Fax : 027 281 33 29
Domaine d'activité : supervision - psychothérapie
Individuelle/Groupe
Email : amvenetz@bluewin.ch Email : amvernetz@bluewin.ch
Portable : 079 796 93 58
VIGLIARON Annie
Av. Ernest-Pictet 24
1203 GENEVE
Canton(s) de supervision : Genève
CENTRE DE LA FLORENCE (S.M.P.)
Rue du Bachet 14
1212 GRAND-LANCY
Tél. : 022 344 54 38
Domaine d'activité : service médico-pédagogique
Individuelle/Groupe
VOEGELI-ROSSI Gisèle
Avallons 60
1247 ANIERES
Canton(s) de supervision : Genève - Vaud
INSTITUT D'ETUDES SOCIALES
Rue Prévost-Martin 28
1211 GENEVE 4
Tél. : 022 322 14 88 Fax : 022 322 14 99
Domaine d'activité : IES
Individuelle/Groupe
Email : giselle.voegeli@ies.unige.ch Email : gisele.voegeli@ies.unige.ch
Portable : 079 372 92 61
-!41!- 07.04.05
Adresse privée Adresse professionnelle
VUILLE Jean
Place du Tilleul 1
2065 SAVAGNIER
Canton(s) de supervision : Neuchâtel
CENTRE PEDAGOGIQUE DE MALVILLIERS
Malvilliers 3
2043 BOUDEVILLIERS
Tél. : 032 858 22 22 Tél. : 032 853 32 37
Domaine d'activité : enseignement et éducation spécialisée
Individuelle/Groupe
Email : Jean.Vuille@ne.ch
WANDELER Philippe
Route de la Heitera 34
1700 FRIBOURG
Canton(s) de supervision : Fribourg
FOYER DES BONNESFONTAINES
Rte des Bonnesfontaines 30
1700 FRIBOURG
Tél. : 026 460 14 50 Fax : 026 460 14 50 Tél. : 026 481 29 23 Fax : 026 460 14 50
Domaine d'activité : enfants, adultes, familles
Individuelle/Groupe
Email : ph.wandeler@freesurf.ch Email : ph.wandeler@freesurf.ch
WYSS Christine
Rue de l'Evole 8
2000 NEUCHATEL
Canton(s) de supervision : Berne - Fribourg - Genève - Jura - Neuchâtel - Valais - Vaud
Tél. : 032 731 95 52
Domaine d'activité : Trav. soc. de grpe, interv. coll., ens., superv.
Individuelle/Groupe
Email : ch.wyss@freesurf.ch
YERLY Didier
Rue Chasseran 1
2056 DOMBRESSON
Canton(s) de supervision : Neuchâtel
CENTRE PEDAGOGIQUE ET THERAPEUTIQUE
Rue Chasseran 1
2056 DOMBRESSON
Tél. : 032 854 25 25 Fax : 032 854 25 26 Tél. : 032 854 25 25 Fax : 032 854 25 26
Domaine d'activité : social et pédagogique
Individuelle/Groupe
Email : Didier.Yerly@ne.ch
Portable : 079 561 69 29
ZANONE Francesco
Avenue de l' Esplanade 11 D
1012 LAUSANNE
Canton(s) de supervision : Vaud
IPGL
Route de Chavannes 7
1007 LAUSANNE
Tél. : 021 625 15 26 Fax : 021 625 17 42 Tél. : 021 653 22 70
Domaine d'activité :
Individuelle/Groupe
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Individuelle
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Définition du coaching
Selon l'académie romande de coaching
coach interne de l'entreprise
coach externe
manager coach
Le coaching?
Est-ce une nouvelle mode?
Est-ce une réponse à une nécessité?
Mode ou pas Améthyste considère le coaching comme un atout important dans le monde ou nous vivons.
Le coaching en organisation s'inscrit dans une approche contextuelle de l'organisation: c'est à dire de loyauté, reconnaissance, mérite, équité, participation....
Implanter le coaching dans une organisation n'est pas une mission impossible comme certain le pensent, même si cette mission est complexe.
Pourquoi?
Comment?
Il s'agit d'instaurer dans l'entreprise une culture humaniste
Une structure participative
un mode de communication émergent
Ch. van haverbeke dans contact 49
déclare que
Plus l'entreprise reconnaîtra les contributions des personnes plus les individus acquerront de la légitimité constructive et plus ils auront envie de coopérer.
Le coach crée les conditions pour que chaque personne trouve et développe son talent propre.
Le coaching est une forme d'accompagnement spécifiquement centré sur la maïeutique. ( démarche socratique d'accouchement des esprits.)
Autrement dit sur un questionnement qui vise l'émergence chez l'interlocuteur d'une série de choses, à commencer par l'autonomisation de la personne en situation, en action et en relation.
Quatre principe fondamentaux du coaching
Développer ses capacités relationnelles
Prendre de la hauteur de vue
Poser les bonnes questions au bon moment
Définir le cadre
Les sept clefs du coaching sont
l'accompagnement
la compétence
le temps
l'émergence
la responsabilisation
le contexte
l'estime de soi
Les définitions du coaching sont multiple, pour il s'agit d'un suivi ouvert et permettant à la personne de progresser dans son propre développement
Les outils de communication utilisé dans le coaching sont une adaptation des outils programmation linguistique, pnl analyse transactionnelle, communication non-violente, ainsi que tout outils permettant une qualité de communication et d'échange de haut niveau.
Le syndrome de notre époque est le SDNG
c'est à dire le syndrome du nez dans le guidon... qui est le précurseur du burnout, ou du burnout professionnel
Ainsi je vous invite à découvrir le coaching ou à me demander un coaching au travers de mon site, considérant que les outils d'interactivité internet sont d'excellent moyen de pratiquer le coaching.
chat
téléphone et échange direct
La notion d’accompagnement, une recherche dynamique
entre la supervision et l’intervention.
La notion d’accompagnement, une recherche dynamique
entre la supervision et l’intervention.
Dans les pages qui vont suivre je vais situer, décrire et essayer de comprendre le processus d’un suivi d’équipe, équipe dont je suis le superviseur.
L’intérêt d’une telle démarche ne serait certes pas son originalité, si parallèlement à mon travail avec cette équipe, je n’avais pas entrepris une formation à l’intervention dans les équipes.
Organisée par le C.E.F.O.C., cette formation à été animée par une équipe d’intervenants du Laboratoire de Changement Social, université Paris / Denis Diderot
Cette démarche m’a amené à prendre le risque de modifier ma manière d’intervenir et partant, m’a invité à revisiter une vision théorique qui ne la sous-tendait plus que partiellement.
Si j’ai vécu et vis encore, cette adaptation de ma praxis et la réflexion qui en a découlé comme un élargissement du champ d’action et de compréhension, c’est que, les événements la dynamique et les sujets abordés dans l’équipe m’ont conduit à intégrer des éléments en provenance du modèle proposé par les formateurs dans le processus d’une supervision.
Il faut dire qu’une partie de présence plus “active” auprès d’une équipe me convient . En effet si la clé de lecture analytique m’est une aide à la compréhension, elle n’est pas la seule. De plus la neutralité bienveillante n’est pas dans le cadre de la supervision mon attitude favorite.
En conséquence une approche autre, proposant une interactivité plus “dynamique” me convenait parfaitement. Elle me permettait d’imaginer prendre en compte, dans l’accompagnement, plusieurs éléments observés auparavant lors d’interventions auprès des équipes.
La perspective d’aboutir à une construction plus élaborée de ma participation durant l’intervention paraissait assez attractive. .
En ce qui me concerne c’est ce jeu incessant, entre le temps passé à peaufiner un dispositif dans la pratique, et l’élaboration nécessaire à une conceptualisation accompagnatrice, qui est à la fois fondatrice de ma qualité de tiers intervenant et garante du degré de qualité que j’apporte à l’intervention.
Il s’agit en somme d’un réel questionnement éthique. Précisons que l’éthique telle que je la conçois reste avant tout une interrogation par rapport à des règles d’action. C’est dans mon cadre professionnel un exercice dynamique qui n’a me semble-t-il de valeur que s’il prend racine dans une pratique, et peut le cas échéant se traduire par des actes.Il ne s’agit pas de confondre ce questionnement qui est tension, avec une application répétitive de concepts issus de la morale normative. L’éthique s’applique je l’ai dit à ma pratique, c’est moi et mes actions qu’elle prend pour objet et non l’autre qu’elle juge, ce que fait plus volontiers la morale. Là où la réponse morale me rassure et me protège, le questionnement éthique m’engage.
Dans ces pages j’ai essayé, en tenant compte de la spécificité de la supervision dans le champ “socialo-thérapeutico-pédagogique” tel que je le connais dans mon environnement professionnel, de rendre possible un décloisonnement méthodologique en l’étayant sur un construit théorique.
Bien que j’ai la prétention de travailler sérieusement, je n’ai pas celle de me prendre au sérieux.
Ce qui suit , malgré les termes employés, n’est pas une théorie dans le sens scientifique du terme, j’ai essayé simplement de dégager et de partager ma vision.
Bien évidemment je ne cherche pas à livrer un travail fini se suffisant à lui même, mais je vise à poser les prémisses d’une recherche qui est à considérer comme une explicitation du “savoir faire” d’un: superviseur? intervenant? accompagnant? en travail social auprès des équipes qu’il rencontre.
S’il s’agit de faire le point c’est bien d’un point de départ que je parle ici.
Présentation
A la base éducateur spécialisé occupant depuis bientôt sept ans la fonction de directeur d’institution sociale, à l’heure où j’écris il y a une dizaine d’années que je suis superviseur en travail social.
J’ai obtenu un certificat de superviseur en travail social auprès du CEFOC suite à une formation extraordinaire achevée par la soutenance d’un mémoire en octobre 92. ( Eric Stern, Chevilly, 1992)
J’avais auparavant supervisé déjà plusieurs professionnels de manière individuelle ainsi que des équipes.
Pour définir au mieux ma position, il est bon de préciser que j’ai développé et animé dans le cadre de mon activité professionnelle entre 1979 et 1986 au Centre Thérapeutique pour Adolescents, Hôpital de Cery, Prilly ,Suisse, un groupe de thérapie auprès d’adolescents. J’ai formé à cette approche les thérapeutes qui m’ont succédé.
Le C.T.A. était issu du courant de la communauté thérapeutique il s’agissait d’un lieu de travail qui pratiquait le leaders chips multiple et axait une grande partie de son action sur le travail de thérapie de groupe.
A cette période j’ai participé en équipe au rythme de deux heures par semaine, alternativement à des séances d’ analyse institutionnelle et à des séances de supervision, ces dernières se pratiquaient sous forme de jeux de rôles.
Parallèlement à mon activité je me me suis formé au travail thérapeutique à médiation corporelle entre 1981 et 1987 auprès de la Société Suisse d’ Analyse de Thérapie Bioénérgétique.
Par la suite j’ai assumé plusieurs années la supervision et la formation d’une équipe pluridisciplinaire psychiatrique, dans le domaine spécifique du travail thérapeutique psychocorporel individuel et en groupe avec des adolescents.
Ceci pour dire qu’il existe dès les origines de ma trajectoire, que ce soit en tant qu’éducateur, thérapeute, superviseur ou supervisant, une inclinaison pour les approches de groupes, qu’elles s’adressent à des résidents, des clients ou des professionnels.
Pour ma part durant mon parcours professionnel et jusqu’à ce jour, j’ai accumulé comme participant plusieurs centaines d’heures de supervision individuelles ou d’équipe.
C’est tout naturellement que suite à ma certification de superviseur en travail social, mon nom étant dans le bulletin de l’Association Romande des Superviseurs A.R.S., des demandes sont arrivées de la part d’équipes, j’ai été amené à accepter des mandats, ceci dans des secteurs aussi divers que: foyers pour enfants ou adolescents, garderie, groupes d’enseignants, handicap mental.
J’ai comptabilisé depuis les années quatre vingt dix, près de deux milles heures de supervision, dont près de la moitié étaient et sont des accompagnements d’équipe.
Il n’y a encore pas si longtemps peu de collègues acceptaient de travailler avec des équipes, la place étant laissée à quelques intervenants de préférence systémiciens, universitaires et psychologues.
