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L'EMDR gagne en popularité
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Lausanne
Maria Fraune-Chaumont
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23 décembre 2005 - L'EMDR est de plus en plus utilisée en psychothérapie, les thérapeutes y trouvant de nouvelles applications. Cette technique appelée Eye Movement Desensitization and Reprocessing1, mieux connue sous son sigle EMDR, ne serait plus limitée au traitement du syndrome de stress post-traumatique.
C'est du moins ce qu'a affirmé Dr David Servan-Schreiber2, lors d'un récent passage à Montréal. « On s'en sert pour plusieurs autres problèmes. C'est parce qu'on est en train de découvrir que la plupart des troubles psychiatriques ont leur origine dans l'expérience de la vie, a-t-il précisé. Les gens ne deviennent pas phobiques par hasard! Or, ce que l'EMDR soigne, ce sont justement les conséquences négatives de l'expérience humaine. »
Le célèbre psychiatre a beaucoup contribué à la popularité de l'EMDR. Il en a vanté les vertus dans son méga-succès de librairie, Guérir3. Et il continue de le faire. Tout récemment, Dr Servan-Schreiber a donné une session d'information sur l'EMDR à l'intention d'une vingtaine de psychiatres québécois à l'initiative du Centre hospitalier de l'Université de Montréal (CHUM).
Le monde médical s'y met aussi
Selon Dr François Lespérance, professeur agrégé à la faculté de médecine de l'Université de Montréal, ses collègues psychiatres se montrent curieux face à cette technique. « Un seul psychiatre du CHUM pratique l'EMDR pour le moment, mais il est question que d'autres soient formés bientôt afin que nous puissions apprendre cette technique à nos résidents », indique-t-il.
L'EMDR est surtout pratiquée, en cabinet privé, par des travailleurs sociaux, des psychologues et des psychothérapeutes certifiés. Mais le milieu de la santé s'y intéresse de plus en plus. « Pour la première fois, confie David Servan-Schreiber, on m'a d'ailleurs demandé de l'enseigner à l'Université de Pittsburgh, qui loge pourtant l'un des départements de psychiatrie les plus conservateurs des États-Unis. C'est bon signe. »
Les professionnels de la santé doivent, il est vrai, répondre à la demande. « Depuis quelques années, ajoute Dr Lespérance, les gens que nous recevons en consultation sont de mieux en mieux informés, surtout ceux qui viennent pour des troubles anxieux ou dépressifs. Ils connaissent les différentes approches thérapeutiques, leurs avantages et leurs limites. Un phénomène auquel le livre de Servan-Schreiber a d'ailleurs contribué. Évidemment, ça nous pousse à nous mettre à jour. »
Même son de cloche du côté de la psychologue Judith Black. Cette spécialiste du syndrome de stress post-traumatique organise depuis dix ans des formations au Québec avec la collaboration du EMDR Institute américain, la « maison-mère » de cette pratique. « Pendant les sept premières années, souligne-t-elle, une centaine de cliniciens en tout ont suivi la formation. Depuis trois ans, c'est près de 300. » En France, l'Institut français d'EMDR, cofondé par David Servan-Schreiber, affiche un succès comparable : quelque 500 professionnels ont été formés au cours des quatre dernières années.
EMDR : L’Intégration Neuro-Émotionnelle par les
Mouvements Oculaires
Simulation de l’aube
Luminothérapie
Acupuncture
Acide gras Oméga-3
Communication émotionnelle et gestion de conflit
Gestion des conflits en entreprise
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L'eye movement desensitization and reprocessing (EMDR), ou Mouvement des yeux, désensibilisation et retraitement (de l’information) est une psychothérapie mise au point par Francine Shapiro dans les années 1980. Cette thérapie cognitivo-comportementale semble monter son efficacité dans le traitement du syndrome de stress post-traumatique mais la rigueur scientifique de ces conclusions a été l'objet de critiques alimentées par des soupçons sur la stratégie commerciale qui accompagne sa diffusion. L'EMDR reste donc une théorie controversé, notamment en raison de l'absence d'explication physiologique pour son mécanisme d'action.
Sommaire[masquer] |
Description de la thérapie
La thérapie EMDR est basée sur le rappel d'expériences traumatisantes et l'evolution de ces souvenirs vers des idées bénéfiques. Cette procédure faciliterait le « retraitement » de l'événement traumatisant par un processus neurologique d'association entre groupes de neurones.
