voila la lettre que je lui ai ecrit dans le cadre d'un programme d'aide aux aux adolescents en difficultés qu'il a poursuivis au canada l'an dernier et la situation s'est aggraver puisqu'il est en fugue depuis deux mois tous le monde le vois sauf moi........il a dit qu'il comptait rentré à la fin de l'été tous les emails que je lui envoie reste lettre morte .................................JE VEUX LAISSER TOMBER je vais me tuer en le suivant sur sa route ce qui est sur c est qu il me manque de respect d'une manière inhumaine que faire.............je cherche un pensionnat pour son retour .............je ne sais plus psy mediateur familiale educateur rien a ameliorer cette chute..... QUE FAIRE..... Le mot cher résonne presque comme du ridicule !!! Comment peut-on souffrir autant à cause de quelqu’un et dire que cette personne est chère ? Faut être un peu maso peut être ou bien ne pas réaliser que celui qui me fait tant de souffrances n’est pas mon fils mais un étranger …… J’espère que tu vas bien, que ce que tu as la chance de vivre ne passe pas à côté de ton attention. Voilà l’heure est venue pour que je vide mon sac à ton sujet…. La liste est si lourde que par où commencer…. Si ce n’est que depuis quelque temps tu mets des grandes distances entre toi et moi, je dirai même entre ton frère et toi aussi, comme si tu détruisais tous les liens possibles d’amour et d’échange que l’on peut ou pourrait avoir… Je ne reconnais plus ni mon fils, Depuis plus d’un an tu sembles détruire tout ce que tu as toujours construit, à commencer par la musique, tu ne jurais que par ça lorsqu’on faisait le point sur tes activités extra scolaire tu disais de la musique tu en ferais toute ta vie, tu disais » il faut que tu comprennes que j’en ferai jusqu’à ce que je sois musicien », alors je t’ai suivi dans tes choix et puis quand on est arrivé à Perpignan tu as voulu faire de la guitare en plus du hautbois, alors je suis allé rencontrer les professeurs qui bien qu’il n’avait pas de place, ils ont décidé de te donner une chance…. En fait la musique t’était bien égale c’était un moyen de pression comme un autre… Tu sais que chaque fois que tu étais face à un choix, j’ai d’abord mesuré ton choix avec toi, en vérifiant ta motivation( je ne demande qu’à te croire..) et j’ai toujours été à tes côtés…..Et les enseignants disent que tu n’es pas motivé, brouillon et tu ne travailles pas, alors je m’énerve parce que tu m’envoie dans une voie et j’oriente mon énergie dans ce sens afin de te soutenir et… pour rien si ce n’est être humilier par ceux qui partagent ces moments avec toi qui pense que tu es doué mais pas motivé …et tout ce que cela implique….. Alors quand je parle avec toi tout est « OUI », mais rien est « oui », quand tu étais au collège il fallait que l’on se rencontre une fois par semaine avec ta prof principale pour être sûr que tu ne dérapes pas parce que dans notre relation quelque chose de nouveau est apparu à ce moment ;c’est le mensonge que tu as appris à manier avec une telle aisance . Tu m’as menti au fur et à mesure sur des sujets de plus en plus grave……et de mieux en mieux. Petit à petit tu m’as écarté de ta vie, en étant plus Ismahel mais un adolescent extrêmement superficiel…. Quand tu es entré au lycée, j’ai discuté avec toi sur le cadre pour que tu puisses profiter de ton adolescence et t’instruire dans de bonnes conditions. Tu as arrêté le latin, tu étais renvoyé du conservatoire de musique qui ne doutait pas de tes capacités mais en avait marre de ton comportement ; après en avoir parlementé avec toi. J’ai négocié pour que tu ne sois pas pénalisé sur un comportement « révolu », tu es passé de la guitare classique, au cours de Mariebelle, ce que tu souhaitais mais à quoi bon….le méchant prof de haut bois était parti le nouveau te plaisait mieux, mais à quoi bon. Je suis allé encor une fois de plus, plaider ta cause, sans parler du coût financier, tu as tout gâché et même tu peux être sûr qu’ils ne voudront plus de toi maintenant…. Je t’ai inscris à l’internat à ta demande : comme il n’y a pas d’homme à la maison, tu disais que tu avais le sentiment que ta place n’était plus à la maison. J’ai pensé que vivre avec tes pairs, t’aiderait à grandir. 