La supervision d’équipes jusqu’a ces dernières années intimidait, c’est du moins ce que j’entendais dans les lieux réunissant des superviseurs en travail social affiliés à l’A.R.S.
C’est dommage parce que je pense que mes pairs ont autant que d’aucun les capacités d’intervenir dans nos champs professionnels .
Mais laissons là le manque de confiance de la profession dans ses compétences il s’agirait d’un autre travail....
Dès que j’ai su que le C.E.F.O.C. mettait une formation d’intervention dans les équipes sur pied, je me suis logiquement senti concerné et j’ai décidé de m’y inscrire.
Mise au point
Pour des raisons de facilitation et de compréhension, à partir de maintenant je parlerai de “superviseur” ou de “supervision” quand je parlerai de ce que je pratiquais auparavant, “d’intervenant” et “d’intervention” quand je me référerai à quelque chose qui vient du modèle proposé durant ma formation. Je réserve les termes “accompagnant et accompagnement” pour ce que je pense être une intégration que je souhaite créative, du modèle à ma pratique postérieur de superviseur.
La terminologie sera peut-être répétitive mais permettra, je l’espère, d’éviter les confusions.
Si je détournais un de ces termes des définitions que je viens de leur attribuer, j’en avertirais le lecteur.
La supervision ou rassembler ce qui est épars
La supervision d’équipes dont je parle ici vise, on l’aura compris, les milieux sociaux, pédagogiques et thérapeutiques.
Le terme supervision d’équipes recouvre une pluralité d’interventions: groupes Balint, présentations de cas cliniques, mentorat, analyses institutionnelles, gestion d’équipes, analyses de pratiques, résolution de conflit.
Souvent il s’agit à mes yeux d’un terme fourre-tout qui dépasse la souplesse adaptative et les compétences multiples que l’on est en droit d’attendre de la personne pilotant ce genre de pratique.
Cette nébuleuse, certes un peu floue, n’a pas que des désavantages. Pour ma part je préfère, référence gardée aux idéaux de la communauté thérapeutique, courir le risque de la spontanéité dans un espace ouvert plutôt que de subir la rigidité procèdrurière due à une étroitesse de définition. En logique avec ce positionnement, je me réfère dans ma pratique à un éclairage théorique multi-focal, utilisant selon les besoins l’approche théorique qui me sert le mieux à conceptualiser à partir de ma pratique.
Mon appartenance à une famille professionnelle se réclamant d’un modèle prônant l’interaction participative me pousse a prendre aussi en considération ce que d’emblée j’ aurais tendance à écarter
J’irai même plus loin en reconnaissant que la tension créée par le risque d’un champ trop ou trop peu délimité, initie tout mon positionnement en temps que superviseur en ce sens qu’elle inscrit ma démarche dans une contradiction dynamique me forçant à me positionner.
La première question qui me vient à l’esprit face à la supervision n’est pas: qu’est ce que la supervision ? Mais: où en suis-je par rapport à elle?
Dès le début de ma pratique de superviseur j’ai éprouvé la nécessité de séparer le suivi des personnes que je voyais en tant que thérapeute, et les professionnels que je rencontrais comme superviseur. Très vite je me suis aperçu que cela était plus vite dit que fait.
La pratique d’ un superviseur
La frontière si l’on y regarde de plus près n’est pas si précise que cela, la pratique l’est elle plus? J’en doute dans certains cas!
Inutile selon moi de se cacher la réalité. Il existe une zone faite d’affects, de transferts, de projections, de dépendances, de confusions, de désirs qui fait que les deux champs se chevauchent sans qu’il soit possible de dire:” la frontière passe là”.
Il me suffit de me remémorer le nombre de fois où des futurs supervisés m’ont fait part de leurs craintes quand au fait d' être entraînés malgré eux dans une forme de thérapie, pour me dire qu’au-delà des positionnements théoriques l’éthique de la démarche réside dans l’empirisme de l’action. C’est en me questionnant que je peux me distancer de mes jugements de valeurs, ces derniers m'auront renseignés au passage sur mon état interne.
Si je ne peux précisément tracer la frontière, alors il faut que je connaisse au mieux le chemin qui serpente dans le “no man’s land”.
Où en suis-je par rapport à la supervision? Ou si vous préférez sur quels chemins suis je prêt à accompagner ou à précéder les supervisés en garantissant de les ramener quoi qu’il arrive dans le champ de la supervision professionnelle.
J’insiste, il ne s’agit pas de les faire traverser d’un champ à l’autre mais bien de les ramener dans le champs de la supervision. Conduire cette pérégrination entre dans le domaine de mes compétences.
En effet si je ne sais pas bien où passe la frontière, je sais par contre très bien quand je suis de l’autre côté. On s’ y occupe parfois des mêmes choses mais pas pour les mêmes raisons et pas de la même manière.
Comme je l’ai dis plus haut ce champ est si large et si flou, les participants si imprévisibles et moi-même si curieux, que je nous dois d' offrir quelques garanties sécurisant l'exercice.
Espace de l’impossible, la supervision d’équipes à été pensée au début comme une continuation de la supervision individuelle. Je veux dire par là qu’au centre de la supervision, on trouve le plus souvent une pratique qui se résume à l’analyse des résonances personnelles d’un ou de plusieurs professionnels face à un ou des clients. Ce fait est à relever si l’on considère que la supervision individuelle qui a tendance à mettre en avant les résonances personnelles centre son attention sur l’individu.
A la base de cette pratique, il y a un présupposé historique né en partie de l’amalgame entre la pensée charismatique qui a porté l’intervention sociale sur les fonds baptismaux, et le courant hygiéniste qui a commencé à amorcer sa ”scientification” laïque.
Je me demande parfois si l’utopie qui consiste à amalgamer dans ma profession identité personnelle et identité professionnelle, ne vient pas de là, et si partant le débat qui a occupé tant de générations sur l’identité de l’éducateur ne se résoudra pas le jour ou l’on travaillera l’identité de la profession d’éducateur et plus celle des individus qui la compose.
En ce qui me concerne et d’une certaine façon c’est à cela que je travaille aujourd’hui quand j’accompagne une équipe.
Quoi qu’il en soit cette rencontre entre l’amour sévère et l’hygiènisme rigoureux, propre au protestantisme de nos contrées, à laissé penser, parfois malgré elle, que si la charité nécessaire et la “désinfection” indispensable se donnant la main n’arrivaient pas à sauver de l’indignité toute une couche de la population, la faute était à chercher chez l’individu et sûrement pas dans des considérations d’ordre social.
L’ idée que “la relation propre en ordre” va sauver la société et résoudre, par le biais des travailleurs sociaux, des problèmes socio-politiques a encore de beaux jours devant elle.
Que la faute, quand faute il y a, soit celle du déviant ou de l’intervenant n’est que de peu d’importance puisque la responsabilité n’en incombera ni aux organisations, ni aux structures et encore moins à la pertinence du modèle idéologique à la base de l’action.
La difficulté avec l’amour comme avec la science c’est que leurs désirs qu’ils suscitent chez les acteurs poussent ces derniers à rechercher la vérité, là où les besoins repérés par la pratique ne commandent de s’occuper que de la réalité inhérente aux éprouvés.
Mon propos n’étant pas de m’étendre plus longuement sur le sujet je terminerai ce paragraphe en indiquant qu’une assimilation un peu simpliste des modèles issus de la psychologie humaniste, mettant à la suite de C. Rogers et de quelques autres l’émotionnel et la personne à la première place, ont renforcés cette tendance à focaliser l’approche sur l’individu. (Carl R. Rogers, Dunod,1996)
La phrase-clé entendue des dizaines de fois résonne encore à mes oreilles. “ Mais vous, est-ce que cette crise de Monique ne vous a pas interpellé au niveau de votre propre violence?”
Au-delà de la caricature et sans minimiser les implications personnelles et leur prise en compte je voudrais faire saisir que cette manière de pratiquer qui prend comme objet la personne du professionnel, referme la supervision sur elle-même.
Il se peut aussi que se soit les affects du clients qui soient au centre, quand ce n’est pas le client tout court.
La réponse type des équipes quand vous demandez quel est leur but principal va ressembler à quelque chose qui à coup sûr, surtout si le client en est un, vous confrontera au sempiternel. “ Le bien être de l’enfant “.
Mon observation m’entraîne cette fois dans une impossibilité aussi bien conceptuelle que pratique. En effet tant que l’objet de la supervision, reste le dévoilement de l’affect du professionnel ou du client, que cela soit soulageant dans un cas ou explicatif dans un autre il ne s’agit le plus souvent et au mieux, que d’un processus d’ élucidation partiel du genre interprétatif relatif au passé.
La constatation réjouis l’équipe dans le moment mais n’a que peut d’incidence sur l’avenir. La séance d’après on vous dira dans le meilleur des cas: ” qu’il y loin de la théorie à la pratique et que Monique a continué à casser.” (Et oui l’équipe avait l’espoir qu’elle arrête! ).
Ou alors le professionnel fera part de sa gêne d’avoir pleuré la dernière fois.
Je force peut-être le trait mais je me souviens de ces séances durant lesquelles personnes ne dit rien alors que nous manquons tellement de temps d’habitude. La gêne s’installe, nul ne “pipe mot”, c’est un silence porteur de sens penseront d’aucun, alors que l’équipe revient petit-à-petit au stade de fonctionnement d’un mauvais groupe de développement personnel.
Pour ajouter à la confusion un participant, vous-même peut-être appellera cela de la résistance. Voilà! la frontière est franchie. “ L’une des caractéristiques exigées du leader est donc, ou qu’il soit sorcier, ou qu’il se comporte comme tel. C’est pourquoi les silences dans les groupes dépendants ne peuvent avoir que deux significations : ou bien ils expriment la détermination de refuser au leader le matériel dont il a besoin pour une recherche scientifique, afin d’éviter l’intrusion d’éléments qui pourraient détruire l’illusion de sécurité fournie par la présence du sorcier; ou bien encore ce sont des signes de dévotion et de respect à l’égard du sorcier”. (Wilfred Ruprecht Bion. puf 1991 p.54 )
La difficulté dans ce genre de pratique c’est que la personne est ses affects résument la supervision à de l’événementiel. Dans le même sens le morcellement des séances vécues comme une succession de photographies instantanées et non comme une projection cinématographique, est compréhensible dans le sens d’une fragmentation protectrice rendant difficile l’avènement d’un sens historico-temporel.
Faute d’objet pouvant être travaillé, la supervision devient le lieu où les événements sont juste rendus supportables ou, pire encore, le groupe éclipsant l’équipe prend ses membres pour objets.
La Tâche, de procédures en processus
Espace du possible la supervision quand la Tâche accomplie par les professionnels au bénéfice de leur clientèle devient l’objet de la supervision.
C’est la garantie que je donne à une équipe. Au centre de la supervision il y a la Tâche à accomplir. Toujours nous partirons de là et toujours nous y reviendrons. C’est parce qu’un groupe à une Tâche à accomplir qu’il devient une équipe.
Les émotions, les résonances, les conflits, les apprentissages, les études de cas, tout peut trouver une place légitime en son sein tant que ce que nous traitons est en rapport avec l’accomplissement de la Tâche.
Cette déclaration un peu solennelle a pour but, non poser un cadre, mais de découvrir mon cadre.C’est le cadre que je porte plus que le cadre que je pose qui me permets de donner un sens directionnel à l’équipe. A elle de se positionner et de voir si ce sens directionnel permet d’entrevoir l’émergence et le partage d’un sens significatif.
Bien sûr il arrive que l’on me pousse à définir ce que j’entends par la Tâche. Je souscris bien volontiers à cette demande tout en stipulant qu’il s’agit d’une hypothèse. Je précise que la seule chose dont je sois sûr, ce sont de mes hypothèses tant qu’elles en restent.
En substance je dis la chose suivante: “ La Tâche dans nos pratiques c’est la manière que nous avons de nous occuper en professionnel de l’espace interrelationnel entre le ou les clients et nous, pour tendre au objectifs fixés pour le ou les clients”.
J’écris la “Tâche” avec majuscule pour cerner un objet global, objet qui représente le coeur de la pratique, et marquer une différence d’avec des objets partiels qui sont les tâches à accomplir.