Francine Shapiro et la découverte de l'EMDR
La thérapie EMDR a été mise au point à la fin des années 1980 par une américaine, Francine Shapiro. Étudiante en littérature, elle est atteinte d'un cancer qui bouleverse sa vie et la pousse à s'intéresser à la psychologie clinique. Elle raconte avoir découvert l'effet bénéfique des mouvements oculaires durant une promenade dans un bois en 1987, alors qu'elle cherchait un sujet de doctorat en psychologie. Deux ans après, elle publiait la première description de l'EMDR. Depuis elle a consacré sa carrière à la promotion et à la diffusion de cette thérapie, qui rencontra un succès fulgurant aux États-Unis. Francine Shapiro est membre du Mental Research Institute de Palo Alto. Elle a obtenu en 1994, le Distinguished Scientific Achievement in Psychology Award de l'Association Californienne de Psychologie et en juin 2002, le prix Sigmund-Freud décerné à la fois par l'Association Mondiale de Psychothérapie et par la ville de Vienne.
L'entreprise commerciale EMDR Institute, Inc. est chargée d'assurer la diffusion de cette thérapie dans la communauté clinique.
Étapes de la pratique de la thérapie EMDR
La thérapie EMDR se pratique en en huit étapes successives :
- Diagnostic et planification : la première phase de la thérapie consiste à s'assurer que l'EMDR est un traitement adapté au patient. Un aspect important de cette évaluation concerne la capacité de la personne à faire face aux souvenirs de l'événement traumatisant qui seront ravivés pendant la thérapie. Le thérapeute prépare alors avec le patient un plan de traitement.
- Préparation et relaxation : le thérapeute doit ensuite préparer son patient à l'EMDR en lui expliquant le déroulement de la thérapie. Il doit également s'assurer que le patient maîtrise quelques techniques de relaxation et est capable de contrôler les émotions succédant à une expérience désagréable.
- Évaluation : la phase suivante permet de déterminer les souvenirs qui feront l'objet du traitement. Pour chaque événement traumatisant, le patient doit choisir une image qui représente l'événement, une idée négative associée à l'événement (« cognition négative ») et une idée suceptible d'éléver l'estime de soi (« cognition positive »). Le patient évalue alors la validité de l'idée positive sur une échelle numérique. Il associe également l'image traumatisante et l'idée négative et évalue l'ampleur de sa détresse sur une échelle numérique (de 0 - tout va bien à 10 - détresse intense).
- Désensibilisation : le patient continue à penser à l'image traumatisante et à l'idée négative alors que le thérapeute lui demande de suivre avec les yeux un point lumineux qu'il déplace dans l'espace. D'autres stimuli (bruits successifs à gauche et à droite, claquement des doigts, stimulation tactile...) peuvent être également utilisés lors de cette phase. Le patient est encouragé à suivre les associations mentales qui se font naturellement pendant cet exercice et se sont ces associations progressives qui sont censées être au coeur du traitement. Cette phase du traitment continue jusqu'à que le patient évalue sa détresse à 0 ou à 1 sur l'échelle introduite lors de la phase précédente.
- Ancrage : la phase suivante vise à associer l'idée positive à ce qu'il reste du souvenir de l'événement traumatisant. Quand l'évaluation de la détresse atteint 1 ou 0, le thérapeute demande au patient de penser à l'objectif fixé en début de séance. Les mouvements oculaires continuent jusqu'à que le patient évalue la validité de la cognition positive à 6 ou à 7 sur la première échelle utilisée durant la phase 3. Les étapes 3 à 5 recommencent à chaque séance pour une nouvelle image traumatisante.
- Bilan corporel (body-scan) : le patient garde à l'esprit l'événement traumatisant et l'idée positive à laquelle il a été associé durant la phase précédente et passe en revue systématiquement ses sensations corporelles. Le but de cette phase est de repérer des « tensions » ou des « sensations négatives » qui subsisteraient et d'aider à les dissiper toujours à l'aide de séries de mouvements oculaires.
- Conclusion : à la fin d'une séance, le thérapeute doit faire en sorte que son patient se trouve dans un état émotionnel stable que le traitement soit terminé ou non. Il prépare également son patient à réagir correctement (relaxation, etc.), au cas où le souvenir de l'expérience traumatisante surgirait entre les séances.
- Réévaluation : au début de la séance suivante le thérapeute demande au patient de repenser au but fixé lors de la séance précédente. En fonction des réactions du patient, il évalue l'effet de la thérapie et adapte son déroulement en conséquence. Vers la fin de la thérapie, le patient est invité à tenir un journal concernant les souvenirs travaillés pendant les séances et les associations qui lui viennent à l'esprit en dehors des séances.
Originalité de la Thérapie EMDR
Un certain nombre d'aspects de la thérapie EMDR comme l'exposition au stimulus traumatisant, la relaxation et l'association sont empruntés à d'autres méthodes classiques utilisées pour traiter les effets du stress post-traumatique. L'aspect le plus original de la technique est l'utilisation de mouvements oculaires ou d'autres stimulations sensorielles sensées faciliter le fonctionnement neuronal. Cet aspect de la thérapie est l'élément le plus controversé.
