Les recherches modernes en cardiologie et neurologie démontrent aujourd’hui avec précision que le cœur est en relation permanente avec notre cerveau limbique, le cerveau de nos émotions.
Cette relation permanente, nous en avons tous plus ou moins conscience. En période de doute, de tension, de difficultés, nous ressentons tous l’impact sur notre corps et notre niveau d'énergie de l’accumulation du stress et de l’anxiété.
Pendant de longues années la science médicale a négligé ce type d’incidents, la somatisation de facteurs psychologiques existe pourtant depuis toujours. C’est seulement depuis une vingtaine d’années que plusieurs équipes de cardiologues, de neurologues et de psychiatres se penchent sur ces interactions. Et il est prouvé aujourd’hui que quand notre cerveau émotionnel se dérègle, le cœur souffre et finit par s’épuiser. Nous ressentons donc les émotions par le corps, ce que inconsciemment nous savions tous déjà, car on a tous eu un jour « la peur au ventre », « le cœur léger », et on s’est tous « fait de la bile » même si ça allait mieux après avoir « respiré un grand coup ».
Mais la découverte la plus surprenante est que cette relation est à double sens : à chaque instant l’équilibre de notre corps influence notre cerveau. Et plus particulièrement l’équilibre de notre cœur.
En apprenant – littéralement – à contrôler notre cœur, nous apprenons à apprivoiser notre cerveau émotionnel : en effet la relation la plus forte entre le cœur et le cerveau limbique est celle établie par ce que l’on appelle le « système nerveux périphérique autonome », c’est à dire la partie du système nerveux qui régule le fonctionnement de tous nos organes, lequel échappe à la fois à notre volonté et à notre conscience.
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