La Tâche que j’accomplis comme professionnel c’est la manière que j’ai d’ assumer ma tâche, prise cette fois dans le sens d’une mission que l’on me donne.
J’introduis ici dans les équipes la possibilité de considérer le travail autrement que dans la perspective d’une tâche définie de l’extérieur qui commande d’exécuter sous certaines conditions et dans un temps donné une succession de tâches.
Le possible que je suscite suggère une appropriation de l’action et de ses buts par les équipes en tant que fondement d’une réflexion professionnelle fondée sur le savoir faire. Dans cette perspective la Tâche considérée comme objet d’étude premier, agit comme un espace mouvant reliant et séparant les professionnels et les bénéficiaires
La focalisation sur cet objet-tiers permet de ne pas évacuer les dimensions personnelles événementielles et émotionnelles mais de les restituer dans une perspective justifiable parce que proposant un objet de travail au sein d’une équipe
Je tiens à préciser que quelle que soit la demande, équipe en crise ou réflexion pédagogique, une fois que j’ai laissé parler les participants, quels qu’ils soient d’ailleurs, je tiens ces propos.
Ils sont en quelques sortes la fondation de ce qui se dessine comme un accompagnement
Il s’agit là d’affirmer des positions dimentionnant mon action et la sécurisant, sans la rigidifier.
Ces affirmations garantissent à mon avis l’objet et le champ. Elles sont indicatrices d’une procédure me permet d’accueillir l’imprévu et d’assumer l’incertitude.
Le reste, “feeling” mis à part, est de l’ordre du contractuel c’est une question de disponibilité et de prix. Pour précision mes tarifs sont ceux préconisés par l’A.R.S.
Si une équipe travaille avec moi je compte les heures de la première rencontre sinon elle ne me doit rien, je garde ainsi ma liberté de refuser un contrat. Je donne ma réponse dès la fin de la première rencontre (il m’est arrivé de dire non) mais je demande qu’il y aie au minimum une semaine avant d’avoir la réponse de l’équipe.
En pratiquant de la sorte je n’ai pas restreint la nébuleuse supervision, ni dans sa définition ni dans les multiples approches possibles qu’elle suscite, mais j’ai proposé son objet (La Tâche) et caractérisé le champ de cet objet (l’inter-relationnel).
J’ai aussi en filigrane nommé les conditions primordiales auxquelles les participants doivent souscrire s’ils désirent que je sois répondant d’un processus.
La définition que je donne de la Tâche protège comme une membrane un noyau incompressible, cette membrane conserve cependant les qualités de souplesse et de perméabilité propres à favoriser les échanges.
Elle reste extensible pouvant, en fonction des apports faits par les membres d’une équipe, englober une définition plus riche. Les différents niveaux de travail proposables aux équipes, ainsi que la possible lecture contextuelle de l’action dans un paysage socio-politique plus large, est sous tendu tant pas la compétence du superviseur que par la souplesse de la membrane.
Cette position de se centrer sur la Tâche, définie de façon limitée mais extensible avec en corollaire le travail concret autour de cette notion me rendait relativement proche sans que je l’appelle de la sorte, d’une position d’intervenant.
Un peu d’histoire
Il y a quelques années, alors que je supervisais une équipe éducative dans une grande institution vaudoise j’ai été confronté au problème de la dépression d’ un membre de l’ équipe.
Nous tournions autour de cette affaire qui perturbait passablement le travail éducatif de manière récurante depuis plusieurs mois sans y voir plus clair.
Pour ma part je me souviens du malaise que j’éprouvais d’autant plus qu’il me semblait que cette équipe progressait par ailleurs dans une démarche constructive autour de sa Tâche.
A un certain moment le responsable ayant annoncé son départ il a fallu consacrer du temps à cet événement. La proposition est venue, je ne sais plus de qui; comme il y avait plusieurs collègues nouveaux, que Pierre le responsable raconte ses débuts dans l’institution.
Très vite cette proposition acceptée, j’ai été interpellé par l’attitude attentive des participants. Les gens se sont penché en avant, rapprochés, tout indiquait que l’équipe était dans un mouvement centripète de protection attentive à l’attention de l’orateur. En un mot ils étaient “pendus à ses lèvres”.
En écho à ce mouvement, le responsable s’est réinstallé, il s’est déplacé, de manière à voir tout le monde. A partir de là je peux décrire son attitude comme centrifuge dans le sens où il s’est ouvert et a commencé en confiance à raconter ses débuts dans l’institution. Il se dégageait beaucoup de chaleur et d’empathie de cette assemblée d’une dizaine de personne.
L’analyse que j’ai su faire de ce qui se passait à ce moment était en écho avec ma pratique postérieure de thérapeute de groupe.
La confluence de ces deux mouvements: centripète pour le groupe et centrifuge pour l’orateur. m’ indiquait que le mode de participation des personnes présentes s’ élargissait. D’une certaine façon les auditeurs participaient non seulement par l’audition au récit que Pierre faisait de son vécu mais émotionnellement ils participaient du vécu émotionnel de Pierre. Il s’agissait d’une vraie contamination émotionnelle, alliée précieuse précieuse des groupes de thérapie, autant que miroir aux alouettes des équipes en travail.
Selon ma conception antérieure: “ Le terme participation comporte deux significations principales . Le premier sens est défini par les expressions “ avoir part à”, “participer de “, l’autre sens pouvant être saisi dans l’expression “prendre part à” ,”participer à”. Ces deux sens sémantiques du concept de participation correspondent à deux mouvements fondamentaux de la personne humaine , à savoir : le mouvement centripète et le mouvement centrifuge”. ( Stern Eric E.E.S.P. 1986 p.45)
Aujourd’hui, j’émets l’hypothèse, au vue de ces phénomènes qu’il existe une continuité entre les observations de Wilhelm Reich concernant les mouvements d’expansion et de rétractions du vivant, réactions somato-psychiques aux éprouvés émotionnels, apparaissant déjà au niveau cellulaire, et les mouvements centrifuges et centripètes d’ouverture et de fermeture, réaction à l’excitation d’origine interne ou externe s’inscrivant dans la dimension psychosociale des sujets. (Reich Wihlhelm, Petite Bibliothèque Payot 1999)
D’une certaine manière c’est comme si il n’existait pas de discontinuité entre les sphères somato-psychiques et psychosociales.
S’intéresser en tout temps aux aspects corporels et psychiques me permet donc de suivre alternativement ou en même temps les cheminements de la trace physique et du sens cérébral.
La dimension émotionnelle et affective restant le pont entre ces interfaces. Ce double regard me sert, en même temps qu’il sécurise le processus, à choisir la voie appropriée à proposer, le cas échéant , afin de poursuivre la démarche (Pagès Max, Hommes et Groupes,1986)
Je me rendais compte qu’il fallait si je ne voulais pas que les résonances affectives nous emmènent irrémédiablement dans le champ de la thérapie de groupe, non pas que j’arrête ce processus mais que je le recentre dans le contexte professionnel.
Sans rien dire, je me suis levé et j’ai commencé à inscrire sur le flap les noms, les dates et les événements.
Je n’étais à ce moment plus seulement garant du processus, mais animateur d’ un procédé visant un but.
Pour ce faire, j’ ai eu à résister au désir de participer avec les autres de cet état émotionnel. Le fait de m’abstenir de ce qu’il aurait bien fallu regarder comme un passage à l’acte m’a donné conscience d’intervenir à la fois comme responsable, et leader de l’ équipe.
Le fait que je me sois levé pour écrire, ainsi que ce qui à commencé à apparaître sur le papier, à ramené les participants d’une dynamique dépendant d’une sorte d’ illusion groupale, formulée par le fameux “nous sommes bien ensemble; nous constituons un bon groupe; notre chef est un bon chef” (Didier Anzieu, Dunod, 1984, p.69) à une équipe de travail découvrant son histoire. La participation consciente à... avait pris le pas sur la participation inconsciente de...
L’intervention, c’est à mon avis le terme à employer pour cette séance, était en train par le truchement de mon acte et des traces sur le papier, de montrer que depuis plusieurs “générations” d’éducateurs (cinq si ma mémoire est bonne) un déprimé avait toujours été remplacé par une personne devenant à son tour déprimée.
L’émotion commençait à nous gagner et je serais malhonnête de dire que je n’en participais pas, seulement cette fois, elle ne me paraissait pas dangereuse. Elle n’était qu’épiphénomène du processus de compréhension en cours.
Je remarquais aussi que les participants commençaient à donner leur avis sur la dépression comme ils ne l’avaient pas fait jusque là. Il ne parlaient pas de Louis déprimé, ni de la dépression en général mais de ce qu’ils imaginaient de la dépression et de ses répercussions dans le travail. J’ai compris plus tard, lors de ma formation, lorsque j’ai pu mettre sur cette expérience des mots me permettant de penser la démarche, qu’ ils ne discutaient pas mais partageaient réellement leurs représentations de la dépression.
Cet échange n’était pas à dominante algorithmique mais se déroulait plus sur un mode maïeutique. Au delà de formuler simplement ce qu’il pensaient, les discours devenus libres révélaient des pensées ignorées des locuteurs eux-mêmes, ce qui fait que des participants se découvraient à eux-mêmes en parlant.
Cet épisode restait cependant au niveau du partage professionnel tant que j’avais la certitude et je l’avais, que l’on ne faisait que pérégriner dans le “no man’s land” entre le professionnel et le thérapeutique, et que l’on reviendrait du bon côté de la frontière avant la fin de séance.
Pour revenir concrètement à notre récit sachez que notre orateur ne savait pas, de qui le premier éducateur déprimé avait occupé le poste. C’est une de ses collègues, depuis peu dans l’équipe mais depuis plus longtemps que lui dans l’institution qui nous a renseigné.
Le premier éducateur a manifester des signes de dépression dans cette équipe avait remplacé un éducateur qui s’était suicidé.
Aujourd’hui encore j’imagine dans quelle position le groupe et moi nous serions trouvés à trois quart d’heure de la fin de la séance si notre fonctionnent n’avait pas été guidé par le fait qu'’ il s’agissait d’ une équipe de professionnels !
La suite de l’histoire que je connais puisque cette “ presque intervention” s’est poursuivie encore un an, c’est que la dépression n’a plus miné cette équipe. Du moins plus pour cette cause là! Notre travail aussi a changé, l’équipe est entré dans une quête commune du sens de la Tâche qu’il serait trop long de développer ici. Par la suite l’équipe a mis sur pied un projet de déménagement et d’accompagnement différent des résidents, et le travail de supervision a cessé en ce qui me concerne . A ce jour je n’ai plus de contact avec les personnes membres de cette équipe.
Je découvrais pour ma part à cette occasion que le transgénérationnel dont j’allais abondamment entendre parler quelques années plus tard existait aussi dans les institutions,et que sans trop le savoir j’avais fait à mon sens et toute comparaison gardée, une sorte de génocosociogramme institutionnel.
(Anne Ancelin Schunzenberger, épi, la méridienne, 1993)
Hors mis cette découverte que je compte approfondir dans un autre texte, ce que j’ai retiré de cette expérience c’est que la position active que j’avais prise pour montrer et rendre traitable ce qui advenait, avait permis aux émotions d’être présentes mais dans une forme acceptable parce qu’assimilable à un objet de travail dans le registre professionnel.
Le risque que l’équipe courait dans un moment comme celui-là était bien de l’ordre de l’illusion. Cette illusion qui fait croire qu’enfin dans ce moment-ci et avec ce groupe-là, on peut tout dire et tout partager. Cette illusion qui laisse imaginer que le bien être du groupe est sa propre fin. Cette sorte de supercherie naît très facilement du glissement feutré qui fait passer les équipes de l’ énoncé des besoins à l’ éprouvé du désir .
L’envie de réaliser le désir en faisant l’économie du passage par les défilés de la demande, est inscrit au plus profond de l’humain. Elle est pour une part gage de notre liberté et se rencontre donc aussi dans les relations de travail. Simplement, elle demande pour des individus qui font carrière dans les professions relationnelles, à être comprise en tant que phénomène.
En définitive le fait que j’ai piloté l’intervention a permis, cette fois-là en tous cas, des échanges professionnels permettant l’accession à un autre niveau de qualité du travail tout en évitant les pièges de la centration sur les résonances émotionnelles des personnes.