15 jours ont suffit pour que tu te fasses remarquer et sanctionner ce qui t’a ramener à la maison tu avais la chance d’être interne à côté de la maison….et tu as tout gâché à nouveau….Retour à la maison et le travail scolaire ne suis pas …. Pas parce que tu ne comprends pas , parce que tu continues à t’acharner à tout rendre moche. Alors tu ments, je m’énerve…et ça dérapes. Je ne supporte pas le mensonge ni de toi ni personne…. Mais comme ça ne te suffit pas et dans l’horreur il n’y a pas de limite….Alors tu commences à sécher les cours. Pendant que je suis à l’université à Montpellier, tu en profites pour monnayer tout ce que tu peux à la maison pour aller jouer dans les cyber café. Comme rien ne t’arrête, tu m’envoies des textos en même temps pour que je t’appelle, que je te manque ETC… L’accord d’un budget pour aller jouer au cyber café conditionné à ton comportement et à tes résultats scolaires, était trop te demander. Tout t’est dû !!! Tu ne te dis même pas, qu’il faut que tu t’accroches et que tu te motives, que je ne reste pas les bras croisés à attendre que ça passe. Parce qu’aller à 200 kms à l’université et élever seule deux enfants c’est très dur….Surtout avec un enfant comme toi, chaque fois que j’ai quelque chose à faire ou tu as besoin de moi ou tu fais des » bêtises »… J’ai chaque fois le sentiment que tu m’envoies dans le murs….On aurait dit que le fait que j’étudiais te gênais. Oui je cherche du travail, tu le sais bien, oui ça n’est pas facile, il ne suffit pas de vouloir pour que les choses arrivent. Tu me le reproches tellement, pourquoi on n’a pas la dernière livebox ? Pourquoi on n’a pas de maison bourgeoise à nous ? Tu oublies que chaque jour que je vis, je fais de mon mieux mais je ne maîtrise pas tout….Quand je me suis retrouvé devant un juge par tes actes, j’ai été choqué . Ismahel, l’enfant que j’avais tant aimé, m’emportait devant une cours de justice…Pour justifier de mon éducation entraînant son frère dans la même occasion. Tu dis que tu n’as pas engendré cette situation alors elle aurait du cesser depuis longtemps. J’étais choqué, humilié de vivre une telle chose et j’ai décidé d’essayer de comprendre pourquoi tu m’emportais là. Le pire c’est que rien, il n’y avait rien à comprendre.. Quand tu as commencé à fuguer, c’était un nouveau choc pour moi sur tout en période noël..tu as choisi de vivre ces moments de fête de famille avec des Sans domicile, des exclus et même là j’ai essayé de comprendre. Et rien…il n’y avait rien à comprendre. Devant cette situation j’ai pris la décision avec le proviseur de ton lycée de t’éloigner de Perpignan et t’envoyer dans un internat à la montagne, prés d’une petite ville. Le nouveau proviseur t’a donne l’opportunité de changer d’orientation, ce que tu as fait, ce qui te faisait gagner du temps et pouvait te permettre de t’investir….