Efficacité de la thérapie EMDR
Thérapie EMDR et stress post-traumatique
La thérapie EMDR a été spécifiquement développée comme une thérapie du syndrome de stress post-traumatique. Les études publiées (études de cas et essais cliniques) concernent donc principalement des patients souffrant de certaines formes d'anxiété à la suite d'un événement traumatisant. Deux populations sont particulièrement étudiées par les chercheurs : les femmes victimes de viol et les vétérans, essentiellement de la guerre du Viêt Nam. Peu de traitements validés existent pour les problèmes rencontrés par ces patients et aucune thérapie ne permet à coup sûr de les résoudre. Les thérapies les plus recommandées à l'heure actuelle sont des formes de thérapie cognitivo-comportementale, basées sur l'exposition contrôlée aux situations génératrices d'anxiété (exposure therapy).
L'absence de solution satisfaisante pour ces patients et les promesses avancées par les créateurs de la thérapie EMDR ont suscité un intérêt grandissant et des controverses sur la validité scientifique de cette thérapie. La plupart des études concluent cependant à l'efficacité de la thérapie EMDR, et à sa reconnaissance dans les recommandations de traitement du syndrome de stress post-traumatique par des instances comme l'INSERM en France (2004), l'American Psychiatric Association (2004), le departement de la défense et les hopitaux des vétérans aux Etats-Unis (2004), le National Institute for Clinical Excellence du Royaume Uni (2005) (voire références ci-dessous).
La comparaison avec l'efficacité d'autres thérapies d'orientation cognitivo-comportementale montre des effets comparables immédiatement après la période de traitement et sur le long terme (jusqu'à 15 mois de suivi), sans que la thérapie EMDR ne requière les multiples séances d'auto-exposition hors des séances de traitement qui sont nécessaires pour l'éfficacité des autres approches (Ironson et al. 200; Lee et al., 2002; Power et al., 2003; Taylor et al. 2004; Rothbaum et al., 2005).
La thérapie EMDR s'est aussi avérée efficace dans le traitement d'autres troubles psychologiques qui se sont développés dans le contexte d'événements de vie douloureux. Ceci comprend le traitement des états de deuil suite à la perte d'un être cher (Sprang et al. 2001), les troubles de la conduite avec aggressivité des adolescents (Soberman, 2002), ou les phobies dentaires (de Jongh, 2002 - étude de cas, sans groupe contrôle).
Mouvements oculaires et Thérapie EMDR
La grande découverte de l'EMDR est l'utilisation de mouvements oculaires rapides durant la phase d'exposition imaginaire à la situation traumatisante. Ces mouvements oculaires rappellent ceux que l'on enregistre durant le sommeil. Ils facilitent incontestablement le traitement des informations à l'origine de la souffrance du patient et relancent les processus bloqués par le stress. De nombreuses recherches contemporaines se poursuivent pour expliquer ces effets et valider empiriquement le modèle proposé par Francine Shapiro.
La procédure utilisée par l'EMDR s'appuie également sur de nombreuses autres approches thérapeutiques et a très peu évolué depuis l'apparition de cette technique. Ces caractéristiques, justifiées par le souci louable d'optimiser l'efficacité du traitement, pourraient rendre difficile une évaluation précise de son efficacité, si celle-ci n'était pas largement vérifiée par de nombreuses études contrôlées et méta analyses (intégration des résultats de plusieurs études). Malgré son éclectisme et sa complexité les résultats obtenus grâce la thérapie n’autorisent guère d’interprétations divergentes. Les résultats obtenus sont largement probants dans la grande majorité des cas (plus de 80%).
Les études menées ont réussi à convaincre de l'efficacité non seulement de l’efficacité des mouvements oculaires dans la thérapie, mais aussi de toute autre forme de stimulation sensorielle cérébrale alternée (Par le toucher ou par des sons). Les résultats obtenus par l'EMDR sont très supérieurs à ceux des autres psychothérapies, comme les thérapies cognitivo-comportementales, avec lesquelles la thérapie EMDR partage la procédure classique d'exposition contrôlée au stimulus anxiogène. La différence étant la durée de cette exposition, quelques minutes pour la thérapie EMDR, plusieurs heures durant plusieurs jours suivis d’exercices et devoirs à la maison, pour cette dernière. Ce que les thérapies comportementales et cognitives obtiennent en 6 ou 8 mois, la thérapie EMDR le réalise très souvent en une séance.
Informations complémentaires
Formations à la thérapie EMDR
Le nom "EMDR" est une marque déposée par l'institut créé par Francine Shapiro. En France, c'est l'association EMDR France qui propose la formation à cette thérapie.