Le supervision comme maturation
Le processus d’intégration des concepts de l’intervention et de certaines de ses applications dans le modèle de supervision tel que je le pratique, s’est opéré durant une supervision que j’ai conduite auprès du personnel d’ une garderie d’enfants .
J’ai commencé la supervision en septembre 98 et la continue à l'heure ou j'écris ces lignes; cette équipe comprend six femmes éducatrices de la petite enfance, pour cinq postes, un responsable éducateur spécialisé.
Les sources de ce que je vais retranscrire résident pour une part dans des notes prises de manière non systématique et dans ma mémoire. S’agissant d’un matériel issu d’une observation participative subjective, j’ai conscience de présenter ici ce qui est déjà une déformation de la réalité objective, mais reste aujourd’hui la trace mnésique a partir de laquelle je comprends le passé et anticipe l’avenir. De mon questionnement, de mes éprouvés et de mes actions ne reste que la lecture que je peux en faire dans l’ici et le maintenant et c’est bien en définitive de là que je parle.
C’est le directeur qui prend contact avec moi, il le fait en accord avec l’équipe; ils ont entendu parler de moi par quelqu’un qui m’a connu comme superviseur d’équipes. Une quarantaine d’enfants de cinq à huit ans accueillis le matin, à midi, et les fins d’après-midi, plus les mercredis après-midi et une partie des vacances. Comme partout, à mon avis,le personnel est en sous effectif.
L’équipe vient de commencer et mon interlocuteur me dit qu’il en est depuis quelques mois le nouveau directeur.
La présidente du comité à été la directrice de l’institution quelques années plutôt, elle est décrite comme très contrôlante de l’activité professionnelle. Très vite nous tombons d’accord pour nous rencontrer avec l’équipe.
Il n’a pas été question de rencontre préalable avec qui que ce soit, et encore moins de réunion permettant d’établir un prédiagnostic, d’une part parce que je n’aurais pas su comment justifier une telle rencontre, deuxièmement parce que cette notion m’était alors étrangère .
Quand je rencontre l’équipe pour la première fois les participants me font part de la chose suivante.
Le comité est d’accord pour que l’équipe ait une supervision mais sur son ordre express nous ne pouvons faire que de l’analyse de cas d’enfants. En aucune façon nous ne pourrons nous intéresser à la dynamique de l’équipe.
Un autre intervenant s’occupe des problèmes de l’équipe pour aplanir des difficultés relationnelles entre les éducatrices, et entre les éducatrices et la direction. En accord apparent avec le comité c’est, pour l’équipe , à prendre ou à laisser
L’équipe me dira aussi qu’elle a contacté d’autres superviseurs.
Je peux aujourd’hui voir comment la commande qui m’était faite par le comité via l’équipe était une demande de ne rien faire qui puisse remettre en cause une organisation caduque. En fait cette commande était une sorte d’aveu de faiblesse.
La demande que m’adressait l’équipe était pratiquement inexistence si je la lisais au niveau raisonnable.
Les personnes pensaient que c’était bien de parler des enfants, qu’on n’en parlait pas assez, qu’il y avait assez eu d’histoires et que cela suffisait.
Chacun parlait pour soi, disait ce qu’il pensait, sans s’inquiéter de ce que les autres entendaient. Chacun était dans sa logique. Tous parlaient, très professionnellement d’ailleurs, mais sans qu’apparaisse un semblant d’unité. J’avais à faire à un groupe de professionnels, mais sûrement pas à une équipe professionnelle.
Si j’étais resté à ce niveau là de lecture j’aurais simplement dis que je n’avais pas de disponibilité pour ce genre de travail. L’idée de le faire m’a d’ailleurs effleuré.
Il se trouve cependant qu’au fil des narrations de chacun intriquées au discours raisonnable “ ça parlait sur l’autre scène “ comme en suivant le tore d’un anneau de Moebius, l’intériorité des personnes se manifestait parfois disant le désarroi d’un groupe de sujets en mal de devenir une équipe professionnelle. ( Thierry Simonetti, cerf, 2000, p.137)
Ce besoin premier à prendre en compte pour accomplir la Tâche, n’était pas perçu, et personne ne semblait comprendre les sens de ma question quand je demandais: ” A quoi travaillez- vous ? “
La réponse obtenue c’est qu’ils faisaient ce qu’ils pouvaient mais que ce n’était pas leur faute si le comité décidait tout. Le message à passer était que s’ils n’étaient pas fautifs, ils avaient à devenir responsables du futur professionnel de cette équipe.
Malgré mon insistance à leur dire qu’ils ne répondaient pas à ma question, mais me disaient pour qui et non à quoi ils travaillaient ils n’allèrent pas plus loin.
Au-delà de l’observation des petits faits propres à chacun qu’il serait fastidieux d’énumérer ici, le lien partageable qui unissait les personnes était fait d’une sorte de ronronnement revenant constamment autour de l’impuissance des uns et des autres. Paradoxalement l’atomisation était le lien, tous étaient dans un mouvement centripète de repli, en conséquence de quoi le groupe dans un mouvement centrifuge semblait au bord de la rupture.
Cette lecture au niveau du processus primaire était à mon sens la réelle commande, celle qui avait le plus de force. La gageure étant de parvenir à travailler au niveau du processus secondaire sans renier le primaire mais en lui faisant place afin de bénéficier de l’énergie qu’il engendre. Ce dispositif me semble permettre de situer l’intervention à partir d’un principe la sous-tendant que je formulerai comme visant à dénoncer la dépendance et suggérer l’autonomie.
J’ai lors de cette séance proposé de rencontrer le comité pour lui faire savoir que travailler avec une équipe sans parler de sa dynamique était très difficile. L’équipe soudée tout à coup s’y est opposé, craignant que la supervision qu’ils avait demandé ne leur soit refusée. Je n’ai pas insisté. Comme le petit discours explicatif sur ma position tel que je l’ai exposé au début leur à plu, le responsable me téléphonait quelques jours plus tard qu’ils étaient d’ accord de travailler avec moi. J’ai accepté.
Deux heures par mois le soir entre sept et neuf (et on dira que les professionnels ne sont pas motivés!)
Si j’étais sensible à l’inquiétude dite et perçue lors de la première réunion, je me voulais aussi attentif à la reproduction possible d’un schéma de dépendance.
Dans quelle mesure ces éducatrices et ce directeur travaillant avec une population de petits parfaitement dépendants d’ eux, n’étaient-ils pas surdéterminés dans leur comportements interrelationnels par la clientèle accueillie? Cette préoccupation était assez forte pour que je m’en souvienne jusqu’à ce jour. Elle a très certainement été une des hypothèse qu' a influencé le début de la supervision. N’ayant pas de questionnement spécifique, pas plus que de grille de lecture organisationnelle, voilà à quoi se résumait si j’en crois mes notes, le “diagnostic relationnel” que je pouvais faire de la situation
Dès le début de nos rencontres formalisées l’étude des cas présentés a eu pour effet de confronter le groupe au superviseur. Cet affrontement-là était à leur portée, il consistait pour l’équipe à réagir chaque fois que je rendais apparent ce que la commande énoncée par le comité et acceptée par l’équipe avait d’inapproprié dans le travail.
Plutôt que d’entrer de front dans un conflit situé au niveau organisationnel je suis resté dans le champ de la Tâche à assumer avec ma question “A quoi travaillez-vous? “. La morcelant au niveau des tâches à accomplir par une interrogation entraînant une véritable explicitation des savoirs faire.” Que faites-vous et comment vous organisez-vous pour le faire?” J’insistais pour amener les participants dans le descriptif le plus détaillé possible de l’ action.
Partant de là, j’ai élargi la vision que l’on m’apportait des cas présentés. Chaque fois je tentais de situer les actions décrites dans un espace plus vaste que le seul “ relationnel duel “ pour les restituer dans un contexte. Plus je cherchais à confronter le savoir faire des professionnels, et le savoir qui l‘étayait avec la logique souvent différente des autres partenaire du réseau. En fait j’ai développé au sein de la supervision une sorte de pédagogie d’intervention amenant à regarder une situation et pas seulement un cas. La suite logique, coeur de l’action éducative consistant à rechercher des réponses adéquates à une situation plutôt qu’une réponse à un problème.
Cet élargissement de la vision à entraîné logiquement une distanciation d’avec le problème, ce qui à permis de restituer les événements rapportés dans une chronologie et une historicité qui nous a amenés à regarder, comme indiqué plus haut, un film plutôt que de visionner des clichés.
En fait cette période a été comme une sorte de dynamisation de l’équipe. A chaque fois les séances commençaient par la plainte sur la lourdeur du travail et l’impossibilité que les choses changent; il en était tout autrement à la fin puisque les participants se disaient et étaient réellement plus présents et éveillés. En écrivant ces lignes je me rends effectivement compte à quel point mon attitude au début du processus à été guidée par ce sentiment qu’il ne fallait pas qu’ils soient impuissants et dépendants face à moi.
Offrir un espace de confrontation autour du passage de la problématisation d’un cas appelant une solution à l’exposé d’une situation appelant des réponses, elles-mêmes, relevant de la mise en commun, à fait partie d’une stratégie que je qualifierai d’ inductrice.
Cette induction a favorisé chez les participants une prospective d’action qui, je l’ai dit, recherchait quelles réponses adéquates apporter à la situation. Ce dispositif qui mobilise plusieurs intervenants et qui force à chercher des stratégies communes, à été le fondement du processus de travail tel qu’il s’est développé par la suite.
Il découle de cette manière de faire que, pour travailler la Tâche, il est impératif de parler de la dynamique de l’équipe et de la régulation de ses rapports avec les autres partenaires, comité inclus
La confrontation naissait autour de la systématisation du questionnement et de ma réticence à suivre les participants sur le chemin de la plainte événementielle. J’ai d’après mes notes, dès la troisième séance, proposé à nouveau de rencontrer le comité. Discussion dont il ressort que le responsable rencontrera le comité pour lui transmettre la proposition et lui expliquer mon point de vue. La réticence d’une partie de l’équipe à nous voir aborder la dynamique de travail semble s’estomper.
La fois d’après j’obtenais via le directeur la réponse du comité, je pouvais aborder les aspects dynamiques des relations interpersonnelles et m’intéresser au réseau, de plus l’autre intervenant n’intervenait plus! Par contre le comité ne jugeait pas opportun de me rencontrer.
Deux à trois séances se sont passé ensuite à parler des situations beaucoup plus librement, avec pour effet d’amorcer un discours focalisé autour de la recherche d’une cohérence professionnelle.
Lors d’une de ces séances, une éducatrice a fait part du sentiment qu’elle avait à mon endroit, à savoir que je ne l’écoutais pas. Je ne serai en mesure de donner un sens à cet épisode que plus tard, j’ y reviendrai en temps et lieu. Pour l’instant je retiens que, ce qui est ressorti de ce moment, c’est qu’une fois les affects écoutés, les positions dites, il a été possible de continuer à travailler ensemble . Je préciserais que l’équipe et son directeur étaient très attentif durant cet échange.
Je relèverai pour les autres séances que la relation duelle, et les affects par elle engendrés chez le sujet, restait avec l’événementiel le thème privilégié des échanges.
Une séance est particulière qui a consisté en un bilan des premières séances, Je la situe parce qu’elle a eu lieu en février deux mille et que j’avais commencé la formation CEFOC; la tentation de l’intervention y était présente puisqu’en guise de bilan et après que l’on se soit dit qu’on repartait pour cinq séances j’ai proposé de relever cinq points positifs et cinq points négatifs dans les domaines de la pédagogie, du fonctionnement de l’équipe et des rapports avec l’extérieur. La liste à été conservée en vue d’un travail futur.
Ce qui est ressorti le plus fort de ce travail, c’est l’envie d’élaborer un nouveau concept pédagogique.
C’est je pense à la sixième séance, que lors d’une discussion passionnée se cristallisant dans des positions qui paraissaient inconciliables, j’ai employé un outil qui nous avait été proposé, à savoir de considérer la position de laquelle nous parlions. (Chema attribué à Dubosque par Sylvain Ohajon)
J’ai dessiné une croix représentant l’axe du savoir et de l’ action avec des gradations sur chaque branche, en nommant les extrémités, respectivement pour celle du savoir : chercheur et technicien et pour celle de l’action idéologue et praticien. Puis j’ai demandé à chacun de situer premièrement d’où il parlait dans le moment et secondement où il se situait le plus habituellement dans toutes les directions.
