Les institutions accueillant des ados plaçés par la justice doivent - de part le fait qu'on "accumule" des jeunes en crise dans un même endroit - faire face à des problèmes qui n'aurait pas lieu si on ne les avaient pas mis ensemble (phénomènes de groupe de type Zone, où certains sont "tirés" contre le bas, violence, etc.). - Existe-t-il un modèle, éventuellement dans un autre pays, où les jeunes en situation pénal, sont placés dans des familles d'accueils, ou mini-structures (où l'on évite de mettre des mêmes types de problématiques ensemble)? - Comment sont soutenues ces familles/mini-structures? - Comment sont soutenues actuellement les familles d'accueil en Suisse (soutien financier, formation-supervision, "vacances" où le jeune placé est pris en charge extérieurement durant une semaine ou deux, etc...) - Quels seraient, à votre avis, les conditions idéals (si l'on pouvait changer la distribution des subventions socials)? - Existe-t-il des études sur ce sujet? - Existe-t-il un organisme de type "Association de famille d'accueil" en suisse?
suisse
-Oui ce type d'association existe sur le plan cantonal sur vaud Il est vrai que votrequestion a du sens pourtant les jeunes qui éprouvent de vraies difficultés sont difficilement gérable dans un milieu familial car ils engendrent un épuisement émotionel qu'il ne faut pas négliger. Comme le suivi de personne souffrant de toxicomanie, celà éxige à mes yeux un tournus de professionnel de qualité Quand je dis de qualité, je pense surtout à la qualité intérieur. Ce qui éxige un travail sur soi en profondeur. L'ame la plus en difficulté répond toujours à la présence de personne centrée et en santé tant psychologique que physique. Sur ce point je pense qu'une famille serait amenée très vite au bout de ses forces dans ses deux domaines
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