ça te plaisait !tu disais… Mais rien, encor là rien a changé de ce comportement inacceptable si ce n’est des coups de téléphone du lycée chaque semaine sur ton attitude et comportement et toi tu continues inlassablement de mentir. Tu te ments même à toi, quand je me suis aperçu de ton peu de motivation en début d’année, je t’ai proposé de prendre une année sabbatique. Tu as refusé prétextant que tu ne voulais pas avant d’avoir passé ton bac. Au final, tu as perdu une année, parce qu’elle n’a pas servi à ce que tu grandisses … et elle n’était pas sabbatique, elle était rien. Et puis il y a eut ce voyage à Chalons ou tu m’as volé ma carte de crédit pendant que je donnais le bain à ton frère. La veille tu avais passé à la patinoire soirée mousse avec Clément, après midi cinéma, et cyber café et je m’apprêtais à t’acheter un maillot de bain quand je me suis aperçu de sa disparition et là aussi tu ne t’es pas démonté tu m’as dis qu’elle devais être tombé dans la voiture….et il a fallu plusieurs questions de ma part et plus de 8heures pour que tu m’avoues avoir vidé mon compte ce qui faisait, qu’on ne pouvait plus rentrer à la maison. Il a fallu demander à mamie de l’aide, elle s’est énervé et nous a viré comme des chiens… Marilyne qui avait bien voulu nous accueillir dans sa maison, tu as brûlé leur canapé. Tout tes actes me choquent jusqu’au plus profond de mon être et chaque fois je cherche une nouvelle alternative pour ne pas rester devant le mur, l’impasse ….. Les mois qui ont suivi ce noël horrible j’ai dormi avec mon sac à main pour que ça n’arrive plus…Il faut le dire je n’ai plus dormi…Tu n’es plus Ismahel et ce garçon que tu es devenu est trop loin de moi. Je ne peux plus vivre dans un état de choc permanent et de déception. Ton frère parlons-en ; lui s’est d’abord réjouis de ton départ, parce qu’il allait avoir sa mère pour lui tout seul, Zacharie fait un arrêt de croissance physiologique peut être dû à tout ce qu’il vit. Combien de fois l’as tu cherché et puis rabaissé en le virant comme un moins que rien, et il ne se laisse pas faire et la bagarre commence et comme il a 12 ans de moins que toi.La lutte est joué d’avance et je ne peux pas rester les bras croisés, comme cette fois ou je t’ai vu sur lui près à lui mettre ton poing dans la figure. Zacharie n’a pas le droit à l’insouciance il y a toi qui y veille ; le monde tourne autour de tes pieds…Voilà neuf mois que tu ne partages plus son quotidien, et même là 48 heures(à ton retour de Bretagne) on suffit pour que tantôt tu le câline tantôt tu le vires comme un malpropre…Sans parler de tes interférences ; Tu es toujours en train de lui dire ce qu’il doit faire » assied toi » « tais toi » » mange » « touche pas à ci » » fait pas ça »….c’est pénible et en face de moi et je te répète inlassablement les même choses occupe toi de ton assiette, tu n’es pas son père, je suis là. C’est usant, fatigant sans parler du fait que je n’ai plus de plaisir à partager mon quotidien avec toi. Tu es allé trop loin, toutes ses activités que je mets en place pour qu’on se retrouve un peu sont autant de bagarres à te convaincre de les partager ; les ballades à vélo, les randonnées, le badmington, la piscine, aller à la plage, aller pique niquer ; tout ce que l’on faisaient n’a pas été remplacé et est jeté en bloc je continue à m’acharné à mettre en place pour rien et quand j’arrive à enfin te convaincre c’est moi qui ne le suis plus tellement tu m’as usé. Comme ce bateau gonflable que j’ai acheté en juin parce qu’il avait l’air de te motiver et puis ce bateau est allé une fois sur l’eau… On dirait que tu as oublié où tu habites ; la montagne, les rivières, la mer sont à cotés de nous et tu habiterais encor à Chalons que ça ne ferait pas de différence. Désolé fils je ne peux rien pour toi si tu ne vois pas clair je ne peux pas te rendre la vue. Je ne suis pas Dieu… Quand en septembre dernier, tu as déchiré toutes les photos que tu avais de moi et toutes les cartes qui tu gardais précieusement de moi depuis ta plus tendre enfance. Après avoir volé au camp surf, où je me suis donné tant de mal pour que tu puisses avoir de belles vacances. Je t’ai demandé combien tu voulais d’argent