Le résultat du premier exercice a été que les acteurs du débat passionné se situant, l’un dans la branche technicienne et l’autre dans la branche idéologue ont arrêté de se vouloir convaincre!
Par la suite, confondus avec les pairs, ils ont commencé a rechercher une position permettant la cohésion pragmatique de l’action mais supportant un différent théorique.
Dans le deuxième exercice, l’espace délimité par les losanges irréguliers dessinés en superposition a été tout de suite ressenti comme le champ de réflexion et de discussion immédiatement partageable par l’équipe.
L’échange qui suivra et continuera la séance d’après concernera presque naturellement la manière que l’on a d’envisager le travail et par extension les représentations que l’on se fait de la Tâche.
C’est à ce moment que j’ ai proposé de travailler, en rappelant la séance de bilan, une journée entière autour de ce thème des représentations de manière active dans le but de revisiter un concept pédagogique vieillissant.
C’est de cette manière qu’après sept séances de “supervision revisitée” étalées sur dix mois je me suis retrouvé dans le rôle d’intervenant en juillet deux mille.
L’intervention comme mutation
Pour introduire cette partie de mon travail je ne résiste pas au plaisir de citer Jean Paul Sartre qui disait, j’espère qu’il ne me tiendra pas rigueur d’avoir oublié où,” un groupe qui travaille se travaille” l’ ancien médecin chef du C.T.A. André Meyer aimait à compléter “ s’il ne travaille pas pour se travailler, mais se travaille pour travailler “!
Pour ma part je remplacerais simplement groupe par équipe mais enfin fidélité et respect oblige... Reste que la pertinence de la phrase et de sa paraphrase reste entière et reflète en tout cas l’esprit que je désirais voir présider à cette journée.
J’ai gardé de cette partie de mon intervention et le protocole décrivant le dispositif imaginé, et les notes de la journée. Pour m y préparer j’avais lu l ’ancien projet pédagogique de l’institution.
Je livre le document décrivant le protocole que j’ai imaginé et qui m’a servi à piloter l’intervention tout au long de la journée. ( voir annexes)
Tous les exercices n’ont pas été employés, l’ordre de quelques-un a été inversé et un exercice l’ éducation c’est.. a été pêché dans la réserve. Trois sous-groupes de travail de trois personnes chacun se sont constitués.
Aux six heures prévues le samedi en question, se sont rajoutées deux heures supplémentaires en fin de journée à laquelle avait été conviées les femmes de ménages. Seul le cuisinier n’a pas pu venir.
Cette intervention a été l’élément central de la maturation du groupe en une équipe professionnelle.
Deux exercices ont favorisé grandement ce processus.
Je parlerai premièrement du travail créatif autour des représentations. Il s'agit de représenter en petit groupe et en silence d'abord les idées et valeurs qui sous tendent le travail.
Cet exercice se pratique au moyen de peintures, d'écriture, de découpage, de chiffonnage, de collage le tout rassemblé et concrétisé au moyen du support offert par de grandes feuilles de papier sur lesquelles les acteurs peuvent entrer en interactions créatives.
Cette technique, pratiquement introductive de la journée, aura été à la fois, le réceptacle des contenus personnels extériorisés et, de par l’échange de créativité interactive proposé, le ferment de transformation de l’extériorisation de ces représentations en trois représentés différents.
Trois représentés différents , nés de la dynamique des sous-groupes au travail et de leurs échanges après-coup.
Pour parvenir à des présentations successives du travail au grand groupe par les sous-groupes des trois productions qui sont en fait des “ donné à éprouver “ différents. Les trois représentés sont mis en représentation interactive ils ne sont pas seulement montrés au grand groupe mais commentés, questionnés, comparés. On constate qu’on a représenté les mêmes choses autrement ou des choses différentes pareillement. Toute cette effervescence est ordonnée, elle obéit à une loi.
On recherche une représentation commune qui ne soit pas discriminatoire des visions particulières, en fait au bout d’un exercice si simple on accueille la complexité.
J’ai pour ma part eu le sentiment d’assister a quelque chose qui ressemblait au passage de l’imaginaire individuel à une symbolisation groupale partagée, permettant une meilleure confrontation au réel. Peut-être m’ avancerais je trop dans une perspective Lacannienne mais je rapprocherais volontiers cet épisode, d’une sorte de castration symbolique permettant justement d’introduire la métaphore du nom du Père en substitution du désir de la mère. ( Alex Raffy, érès, 2000, p. 76)
Je me demande si ce n’est pas cette sorte de passage instituant la loi qui permet au groupe informel de devenir équipe professionnelle. Comment ne pas évoquer à cette occasion le passage dynamique d’un processus primaire à un processus secondaire. Dynamique au sein de laquelle s’harmonise et se hiérarchise les poussées de nature pulsionnelle créative avec la prise en compte des exigences extérieures commandant de contrôler la pulsion.
Cette rencontre à permis l’ouverture d’autres champs d’investigations . La question du jour que je résumerais par: comment faire pour bien faire quand on est éducatrice de la petite enfance, a été extirpée de son contexte purement éducatif et relationnel de proximité. La créativité d’abord , les présentations ensuite on permis de la ressentir et de la situer dans ses dimensions et ses implications sociales psychosociales , socio-politiques.
A ce stade et dans ce foisonnement, la découverte première faite par l’équipe et que je reformule ici se résumait en substance a constater que ce que les structures et l’organisation ne prenaient pas en charge était assumé par les professionnels.
Je postule pour ma part qu’il s’agit là de la mise en évidence d’une sorte de plus-value ajoutée par les individus à la prestation de service que l’organisme propose. Cette plus-value donne une réelle valeur ajoutée à la prestation puisqu’elle fait éponger individuellement à chaque professionnel, le surplus émotionnel que la collectivité ne prend pas en compte. Ceci bien entendu sans la rétribuer et mieux, en culpabilisant le professionnel que cette charge excessive écraserait.
Cette hypothèse ne vaut peut-être pas plus que l’intuition qui est a son origine, il m’a semblé cependant intéressant de la partager parce qu’elle s’est imposée à moi alors que les participants échangeaient sur leurs productions. Elle me permet en tous cas de clarifier encore plus la différence sémantique que j’indiquais entre le fait de participer à quelque chose de manière consciente, ou de quelque chose de manière inconscient..
Il y avait une part de jubilatoire chez les participantes et le participant à prendre en compte ces dimensions, comme un col que l’on dégrafe lorsqu’il fait trop chaud, cela respirait. La lourdeur du compliqué a laissé la place à une appréhension de la complexité du réel qui, loin d’effrayer, laissait imaginer le champ des stratégies envisageables parce que justement la réalité est complexe.
L’ équipe, selon moi, à ce moment de son histoire ne doit plus être décrite, cela se fait souvent, comme un outil de travail propre a être utilisé par des tiers!
Les qualités qu’elle a développé dans sa maturation peuvent être appréhendées en comparaison à une cellule vivante prête à remplir sa fonction.
Juste suffisamment souple dans ses mouvements de contriction et d’expansion pour s’adapter à l’extérieur, sans se déformer, et à la membrane poreuse, juste ce qu’il faut, pour régulariser ses échanges: internes - externes.
Michel Lemay enseigne qu’en éducation une des attitudes favorisant l’acquisition de compétences est l’anticipation positive. Là où un étranger à entendu le rejeton baragouiner “agalala” les parents, tout heureux, ont distinctement entendu “Voilà papa”. (Maurice Capul Michel Lemay, érès, 1996)
Mais comparaison n’est pas raison, et mon exemple ne voudrait pas faire entendre qu’il s’est établi une relation de dépendance inadéquate entre l’équipe et moi.
Il s’agit simplement d’avoir mis en place un dispositif qui permette à une équipe d’être bénéfique pour elle-même. La réussite de cette opération expliquera voir excusera je l’espère, mon enthousiasme de néophyte qui n’enlève cependant rien au fond du processus.
Que j’anticipe positivement par excès d’optimisme en décodant plus loin que l’équipe ce dont elle n’a pas conscience n’est pas un mal en soi; tant que je ne lui assène pas ce constat comme une vérité interprètative mais le partage simplement comme potentiellement prédicatif d’un possible ouvert.
On verra par la suite que, bien évidemment, si une équipe ne reste pas toujours à un degré de conscience aussi élevé l’expérience partagée a laissé le souvenir d’un acte fondateur. Elle conserve des traces d’une dynamique interne à laquelle il pourra être fait référence en tout temps, cette mémoire et son rappel potentiel est propre à favoriser à l’ avenir la continuation du travail.
Je dis bien l’équipe conserve, parce que cet éprouvé expérienciel a augmenté de manière notable sa cohésion.
Le fait de partager des valeurs fondamentales sur le travail n’a pas pu se faire sans la forme nécessaire à cet exercice. Ce qui veut dire que l’équipe, en tant que plus que la somme de ses membres, travaillant sur le fond autour des représentations individuelles expérimentait les formes qui permettaient ce travail. L’amorce d’une continuité entre l’individu et le social est devenu un éprouvé commun.
Plus il ne s’agit plus uniquement de dénombrer des individus. plus petite partie du corps social mais de discerner dans ce moment l’émergence de la personne telle que la conçoit un auteur comme Denis de Rougemont “La personne,c’est l’homme en acte, libre et responsable, module universel de toute communauté humaine consciemment et volontairement engagé. Distincte de l’individu, la personne représente l’attitude créatrice de l’homme, elle vit dans le risque et dans la décision”. (Cité par: Bruno Ackermann, L’Age d’ Homme, 2000 p.30)
Il y a de ces moments comme ça, où , au-delà du frisson de l’envolée, on a la sensation de toucher à quelque chose...
Plus pragmatiquement, en tout temps, il pourra être fait référence à ce construit d’un émotionnel groupal mis en forme, comme à un chemin possible entre l’expérience primaire d’appartenance et son élaboration discursive secondaire .
L’avantage est double qui permet de prendre en compte les tensions: individu / groupe ainsi que forme / fond sans les réduire à un “juste milieu” insipide mais en se servant de cette énergie pour produire une danse unissant pour un moment ce qui reste habituellement différent.
Cette métaphore d’unir les contraires par une sorte de danse et non dans le combat à été très évocatrice de ce moment .
Le deuxième exercice au cours duquel l’intensité de l’implication était presque palpable je l’ai tiré de ma réserve.
Il s’agit de tracer sur le sol, à l’aide d’une bande adhésive, une longue droite à l’extrémité de laquelle je mettrai le signe plus plus, et à l’autre extrémité le signe moins moins. Le signe égal marquera le milieu et logiquement le signe plus sera placé à mi-parcours du côté positif, le signe moins étant simplement en symétrie du côté négatif.
La consigne consiste à demander aux participants qui le désirent de faire à tour de rôle une affirmation sur un thème choisi. En locurence: la valeur essentielle pour une éducatrice de la petite enfance c’est....
Les autres participants se placent sur la ligne en fonction de leur adhésion à l’affirmation. On laisse ensuite un temps d’échange. Cet exercice aurai pu durer bien au delà de la demi-heure prévue !
Dans sa première partie, la plus importante à mes yeux, il a consisté pour l’équipe à questionner la pertinence de l’affirmation proposée.
Le terme valeur s’est transformé en travail, et le questionnement est devenu: Ce qui est important dans le travail d’une éducatrice de la petite enfance c’est...
Ce retour par le biais de l’appropriation dans une reformulation plus ouverte par l’équipe de la question du premier exercice: qu’est-ce qu'’ on fait quant on est éducatrice de la petite enfance? me semble un indice du processus de maturation en cours entre les protagonistes.
Une concrétisation s’est opérée qui permet d’ancrer si on le désire la démarche au niveau de l’activité. Toute la subtilité est dans la notion permissive, sous-jacente au questionnement qui permet d’affirmer depuis des priorités différentes.
Les affirmations qui vont suivre vont se centrer soit autour de la notion d’importance qui emmène dans des catégories qualitatives subjectives, par exemple: la gentillesse est ce qui est le plus important dans le travail ... soit sur le contenu du travail qui ramène des catégories de compétences objectives organisées autour de l’apprenable voir de l’évaluable, par exemple: la communication est ce qui est le plus important dans le travail... Quelques unes réuniront les deux. Par exemple: être motivé et bien préparé les ateliers de bricolage est ce qui est important dans le travail...
