Invité
Bonjour, Je suis actuellement en période scolaire et je m'apprête à entrer en Terminale STG mercatique. Cette année j'ai beaucoup travaillée et j'ai obtenu des résultats satisfaisants. C'est pourquoi je suis trés motivée pour atteindre les objectifs que je me suis fixée et que j'aimerais avoir de plus amples renseignement sur ceux-ci. Tout d'abord, j'aimerais obtenir mon BAC STG. La question qui se pose, c'est aprés le BAC... Tout est flou dans mon esprit. 2 ou 3 métiers m'intéressent mais je ne sais pas vraiment quels sont les différentes méthodes pour les exercer dans l'avenir et si avec l'obtention du BAC STG je pourrais faire une poursuite d'études ou autres... Le métier de diététicienne m'interressent : Y'a t'il des écoles proches ? Puis-je éventuellement me lancer dans des études ou autres si j'obtiens mon BAC STG ? J'aimerais aussi avoir des renseignements sur le métier de professeur des écoles. * J'aime beaucoup les langues (anglais plus particulièrement), les enfants, la sociabilité, me rendre utile en aidant les personnes en difficultés... Ces caractéristiques me semblent compatibles. J'attends votre réponse avec impatience ! Merci d'avance. Julie
Eric Stern Bonjour Si je me mets à la place de l’éduc. ce que vous me demandez je ne peux évidement parler que d’une position subjective. J’éclaircirais le champ des responsabilités. Son centre de formation ne doit-il pas signaler ? Ce centre ne touche-t-il pas un subventionnement pour un contrat non respecté, le jeune étant absent ? Ne faut-il pas chercher à faire ce rencontrer le jeune et les responsables du centre de formation même si c’est pour que le jeune dise qu’il ne veut plus venir ? En fait tôt ou tard cette situation sera connue le jeune le sait-il ? L’éducateur ne peut-il lui proposer de l’accompagner quelles que soit les conséquences que devra assumer ou subir le jeune ? Il est ici question pour moi tel que je conçois votre affaire d’accompagner un processus de maturation « mes actes ont des conséquences ». En principe l’éducateur cherche à apporter une réponse adéquate à des comportements qui ne le sont pas. Pour ce faire s’il a à faire avec le comportement inadéquat il n’a pas à s’en faire le complice. Bien sûr il peut couvrir « un temps » le jeune pour permettre la maturation et prendre un risque mais qu’il fixe ce temps et qu’il cherche moins à convaincre le jeune de reprendre le travail que d’aller expliquer la position et de le soutenir dans cette démarche. Pour le reste évidement que je ne peux juger de la dangerosité de la situation et il appartient à l’éducateur seul mais de préférence en réseau de choisir et d’assumer une position qui éthiquement prend premièrement en compte l’intérêt supérieur de l’adolescent. Le particulier sait-il qu’il fait travailler un jeune au noir ? Le jeune est-il exploité ? Pourquoi préfère-t-il cela, est-ce purement financier ou trouve-t-il des relations qui lui conviennent. Ces questions aussi me semblent importantes à creuser. Je ne sais pas si mes réflexions vous aideront à nourrir votre réflexion mais je l’espère. Avec mes salutations Eric Stern posté le 20.11.2006 |