Une personne évoluant dans un domaine où les caractères physiques ou éthniques de celle-ci ne sont pas la norme, a subit le mobbing pendant toute sa carrière et le subit encore après avoir perdu son travail (procès pénal et civil intenté par elle contre son employeur et collègues, sur la bases des atteintes graves qu'elle a subies. Doit-on considérer, lorsque le viol de la loi à son encontre a permi et permet encore de la marginaliser professionnellement et socialement, que les problèmes proviennent essentiellement d'elle ? Est-il normal, que l'employeur et la caisse de pension engage la procédure de prise en charge par l'AI de l'employé en arrêt maladie (dépression), comme malade définitif à 100% ? Est-ce une pathologie psychiatrique de se défendre contre ses agresseurs ? Est-ce être plus intélligent ou un gage de stabilité mentale, de revivre coups sur coups les mêmes agressions et de ne pas se défendre contre elles et leurs conséquences ? Si un employeur cherche à neutraliser un employé licencié illégitimement, en lui construisant un profil psychiatrique bien après son élimination (phase du procès), que peut-on penser du profil psychologique des employeurs et des collègues de la victimes en regard à leurs recours répétés et gravissimes à des comportement relevant du code civile et pénal entre autres, sans parler de la morale et la déonthologie professionnelle ? Lorsque le terme mobbing ou harcellement moral est utilisé pour qualifier les atteintes subies par une personnes de race caucasienne et ou de sexe féminin, l'est-il toujours, lorsque la victime est un homme de race négroïde ? L'ignorance par les juges, de faits ou d'indices patents présentés par l'avocat de la victime aux tribunaux contre ses agresseurs, peut-il, dans le cas d'un litige avec une administration, être considéré comme le prolongement du harcelement par le tribunal et le soutient de celui-ci à une administration en difficulté ? Le recours au viol grave de la loi est-il une justification et une légitimité pour éliminer un employé ? Le harcelement moral sur la base de la différence éthnique n'existe-t-il pas en suisse ? ( est-ce un problème que l'on ne rencontre jamais ?) Si un employé d'une ethnie différente, affiche des capacités supérieures par rapport à ses collègues autochtones, cela peut-il expliquer le recours par ses collègues à des méthodes illégales pour l'éliminer ? L'engagement par un employeur d'une personne éthniquement différente, est-il un gage de son ouverture réelle sur le monde ? Merci pour votre patience et à bientôt.
Suisse
-Oui vous pouvez venir échanger sur le forum coaching afin de partager vos difficultés et d'ouvrir le débat, difficile de répondre face a ce flot de question merci pour votre intervention et ouvert a un échange en ligne
Forum education coaching formation emploi
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goore Je veux un exemple d'exposé portant sur ce sujets: La LÉGITIMITÉ DE LA JUSTICE |
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