J’ai interprété ce moment comme une amorce de ce qui pourrait à l’avenir devenir une séquence, non induite et consciente d’explicitation des savoirs, suscitée et partagée par les membres de l’équipe .
Si je replace ce moment dans la suite chronologique du travail sur les représentations du matin, je trouve cette séquence très importante.
J’ai senti que l’équipe prenait son travail en main. Le virage qui recentre le questionnement sur l’action prend toute sa valeur dans le sens où le partage du matin à amené l’équipe a un degré permettant d’envisager une collaboration respectueuse des différences.
Dans cette perspective, la notion d’action est de première importance puisqu’elle permet de prendre en compte les aspects subjectifs et objectifs de l’ expérience des sujets dans l’accomplissement de la Tâche.
L’amorce de la collaboration commence entre les partenaires au moment où il n ’ y a plus tentative de réduire l’autre à sa merci. L’institution n’est plus uniquement sentie comme une communauté qui doit faire vivre en ensemble le semblable, mais aussi comme une micro-société qui doit faire se côtoyer le différent.
Plus précisément il serait juste d’écrire que la forme donnée au travail , aller de la personne au groupe, passer du silence aux mots a permis de construire une cohérence des représentés. Le fond de la démarche, cheminement de l’expression à l’explicitation, a fait émerger une possible collaboration supportant des positionnements plus différenciés dans leurs expressions que différents sur le fond.
Reste qu’a partir de ce moment l’équipe fait l’expérience que des divergences théoriques n’empèchent pas forcément une collaboration réelle au niveau pragmatique.
Ce processus s’enclenche au sein de l’équipe. Les séquences-recherches de cohérence et de collaboration s’enchaînent logiquement les unes aux autres.
L’important ne me paraît pas ici de restituer ce qui a été affirmé, ce contenu appartient à l’équipe. Je me contenterais de dire, il n’y avait à mon sens sur le fond rien d’exceptionnel. L’essentiel étant à rechercher au niveau du processus, ce dernier amène les participants à imaginer des formes d’échanges, matrices contenantes, permettant la classification et l’exploitation du matériel faisant la surface. Écrivant cela, je souhaiterais emmener les lecteurs vers ce constat que le primordial dans cette journée a été le degré de conscience que les professionnels ont eu du travail qui s’opérait. En fait l’approche proposée à permis aux participants de garder suffisamment de maîtrise pour devenir véritablement acteurs de cette journée.
Tout le matériel ainsi obtenu à été conservé par l’équipe. Il est d’ailleurs prévu une deuxième journée qui permettra de continuer à l’agencer de manière à continuer le travail autour du projet pédagogique.
Projets
J’ai revu ensuite l’équipe sept fois, à raison d’une séance par mois environ, actuellement, le rythme de la supervision à repris. Pour combien de temps ?
Je ne sais pas dans l’avenir si le projet de travailler sur une journée va pouvoir se réaliser. Je pense pour ma part qu’il appartiendra à l’équipe de le finalisé.
S’il se produisait, alors je pense que nous reprendrions le travail là où nous l’avons laissé. C’est à dire que que ce qui n’a pu être qu’ébauché et non achevé dans la première rencontre serait poursuivi .
A savoir, reprendre le matériel produit et le travailler selon le schéma suivant: D’ou parle t’on, pour faire quoi, dans quel but, dans quel contexte, pour qui et comment s’y prend-on?
J’ai déjà imaginé de systématiser l’intervention dans la dynamique de la commande et de la demande, inscrites elles-mêmes dans les matrices d’objectifs à court, moyen, et long termes. Concrètement je pense partir d’une démarche langagière et scripturaire.
Premièrement entendre et noter à partir des positions idéologiques et idéalisées ce qui devrait apparaître dans un projet pédagogique.
Deuxièmement entendre et noter les verbes désignant l’action, les adjectifs qualifiant l’action, les noms la précisant.
Le soucis étant chaque fois dans cette deuxième partie de cerner les buts poursuivis à court, moyen, et long terme.
Ensuite de repérer les moyens à disposition et les méthodes proposées pour atteindre les buts fixés.
Cette partie du travail à été partiellement entrepris lors de notre première journée mais est loin d’ être achevé
Troisièmement, j’aimerais réfléchir et élaborer un protocole d’évaluation qui viserait à vérifier la pertinence du mode d’accueil proposé, en tenant compte de la commande sociale mais aussi des moyens à disposition.
Cet objectif à plus long terme devrait me permettre d’affiner cette intuition de la plus-value affective. Plus-value au moyen de laquelle le travailleur social comble, à mon avis, le fossé qui existe entre l’idéologie et l’éthique haut de gamme des commanditaires sociaux, et la réalité des moyens avec lesquels le praticien doit opérer sur le terrain.
Vers un accompagnement synergétique
Pour ce qui est de l’équipe qui m’intéresse plus particulièrement dans ce travail je peux constater combien l’expression, les échanges et l’objet des échanges a changé. Paradoxalement si je puis dire nous n’avons pratiquement plus parlé des enfants depuis cette journée, les rapports que l’équipe entretient avec eux n’ont jamais été si présents. Ce résultat qui pourrait surprendre certains m’apparaît comme un pas mélioratif important dans la conscience que l’équipe professionnelle a dans ses capacités de remplir son mandat. En quelques sortes l’assurance prise les dégage d’avoir besoin d’un “superviseur” qui leur dise si ce qu' ’ils ont fait est bien ou mal. Je crois que mon rôle, et surtout ce qu’il représentait, a été démystifié. L’équipe a conscience d’assumer la Tâche et par voie de conséquence de s’assumer elle-même .
En fait je devrais préciser que si nous n’avons plus parlé des enfants, dans la perspective d’analyse de cas, en vogue au début de la supervision, nous nous sommes beaucoup intéressés à ce les professionnels et l’équipe professionnelle faisaient avec eux et pour eux. Ce qui veut dire que nous avons eu a regarder de près les conditions contextuelles favorisant l’accomplissement de la Tâche.
Pour rendre compte de cette évolution dans le travail, suite à la journée d’intervention je parlerais de trois séances qui illustreront je l’espère mon propos.
Première séance
Cette séance à été la deuxième après notre journée. Le directeur et deux éducatrices ont rencontré le comité. Au centre de cette rencontre il y avait une demande d’une éducatrice de faire une formation particulière. Cette possibilité lui a été partiellement refusée par le comité parce qu’il s’agissait en fait de continuer pour elle à se perfectionner dans un domaine où cette personne était déjà très qualifiée.
Les retombées dans notre séance sont parties du constat que l’équipe ne s’était pas déterminée au préalable sur le bien fondé ou non de cette démarche de formation.
Le fond du problème n’était pas le désintérêt pour la formation proposée, mais la difficulté à se reconnaître le droit de s’autoriser entre pairs, au préalable à l’autorisation des pères.
La reconnaissance que nous nous portons ou non a t-elle-valeur ? L’équipe est partagée, il est question de savoir si les éducatrices sont d’accord de partager entres elles leurs projets de formation pour avoir l’aval de leur collègues avant de rencontrer le comité, ou si chacune veut jouer sa chance seule face au comité.
Derrière ce propos apparaît la question suivante. La reconnaissance est-elle horizontale ou verticale? D’ailleurs s’agit-il de reconnaissance ou de pouvoir hiérarchique?
Il est fait référence à la journée d’intervention pour rappeler que toutes se reconnaissaient de la compétence et qu’elles pouvaient se faire confiance quant à l’honnêteté de chacune.
Si une telle pense qu’elle doit se former dans telle matière, on part du principe qu’on peut lui faire confiance dans son besoin. Dans ce cas il importe d’abord que l’équipe soit informée et que le cas échéant l’éducatrice argumente d’abord devant ses pairs le bien fondé de ses choix.
Une différenciation s’opère entre le pouvoir de décider à partir de la compétence ou de décider à partir de la position hiérarchique qui n’a pas forcément la compétence nécessaire pour comprendre les motivations du personnel et juger du bien fondé de telle ou telle formation..
Il est imaginé qu’à l’avenir une procédure se mettrait en place qui amènerait devant le comité des demandes de formation soutenues par l’équipe et relayées par les représentants de cette dernière, une éducatrice et le directeur.
J’ ai été très en position d’observateur durant cette séance les choses s’enchaînaient presque logiquement. J’ai trouvé important la référence faite à la journée d’intervention dans les sens où la vie quotidienne ayant repris ses droits et des problèmes concrets surgissant, l’équipe a montré que les traces laissées étaient assimilables à son fonctionnent.
Durant dernier quart d’heure nous parlons du degré d’autonomie de l’équipe etdela qualité qu’elle reconnaît à son travail. Je parle de l’échéance de l’été, du temps depuis lequel nous travaillons, et de la fin possible de mon mandat.
Deuxième séance
J’apprends que l’équipe reprend sur un temps de colloques des contenus de nos séances pour les intégrer au mieux, de manière concrète, à leur pratique quotidienne. Ces temps servent par ailleurs à travailler le projet pédagogique.
Le directeur commence par dire qu’il avait été dérangé la séance précédente par la place que des échanges entre une éducatrice et moi-même avait pris. Il s’agit de la même éducatrice qui m’avait interpellé au sujet de mon manque de reconnaissance à son endroit au début des séances de supervisions.
Notre “différent” portait cette fois, sur la conscience vécue d’un discours sous jacent aux échanges, et concernant la fonction de responsable. J'avais avancé une hypothèse laissant entendre que certaines de ses interventions n’étaient pas si naïves qu’elles le prétendaient et moins innocentes qu’elles paraissaient le croire.
L’éducatrice me disant qu’elle ne comprenait pas ce que je voulais dire et que je lui prêtais des intentions qui n’existaient pas ou dont elle n’avait pas conscience.
Précisément en fin de séance le directeur avait raccompagné plusieurs personnes en voiture, c’est à cette occasion que l’éducatrice avait parlé du fait que je ne la considérais pas et que je ne croyais pas en son honnêteté.
Pour ma part j’ai précisé que je reconnaissais pouvoir certaines fois, me laisser entraîner à polémiquer et que j’acceptais l’idée que ma manière de travailler ne convienne pas à tout le monde. J’ai ajouté que je n’avais l’intention de blesser personne mais que bien évidement je n’étais qu’un humain et de ce fait imparfait. J’ai rappelé aussi que l’important restait ce que nous allions faire de de cet événement.
J’ai immédiatement mis en rapport, sans en faire part, cette séance avec celle dont je parle en page seize. Le changement en a été pour moi que l’attitude du directeur qui ne s’était pas prononcé lors de la première séance un peu ”conflictuelle”, confirmait cette fois une place de responsable du fonctionnement groupal.
Le reproche que le directeur formulait ne portait pas tellement sur le différent en tant que tel, mais sur le temps qu’il avait fait perdre! Une éducatrice précisera que c’était effectivement une perte de temps, sa collègue et moi ne pouvions nous comprendre, elle étant “affective” et moi “cérébral”.
Le reste de l’équipe semblait être spectateurs de la prise de position de son directeur.
J’ai demandé à quoi aurait du servir ce temps perdu? Y avait- il une urgence ?
Une hypothèse s’est fait jour que peut être il y avait des choses à se dire concernant les rôles et la fonction de chacun et que le temps avait servi à autre chose. Une participante a repris cette idée que des choses qui m’étaient adressées auraient dû l’être au responsable. En fait qu’il avait à se situer quand aux rôles qu’on lui attribuait, et que l’équipe avait à lui préciser ses attentes et ses besoins.
Ce que j’ai su lire de cet épisode c’est que j’avais perdu du temps à recevoir et à répondre à des questions qui ne m’étaient pas adressées. Il était plus question d’un temps perdu dans le sens d’une opportunité que de temps perdu dans le sens d’un écoulement horaire. La séance avançant, il a de moins en moins été question de faute de l’un ou l’autre que des prises de responsabilité de chacun.
Troisième séance
Le directeur a écrit au tableau noir avant la séance la phrase suivante. “Il est intolérable que les gens projettent sur vous à partir d’une image et pas de la réalité”.