de poche, et je t’ai donné les 50 euros que tu m’avais demandé cela ne suffisait plus. Une fois sur place tu as volé tes copains de vacances, dans les magasins des vêtements que j’ai du payer à ton retour pour t’éviter des problèmes plus importants. Tu as parlé à ce moment là de restauration et d’efforts que tu allais faire sur ton comportement ; j’attends toujours. La fille de ta classe que tu as volé pendant le cours en te baissant en cours. Il faut le faire !!! à une copine, se baisser pendant le cours et fouiller son sac, prendre son argent, je t’avoue, je suis pétrifié, choqué et humilié. Je ne te connais pas et ne veux pas connaître ce Ismahel. Tes fréquentations, tes préférences vont toujours vers ceux que tu peux dominer et qui déchire leur vie. Et quand la situation est arrivée à son paroxysme, j’ai encor trouvé le moyen de te donner la possibilité de prendre du recul. Je t’ai envoyé chez la seule personne de mon entourage qui voulait bien nous tendre la main. Malgré mes recommandations tu en as fait ce que tu as voulu alors là, tout allait pour le mieux. Tu as réussi à ce qu’elle t’achète un skateboard à mon insu, parce que je ne voulais pas en entendre parlé tant que toi ne faisait pas d’effort. J’avais déjà cédé au bout d’un an sur les roller de rampe qui semblaient te motiver. Ta motivation est retombée à une vitesse qui m’a laissé perplexe. Tu cherche plus des moyens matériels pour t’identifier au gamins qui te plaisent et ça change vite ; au collège c’était Romain, au lycée c’était les « Young punk » tu avais même écris sur le skate que j’avais pris que tu étais leur fan.. Tu l’as cassé en très peu de temps, et là je t’ai demandé de le mériter. Je t’ai dis que je n’étais pas ta banque mais je ne suis rien d’autre à tes yeux ; ton avocate et ta banque !! En ville très tard tout les soirs, aller boire des verres en ville, fumer à volonté et manipuler Christiane qui à même acheter des cigarettes à son insu. Les concerts, la cigarette toute la liberté que tu voulais une femme célibataire à ton service et qui à plus de moyen que moi, qui à la livebox, enfin !!! et plus d’argent que ta mère, don tu disposes même à son insu. C’était une amie de longue date et tu as réussi à me fâcher avec elle. Malgré mes recommandations au départ, tu as tout gâché sans saisir cette possibilité de recul que je mettais en place, tu as dû tout oublié en partant…Comme souvent. Et cette chance que tu vis aujourd’hui, même celui qui ne connaît pas la couleur de l’herbe sait que tu vis une chance, il t’appartient de la prendre ou de la laisser… Zacharie est malheureux que sa famille soit aussi déchirée, il voudrait que tu rentres tout ça ne l’amuse pas il déprime rien ne semble l’égayer depuis ton passage éclair et épuisant de mi-août. Il n’a pas compris que tu sois passé si vite à la maison et qu’on se prenait la tête… Comme ce voyage que j’ai souhaité faire avec toi parce qu’il me paraissait très important, et qu’il m’avait semblé que ma présence était importante. Tu étais odieux, tu m’as demandé de prendre des bandes dessinées de la maison pour le voyage, je t’ai dit non parce que je ne voulais pas me charger, j’ai accepté que tu prennes ton skate, et mon walkman pour te rendre le voyage moins long ce qui impliquait que je les porte au retour, je t’ai dis, ne prend pas de livre je t’en achèterai sur un sur le chemin. Tu as sorti les livres que tu avais emporté de la maison, le soir à l’hôtel entre temps je t’avais acheté un livre, croyant que tu m’avais écouté. Je t’ai vu deux jours en deux mois et demi, tu as passé la soirée au téléphone et à me harceler pour aller faire du skate à 23 H en bas de l’hôtel. Le lendemain quand je t’ai amené et ai réglé les dernières formalités à l’aéroport je portais