A ma surprise les éducatrices ne réagissent pas immédiatement. Les participants reviennent à la séance passée pour constater que je ne me suis pas assez exprimé, en fait c’est le directeur qui va faire ce commentaire.
Suit un rappel historique de mes interventions au cours des séances, par ce biais le vécu de l’équipe est revisite. J’ai la perception qu’il s’agit d’une sorte bilan et je pense que j’ai fini mon intervention. Je propose que les gens décident d’ici la prochaine séance ce qu’ils vont faire. L’équipe est d’accord , l’évocation du passé reprend.
A un moment une éducatrice fait un lien avec ce qui a été dit à la dernière séance, à savoir que des choses à moi adressées pouvaient parfois l’être en fait au directeur.
Une autre demande ce que veut dire cette phrase au tableau noir? La mobilisation physique indique que l’attention se porte vers le directeur. Le directeur prend la parole, il veut parler de son rôle et des attentes qu’il sent liées à ce rôle.
La clarification de sa position, que fait le directeur, s’adresse corporellement au moins à l’éducatrice qui manifestait un différent à mon endroit la dernière fois. C’est à elle que le directeur renvoie qu’elle le veut autre qu’il n’est en réalité.
J’amène cette piste que l’éducatrice ne parle pas qu’en son nom, mais remplit une fonction pour le groupe. La parole se délie et les éducatrices parlent au directeur .
L’attention est forte, chacun est attentif. En substance la demande est que le responsable soit plus directif, mais qu’il n’impose rien, tout en le faisant si c’est nécessaire mais cela n’a jamais été le cas.
Les éducatrices rient d’elles-mêmes et de leurs contradictions, à la place d’une polarisation du groupe sur l’attitude de l’un de ses membres il s’opère une acceptation de l’ ambivalence de chacun.
Les affects contradictoires de l’humain qui habite le rôle professionnel sont d’une certaine manière, amenés à la lumière et simplement reconnu comme un paramètre avec lequel il faut composer.
L’émotion présente au début se retrouve là, mais d’une certaine manière dégagée du surplus de mobilisation affective qu’elle suscitait chez les participants. Pour un temps, les tensions sont en équilibre.
La séance finira alors qu’émerge à nouveau des références à l’histoire de l’équipe, aux éducatrices qui sont parties, aux alliances ou aux différents qui liaient les personnes présentes, à celles qui ne sont plus là!
Comment continuer un travail sans cesse recommencé parce qu’il y a des départs et des arrivées?
- Pourtant quelque chose reste, comme une transmission.
- Oui la garderie continue même si moi je m’ en vais.
- C’est vrai on ne travaille plus comme avant, et si j’allais ailleurs je prendrais ça avec moi!
Mon intervention s’arrétera la séance d’un commun accord suivante.
Point de suspension ou point de suspension
De la suite de cette sorte d’évolution en spirale qui survole les mêmes endroits mais les considère d’un autre point de l’espace je ne peux rien dire, elle appartient à un futur que je ne connais pas.
Simplement je relève que dans ce temps suspendu, d’où je regarde et décrit le chemin parcouru, la démarche est inscrite tant dans un achevé que dans un inachevé.
Achevé, si je considère le progrès effectué en ce qui concerne, par exemple la qualité des rapports entre les personnes.
Inachevé, si je considère le caractère sans doute éphémère de cet état et le soin qu’il faudra en prendre pour le rappeler comme un possible des rapports professionnels.
A mon sens une démarche telle que celle que cette équipe vient d’effectuer, a valeur tant par un aboutissement que par le processus vécu qui a permis justement d’y aboutir.
L’augmentation de la conscience qu’ont les participants des différents niveaux de vie de l’équipe et leur prise en compte dans le travail quotidien direct avec la clientèle, est un indice du degrés de maturité atteint par l’équipe.
La mise en lumière et l’acception des principes d’incertitude et d’imprévisibilité de certains paramètres comme étant générateurs des tensions polarisant les relations professionnelles, permettent d’étayer le fonctionnement du groupe sur une dynamique du provisoire qui autorise la collaboration.
Les sentiments partagés dans le groupe sont presque conscients, bien plus il sont appréhendés de manière distincte dans les catégorisations relevant pour une part de l’histoire des sujets et pour l’autre des rôles qu’il joue dans l’équipe de travail. Ce travail est rendu possible par la mise en forme de la parole, l’accompagnement dans un processus de démocratisation d’un lieu où la parole d’une équipe ne dépend pas plus de la capacité spéciale des individus, que d’un principe ou d’une reconnaissance extérieure .
Les procédures, les différentes formes de concertation suppléent en partie à la relation de dépendance fondée sur la crainte de la répression et de besoins de protection. “ De façon ultime , la fonction de la relation d’autorité dans son ensemble est une fonction de défense collective contre l’angoisse de séparation éprouvée collectivement par les membres de l’ organisation. (Max Pagès Dunod,1997, p 212)
Cette relation à l’ autorité vécue par les individus comme dépositaire et gardienne des rapports entre les personnes au sein de l’organisation peut laisser plus consciemment place à une autorité basée sur la différenciation des rôles et la reconnaissance des compétences. Pour amorcer avec leur clientèle un processus, conduisant espérons nous vers l’autonomie des bénéficiaires les équipes éducatives sont dans la nécessité d’expérimenter cette autonomisation dans leur fonctionnement propre .
Il n’en reste pas moins qu’au-delà des différents bénéfices , il existe une ligne de démarcation entre ceux qui pensent qu’un fonctionnement optimum est possible et ne dépend que de facteurs, somme toute maîtrisables, et ceux qui acceptent la part disfonctionnante et conflictuelle comme faisant intrinsèquement partie de tout groupe humain.
La reconnaissance ou le rejet de cette pulsion de mort active qui inscrit les groupes dans une impermanence, situe quoi que l’on fasse la faille à un niveau structurel.
L’équipe idéale n’existe ni n’ existera jamais, il faut faire le deuil d’une idéologie par trop conjecturale, pour tendre à partir de la pratique à un idéal.
Cette acceptation, ce deuil de la toute puissance groupale limite le recours à l’autorité d’un responsable ou d’un leader comme facteur de défense contre le morcellement. et comme vecteur de la cohésion du groupe. Ce questionnement sur la position de leader que je me propose de traiter dans un autre écrit à des racines lointaines et je devrais à ce travail de l’avoir réactualisé en relisant ces lignes je m’aperçois que moi aussi je revisite en spirale un endroit de ma réflexion. ” En effet , admettre que j’ai un réapprentissage relationnel à faire me met, moi éducateur, dans une position qui exclut la neutralité, qui exclut la référence possible à un chef omniscient qui dicte ma conduite. La relation hiérarchique traditionnellement pyramidale s’écroule et me laisse face à l’autre dans un système d’inter-influence où mes mouvements ont autant d’importance que ceux de l’autre.
(Stern Eric, E.E.S.F.,1986, p. 52)
C’est cette fragilité apparente une fois accueillie par les individus qui fonde, parce qu’elle est vectrice d’éprouvés égalitaires, la cohésion d’une équipe et permet au-delà la collaboration entre ses membres.
Réfléchir et conceptualiser des procédés d’intervention sociale ou pédagogique, oblige à composer avec la complexité. Le degré élevé de ce paramètre de complexité est augmenté par le fait que ces praxis s’inscrivent souvent dans l’urgence. Ce dernier point renforce le sentiment d’insécurité, et complique le positionnement face à la complexité.
Pour répondre à cette complexification de l’exercice professionnel, souvent déroutant par le fait que seul l’un ou l’autre membre d’une équipe a conscience de la complexification à laquelle les acteurs doivent faire face, il apparaît souhaitable d’employer des moyens permettant de contacter des équipes, tant dans le champ actuel de leurs préoccupations qu'’ au niveau de la perception groupale. C’est de cette manière que peut se mettre en place une démarche de travail imaginative, de procédures visant une perception adéquate de la Tâche C’est cette perception adéquate qui permet de réduire l’écart entre ce que nous faisons et ce à quoi nous tendons. C’est dans cette différence entre un idéal né de la pratique et une idéologie théorique que réside l’espace possible d’augmentation de la compétence professionnelle.
C’est ce que vise modestement le modèle d’accompagnement d’équipes que je tente, en unifiant sans les mélanger ni les confondre, la supervision et l’intervention.
Cette tentative voudrait les positionner en offrant en alternance, d’une part une intervention ponctuelle s’occupant de mettre en commun les éprouvés et les représentations autour d’un objectif et dans un but précis: concrètement travailler à la réalisation de... et d’autre part un espace langagier procédural permettant l’émergence, la maturation et le partage expérienciel, travailler à donner forme à....
Cette tentative correspond à la recherche et à la modélisation de moyens adaptés à un travail focalisé sur des pratiques professionnelles à substrats relationnels.
Le lien visible entre la supervision et l’intervention réside dans la mise en place d’espaces ritualisés d’expression. Libérateur en définitive de la parole parce que, la redéfinissant et l’inscrivant dans des formes exploitables par tous. Laissant à la porte toutes les inégalités sociales inhérentes à la condition de l’humain cette pratique vise à créer un espace d’égalité langagière interne. Il n’est plus ici question de vrai ou de faux, mais d’éprouvés et de réalités, ce qui compte dans cet espace c’est la forme, c’est elle qui donne une légitimité aux décisions que nous allons prendre. Dans la continuation de la pédagogie institutionnelle je propose des matrices de fonctionnement vides, réceptacles émotionnels en même temps que lieu d’élaboration et de reformulation partagés, porteuses du sens de l’action. (Philippe Merieu, Pemf, 2001)
Dans cette suite l’accompagnement des équipes entend l’intervention comme une sorte d’acmée dans le processus de supervision. Le crescendo processuel de la supervision, conduit à l’intervention qui cristallise dans une mise en actes productive, le matériel symbolique et relationnel en même temps qu’elle est laboratoire de fonctionnement. Puis la supervision devient le lieu de digestion et d’élaboration de cette production / expérimentation. En quelques sortes l’équipe expérimente que la norme n’est pas forcément l’adaptation à un modèle mais peut aussi être l’invention de nouvelles règles de fonctionnement. Formes différentes des échanges qui permettent d’autres formulations et donc d’autres prises en compte du fond .
Conclusion ou la dynamique du provisoire
Pour finir ce travail je voudrais relever que c’est la tension créée par le questionnement continuel autour des notions commande / demande qui m’a fourni l’énergie nécessaire à écrire ces lignes. Je ne sais si ce questionnent est perceptible dans mon texte mais je m’aperçois qu'’ il m’a fallu poser tout mon savoir faire sur le papier avant de pouvoir me faire premièrement, savoir un positionnement qui a lentement mûri au fil de la rédaction.
J’identifie cette interrogation comme s’effectuant en résonance avec les positions du monde socio-politique qui passe, au travailleur social que je suis, une commande impossible au vue des moyens alloués en s’abritant derrière des impératifs à la fois financiers et éthiques. C’est ce même monde qui refuse le plus souvent la transformation de la commande unilatérale en une demande ajustable.
Pour ma part, je ne me sens aucunement lié par une quelconque commande hors acceptation d’un mandat négocié.
Quel que soit la ou les personnes qui font appel à mes services, je ne suis jamais lié à elles que par une partie contractuelle. Si j’entre en matière c’est parce que la commande quelle que soit sa forme n’en reste pas moins une demande de service que j’accepte ou pas de fournir.
De fait, il fait partie de mon éthique de rendre attentif les commanditaires à ce que je considère comme étant du domaine du possible.
Dans ma réalité je serais donc tenté de dire que c’est bien la demande qui commande puisque c’est elle qui m’indiquera le champ et le niveau d’entrée du travail avec l’équipe.
De même dans l’accompagnement tel que je le conçois, c’est l’évolution de la demande qui commandera tant pour moi que pour les membres de l’équipe les méandres que nous aurons à suivre. C’est au travers des demandes que les membres de l’équipe s’ajustent et que parfois “ça” parle.
L’élaboration des demandes, en la demande qui commande force à adapter l’accompagnement. La frustration inhérente à ce travail d’élaboration / formulation institutionnelle, peut se comprendre comme la marque du renoncement à l’ investissement de l’ équipe en tant qu’objet de réalisation des désirs. C’est encore une fois cette référence au concept de désir de la mère et de métaphore du Nom du Père qui me permet de rendre compte théoriquement de ce fait.