mon sac chargé de tes affaires pendant que tu faisais du skate avec ma jambe blessée. La veille à la réception, quand le tableau est tombé sur ma jambe et que je suis parti m’asseoir tellement j’avais mal, tu m’as totalement ignoré pour joué un rôle étrange, tu es resté accoudé au comptoir de la réception. Il a fallu que je t’appelle plusieurs fois pour que tu viennes et garde ta place. Quand je t’ai dis que j’avais très mal, tu m’as regardé d’un air de dire ; ça va, mais j’avais très mal et je ne me souviens pas être quelqu’un qui se plaint, je me tais la plupart du temps quand j’ai mal. Face à cette situation de distance, j’ai souhaité déjeuner seule le lendemain je n’arrivais pas à arrêter mes larmes et mon cœur si serré dans ma poitrine. Qu’est ce que je faisais là avec toi ? Tu n’en vaux pas la peine…Ce Ismahel n’en vaut pas la peine. Ton hamster, parlons-en, sans citer tout les malheurs qu’il a depuis qu’il est ta propriété ; il est devenu handicapé et vit dans la merde depuis deux mois et si je n’étais pas là il serait mort de soif et de faim, et peut être de solitude. A ton retour éclair au lieu de t’en occuper quand je t’ai fais la remarque, tu as fait crier ton frère et jouer à la console jeu. Pendant que tu usais de mes amies, je travaillais en Angleterre avec ton frère et un groupe d’adolescents, ce qui m’a fait prendre conscience qu’ils ne sont pas tous comme toi. En mai dernier Zacharie a été traumatisé par ce qu’il a vécu chez Corinne parce que son frère est trop préoccupé par son ego. Tu peux garder les enfants des autres en étant dédommager mais pas ton frère… Il a mis trois mois pour me dire qu’elle l’avait frappé pendant son séjour chez elle… Combien de fois tu as sali mon travail en t’accrochant avec mes collègues et ou en faisant des bêtises ! Ou en réduisant ma tête en bouilli… Ou en te laissant dépérir quand je travaille (comme quand j’étais à cosmos) Lors de la mission de formation sur les cadres réglementaire de l’animation, on a abordé le signalement de justice ; j’en ai pleuré toutes les larmes de mon corps, je ne pouvais pas me taire et j’ai compromis mon travail. Je n’avais aucune prise sur ce qui m’arrivait j’ai eu la sensation que le sol s’est dérobé sous mes pieds. Trouvé du travail me demande beaucoup d’énergie par rapports à ce que j’obtiens, et cela te semble bien égal. Ton anniversaire ton souhait le plus cher c’était de jouer à la console toute la journée et que Zacharie et moi on disparaisse ; ce que j’ai fait, et même quand on est rentré en fin de journée c’était trop tôt. Zacharie, parlons-en…. »tu sais pas ce que c’est que grandir seul maman, papa tu l’as toujours aimé et moi je crève d’avoir une petite sœur ! »Pourquoi ? il est malheureux la plupart du temps, il faut avouer qu’il fait pas bon vivre dans cette maison et tu t’en assures. T’écrire, je ne peux plus, te prendre en photo je ne peux plus …Te parler c’est revenir au mensonge, t’aimer c’est ; qu’est ce que tu vas m’acheter(HT tu connais bien ces deux syllabes), ou bien je veux ceci, je veux cela sans te préoccuper du coût pourvu qu’à la longue tu arrives à tes fins… La famille je me suis entêtée à garder un semblant de relation avec, pour vous mais à quoi bon tu n’en fais pas cas… Les amis ; Petit à petit ils s’éloignent tous soit par peur, soit pour se préserver de cette tempête qu’est notre relation. Si c’était que notre relation je serai moins inquiète et peut être moins triste, tout tu saccages tout ; tu m’exclus encor plus que le chômage peut le faire, tu détruis chaque moment d’innocence et d’enfance que Zacharie peut prendre sur son passage, et tu détruis ta vie. Tu sais, je te le dis depuis toujours, quand tu vas bien, je vais bien. Je peux me consacrer à nous, à demain…Que c’est une chance quand cela va bien c’est réconfortant. Quand on a abordé la question du métissage, à ton initiative, j’ai compris sur le fait que tu trouvais que le métissage n’était pas une bonne chose ; qu’il égare plutôt qu’il rassure parce qu’on ne sait pas d’où on vient ! C’est intéressant. Mais tu sais que je réfléchis à ce que tu me dis, et comment peux tu te sentir métisse ?…La seule personne que tu ais en référence depuis toujours c’est moi. Je ne suis pas noir, mais je suis différente de la majorité de la population. Tu n’es pas plus métisse que moi sauf que toi tu rejètes tes origines. Comme beaucoup de harkis d’ailleurs, je pense que ce n’est pas une bonne chose que tout ce qui enferme dans un cliché n’est pas une bonne chose. Est ce une nouvelle manière de me rejeter ?? Tu n’as de métisse que la »culture » pour ce que j’en connnais. Ton métissage vient plus de ma couleur que de moi ; puisque comme toi je suis née en France, comme toi j’ai baigné dans la culture européenne, mais je n’ai pas tout rejeté. Mon aspect typé ressemble au tien, tu es allé au Magreb, tu as vu… Mais ce n’est pas conforme et ça ne nourrit pas tes objectifs instantanés, c’est comme la villa bourgeoise, la livebox….et tout le reste. La cigarette, parlons en, je ne veux pas que tu fumes ça c’est certain et tu ne me feras pas l’accepter contre ma volonté ; c’est pas bon pour toi. Tu dis que ce que tu aimes dans la cigarette c’est les vertiges que ça te procure surtout le matin, je t’ai expliqué, un médecin t’a expliqué, que la cigarette aussi jeune passait encor plus profondément dans la mémoire cellulaire surtout à la croissance, et je t’ai dis que si tu faisais le choix de fumer quand tu auras fini ta croissance quand tu seras plus mature alors c’est toi que ça regardera à ce moment là et que je ne m’y opposerai pas. Mais tu n’en fais qu’à ta tête, aussi superficiel que tout ce que tu fais. Je ne sers à rien dans ta vie, à me faire du mal. Tes choix sont destructeurs. Comme ta place à la maison, et la cigarette que tu fumais sur le balcon avec « ta musique » à fond en juin dernier lorsque exaspéré par ton attitude je suis sorti prendre l’air, et Zacharie au milieu de tout ça perdu…. Et ta participation aux corvées de la maison : Inexistante, jusqu’à ta chambre c’est toujours la guerre pour qu’elle soit un peu en ordre, alors je fais, je me mets en colère et je fais…à l’usure. Je viens de rentrée et sur le chemin j’ai rencontré un gars qui m’a dit que tu lui avais demandé du haschich, quoi pensé dit il la vérité que ce passe t il dans ta tête ???????? Tout ça te regarde, mais tu sais chaque porte que tu fermes c’est toi que tu enfermes ton frère aussi, et moi aussi alors je ne vais plus pouvoir te suivre… Je suis impuissante ;je n’arrive plus à te guider et je peux pas être spectateur de cette destruction en règle. La juge a décidé ton placement à ton retour ; il est dit dans le rapport que nos rapports sont destructeurs et qu’il faut que l’on soit séparé pour un long délai ; Mon problème est que la vie c’est ni avec ni sans toi…DIFFICILE FILS !!! Ta maman …si ce mot à un autre sens que ce que je vis avec toi depuis trop longtemps…
languedoc rousillon
-Bon l'important dans un premier temps est de pouvoir revenir sur vous et de retrouver un minimum de sérénité. En effet quand un ados nous pousse a bout il est aussi en difficulté que nous et le seul moyen de reprendre le dessus est de calmer le jeu pour soi dans son propre coeur. C'est le coeur qui indique la voie et seul un rythme retrouve permet de se remettre en route valablement. Si vous desirez un suivi coaching dans ce domaine par telephone je reste a votre disposition merci Pierre-Alain Luthi
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