L’acceptation de ce renoncement advient au fil de la clarification de la demande, et ne peut devenir opérant que si l’organisation du champ professionnel répond aux besoins et garantit un espace ou les désirs pourront passer par les défilés formalisés de la reconnaissance de la parole et de la demande.
Pour terminer j’exposerai ici la réponse proposée à la commande sociale qui, en écho avec la commande du politique, exige des résultats. Elle mérite à mes yeux d’être examinée ici parce qu’elle est souvent reformulée en des termes à peine voilés par les équipes à l’accompagnant. Pour évoquer cette partie du travail d’intervenant je retranscrit ici une réflexion faite à partir d’une fiction qui m’a servi il y a plusieurs mois à expliciter dans un travail préliminaire de présentation au près du CEFOC le coeur de ce travail .
Pierre enfant placé vole dans le voisinage. C’est un constat, la commande de l’extérieur est faite que Pierre arrête de voler .Cette commande est relayée, bien que de manière voilée, par l’équipe à l’accompagnant. La commande de l’équipe peut se traduire par dites -nous que faire pour pour que Pierre arrête de voler.
Cette commande est très influencée par la commande extérieure. Il va falloir métacommuniquer sur la commande pour la restituer dans une demande.
Version une, le superviseur cherche avec l’équipe que faire, en fait ils répondent à un commande. Il répond à une demande non travaillée. La société, l’équipe et le superviseur cherchent une solution événementielle.
Version deux, l’intervenant travaille la demande et donc la prise de distance par rapport à la tension: action / réaction.
Il insère un temps un espace de pensée, qui ne porte plus premièrement sur: ”comment faire pour qu’il arrête de voler mais sur les représentations de à quoi ou à qui je réponds en travaillant, si faire se peut, à ce que Pierre arrête de voler “ ?
La question n’est plus seulement comment remplir la commande mais l’adéquation de la commande; Pierre doit arrêter de voler et c’est votre travail de faire en sorte qu’il arrête, avec la réalité dont il est question.
La commande interrogée est restituée dans l’ordre du possible (Est- ce bien fondé, et pour qui malgré les apparences de chercher à ce que Pierre arrête de voler)?
Le fait de se permettre d’interroger la commande dans ses implications tant socio-politiques qu’irréalistes introduit la prise de distance des membres d’une équipe
Elle permet l’émergence du temps nécessaire pour sortir de l’urgence et restituer les responsabilités.
Cette césure dans la logique de l’immédiateté causale; il vole, comment le faire cesser, est un espace de réappropriation de la pensée, pensant les événements et les problématisant dans leur contexte de manière à leur trouver une résolution.
C’est le grain de sable qui permet de commencer à prendre en compte la part structurelle organisationnelle et institutionnelle dans la compréhension, la problématisation et la résolution de l’événement, Pierre vole. Même si nous sommes d’accord pour que Pierre arrête de voler le somme nous pour les mêmes raisons? Et partant, l’action sera-t-elle la même?
De ces raisons dépendent la finesse de la mise en problème, dont dépend elle même la solution à apporter à la question. Si comme on veut pafois le laisser entendre “gros bon sens” suffisait, on pourrait admettre la commande qui propose ; Pierre vole c’est inadmissible pour les gens et notre image, enfermons-le pour son bien et le notre.
Mais selon la finesse du questionnement, justement là ou ronflait l'évidence, on peux perçevoir un murmure ; Pierre vole c’est un événement qui fait sens dans l’histoire de Pierre, c’est aussi un fait qui mérite réponses dans sa perspective contextuelle et sociale.
Par quel bout prendre le problème, comment le définir, à quelles demandes répondons-nous, quelles questions devons-nous nous poser? Le fait que des personnes puissent poursuivre pour elles-mêmes, à huis clos pour ainsi dire, de telles réflexions sur le bien fondé de l’action n’a pas de commune mesure avec l’émergence de ce genre de préoccupation au sein d’une équipe de travail.
En fait l’équipe en pensant sont travail, se pense au travail, il s’agit d’une forme d’élaboration partagée.
C’est le problème posé qui devient problématique et pour ma part je pense qu’a partir de là, il est possible de sortir du piège technicien qui tend à rechercher justement la solution au problème.
La perspective de pouvoir penser et imaginer, en lieu et place de la solution au problème, des réponses à une situation complexe nous dégage du spectre du juste ou faux, de la réussite ou de l’échec pour nous inscrire dans la perspective de répondre au mieux aux besoins de tous et de chacun mais au désir d'aucuns.
La question nouvellement formulée est, “quelles réponses adéquates apporter à la situation de Pierre en général et par la même au comportement inadéquat qu’il manifeste en volant “?
Se défocalisé de la commande de rechercher la solution au problème revient bien souvent à renoncer à soigner le symptôme, sans négliger toute fois de confronter le dit sujet aux conséquences du symptôme.
Cette manière de pratiquer qui ouvre d’autres champs et d’autres niveaux de réflexions et d’actions dans les équipes, place ces dernières dans l’incertitude.
La brèche créée entraîne une revisitation de l’objet de réflexion avec en corollaire une inquiétude due à mon avis au fait que l’équipe ne peut plus momentanément jouer sont rôle de réceptacle émotionnel, puisque les assises internes et externes (faire disparaître le problème) légitimant son action sont remises en cause.
Il se produit une sorte de flottement qui s’estompera dans l’exacte mesure où l’équipe commencera un travail qui la légitimera à son propre regard .
Pour finir de commencer
C’est a ce moment par exemple que l’accompagnant sortant de son rôle de superviseur, à la fois acteur et témoin d’un processus, agit en tant qu’intervenant proposant une procédure permettant le travail de légitimation.
Cette phase, selon mon expérience, passe par le partage des représentations autour de la Tâche. La cohésion due soit a la défense contre l’extérieur soit à une sorte de suffisance, d’autosatisfaction, fait place à un travail axé sur les différences, les particularités, et la collaboration.
Ce travail sur les représentations partagées permet l’acceptation de positions autre que les siennes comme ayant elles aussi de la valeur.
Paradoxalement l’individuation des membres permet de passer d’une équipe de professionnels (comptage d’individus avec une cohérence rigide fonctionnant dans une équipe de travail) à une équipe professionnelle (addition avec une plus value de personnes individuées collaborant à la Tâche au sein d’une équipe au travail).
Plus les positions individuées sont reconnues, plus facilement les personnes vont s’intéresser aux procédures et à l’organisation comme si il devenait moins nécessaire de se faire entendre et reconnaître au travers de chacune de ces actions.
L’organisation au travers de procédures élaborées relaie en partie ce que les personnes portaient isolément auparavant .
Cette démarche ne peut pas être proposée n’importe quand, ni n’importe comment. La proposer est comparable pour moi à une interprétation faite dans un cadre analytique, il faut qu’elle vienne à son heure ne faisant que nommer ce qui est déjà pressenti ou su par la majorité des membres de l’équipe. A savoir qu’au fonctionnement du groupe, nourri d’ inconscients individuels, doit répondre l’organisation d’une équipe ayant comme objet extérieur sa Tâche.
Là où le ça règne, le moi doit advenir, la formule du grand Sigmund Freud, même si elle n’est pas nouvelle, n’en reste pas moins aussi douloureuse que maturative tant il est vrai qu'’ en matière d’ éducation la forme précède le fond.
Eric Stern ,Chevilly, juin, 2001
Annexes
Intervention institution 1.7. 00
Au commencement était l’action, ce qui met la tâche au centre.
Projet pédagogique, ou comment faire quoi, et dans quel but, pour bien faire?
1)
Salutation
Présentation
Pause variable, entre les modules ou en deux temps.
But de la journée :
Amorcer le travail en vue de l’élaboration d’un projet pédagogique. La condition est de jouer le jeu (Il s’agit bien de jeu). La participation est nécessaire, l’implication reste de la sphère personnelle. On n’a pas le temps de discuter toute les consignes. On va essayer de conserver le matériel.
Condition cadre:
Feuilles au mur pour noter tout ce qui passe par la tête (individuellement) Réflexions, questions, commentaires, idées... pour garder une trace!
Feuille pour se défouler si nécessaire.
Ancien projet pédagogique
Trace du travail de la dernière fois
2)
Pour commencer, individuellement, dire en quelques mots ses attentes et les écrire sur les feuilles. Pas ou peu de questions
On va choisir trois groupes A.B.C. A ensemble etc.... et travailler en trois équipes dorénavant il y a trois équipes de travail.
La tâche des équipes est d’élaborer un projet pédagogique pour l’institution.
Les équipes se trouvent un endroit de travail.
Les équipes s’arrangent pour qu’il y ait une trace écrite de tout, pour conserver le matériel.
3)
En équipe et en silence, représentez par tous les moyens à disposition travail sur les représentations
“ Qu’est-ce qu’on fait quand on est E.P.E?” “Au nom de quoi?”
Représentez ce que l’on fait si on est, ou si l’on imagine qu’on est une E.P.E.
cela peut être interactif dans le travail, mais silencieux.
Temps variable 45- 60 min
On explique ce que l’on a fait individuellement, ou en interaction en équipe
Plénière: on se déplace tous et une équipe après l’autre présente le travail aux autres qui questionnent. Là aussi chaque équipe note.
(il s’agit de l’exercice sur les représentations vécu dans le cadre de la formation)
Pause 10h45 11h15
4)
Plénière: trois personnes notent
Un projet pédagogique cela sert.... à qui? à quoi? quand? pour que? de?
En cercle, assis, on se lève on va vers quelqu’un en disant un projet pédagogique cela sert à....
En Équipe. Mise en commun de l’exercice, vérification des notes, rajouter si l’on se souvient.
Chercher les verbes qui devraient impérativement apparaître dans un projet pédagogique. Pour qui sont-ils là? exemple: jouer...enfants
Chercher les adjectifs qui vont qualifier ces verbes: manger... proprement
Chercher les noms qui vont avec ces verbes: apprendre... la politesse
12h.30
Pause de midi
13h.30
Plénière: mise en commun des verbes, pour qui sont-ils là?
Équipe:
Un observateur. Une personne présente la maison entre réalité et fiction, en essayant de tenir compte de ce qui vient d’être dit, à un parent, un prof un enfant, un membre du comité, une autre E.P.E., on roule en continuant.
L’observateur note
Au vue de tout cela, imaginer une phrase qui explique au mieux la finalité visée par la globalité de l’accompagnement. Illustrer sur un panneau.
Pause 15h 15h30
Présentation du panneau
Mise en Forme. Amorce d’une classification Exemple: MANGER: but à long, moyen, et court terme, avec qui, pourquoi, comment.
A quoi faut-il penser pour élaborer un projet pédagogique? Liste
A quoi doit répondre un projet pédagogique?
Réserve
Brain storming: une personne note
Les mots veulent-ils dire la même chose pour tout le monde. Jouer c’est .... définition!
Formuler ses pensées sous formes de questions auxquelles on puisse répondre?
Sculpture - Photolangage - dessin ?
“L’institution idéale” Travail à trois, concertation-représentation autour des verbes importants
quelles actions ouvrent? lesquelles ferment?
“++ / - -” L’éducation c’est...
Bibliographie
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Petite Bibliothèque Payot, Paris, 1999
Stern Eric, Création et développement d’une unité de prise en charge à court terme pour adolescents.
Travail présenté pour l’obtention du diplôme d’ éducateur spécialisé
E.E.S.F., Fribourg, 1986
Stern Eric, Résonances.
Travail présenté dans le cadre de la formation extraordinaire du CEFOC en vue de l’obtention d’une reconnaissance de superviseur en travail social
Chevilly, 1992
Thierry Simonelli, La Théorie Lacan
cerf, Paris, 2000
Travail éducatif en Institution
Formation d'éducateur spécialisé
Formation d'éducatrice de la petite enfance
Formation de moniteur socio professionnel
formation-professionnelle.html
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Pour les thérapies
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Chacun de ces thèmes peut se décliner à volonté ou faire l’objet d’une conférence pour adultes (dès 8 pers.) Pour tous renseignements :
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Pierre-Alain Luthi – éducateur spécialisé au mandat sur appel. (voir CV).
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