Bibliographie en langue française
SERVAN-SCHREIBER, David, Guérir. Robert Laffont - 2003
SHAPIRO, Francine, "Des yeux pour guérir", Editions du Seuil, 2005
ROQUES, J., « EMDR- Une révolution thérapeutique », La méridienne, Desclée Debrouwer, parution sept. 2004
MADOUN Sophie, et Dr DUMONTEIL Danielle, « ABC de l'EMDR », 2005 Remarque : David Servan-Schreiber n’avait pas souhaité voir diffuser ce dernier livre dont le contenu n’a guère de rapports, hormis le titre, avec ce qu'est vraiment la thérapie EMDR et dont la parution se faisait dans une collection plus attachée à l’ésotérisme qu’à celle d’ouvrages scientifiques. Cette position a habilement été commercialement utilisée par l’éditeur à des fins promotionnelles. Voir la réponse de David Servan-Schreiber à la critique du Canard Enchaîné : http://ambreproductions.net/EMDR/OLD/DocumentspoursiteEMDR/Fichierutilises/Lettre-Canard-Enchaine.pdf
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Recommandations Internationales pour le Traitement du Stress Post-Traumatique
• INSERM (2004). Psychotherapy : An evaluation of three approaches. French National Institute of Health and Medical Research, Paris, France. Parmi les trois formes de psychothérapies étudiées, la thérapie EMDR et la TCC sont considérées comme des traitements du choix pour des victimes de traumatisme.
• American Psychiatric Association (2004). Practice Guideline for the Treatment of Patients with Acute Stress Disorder and Posttraumatic Stress Disorder. Arlington, VA: American Psychiatric Association Practice Guidelines La thérapie EMDR est classée au même rang que la TCC comme traitement efficace des syndromes de stress post-traumatique, qu’ils soient aigus ou chroniques.
• Bleich, A., Kotler, M., Kutz, I., & Shalev, A. (2002). A position paper of the (Israeli) National Council for Mental Health: Guidelines for the assessment and professional intervention with terror victims in the hospital and in the community. Jerusalem, Israel. La thérapie EMDR est l'une des trois méthodes recommandées pour le traitement des victimes d’actes de terrorisme.
• Chambless, D.L. et al. (1998). Update of empirically validated therapies, II. The Clinical Psychologist, 51, 3-16. Selon le rapport d’évaluation du groupe de travail nommé par la division clinique de l’American Psychological Association, les seules méthodes auxquelles on reconnaisse empiriquement de la valeur dans le traitement de n’importe quelle population de victimes de syndrome de stress post-traumatique sont : la thérapie EMDR, la thérapie d’exposition et la thérapie d'inoculation d'effort.
• CREST (2003). The management of post traumatic stress disorder in adults. A publication of the Clinical Resource Efficiency Support Team of the Northern Ireland Department of Health, Social Services and Public Safety, Belfast. Parmi toutes les psychothérapies, la thérapie EMDR et les TCC sont considérées par cette étude comme des traitements de choix pour les victimes de traumatismes.
• Department of Veterans Affairs & Department of Defense (2004). VA/DoD Clinical Practice Guideline for the Management of Post-Traumatic Stress. Washington, DC. http://www.oqp.med.va.gov/cpg/PTSD/PTSD_cpg/frameset.htm La thérapie EMDR est l'une de quatre thérapies auxquelles l’étude reconnaît le plus haut degré d’efficacité et qu’elle recommande pour le traitement du syndrome de stress post-traumatique
• Dutch National Steering Committee Guidelines Mental Health Care (2003). Multidisciplinary Guideline Anxiety Disorders. Quality Institute Heath Care CBO/Trimbos Intitute. Utrecht, Netherlands. La thérapie EMDR et la TCC sont deux traitements de choix pour le syndrome de stress post-traumatique
• Foa, E.B., Keane, T.M., & Friedman, M.J. (2000). Effective treatments for PTSD: Practice Guidelines of the International Society for Traumatic Stress Studies New York: Guilford Press. Dans le « Pratice Guidelines of the International Society for Traumatic Stress Studies » (Recommandations de bonnes pratiques de la Société internationale pour l’étude du stress traumatique), la thérapie EMDR est citée comme étant un traitement efficace du syndrome de stress post-traumatique.
• Sjöblom, P.O., Andréewitch, S . Bejerot, S., Mörtberg, E. , Brinck, U., Ruck,
C., & Körlin, D. (2003). Regional treatment recommendation for anxiety
disorders. Stockholm: Medical Program Committee/Stockholm City Council, Sweden.
Parmi toutes les psychothérapies, la TCC et la thérapie EMDR sont recommandées
comme traitements de choix pour le syndrome de stress post-traumatique.
Liens externes
Promotion de l'EMDR
- Association EMDR-France le site de l'association EMDR-France
- EMDR Institute Site de promotion de la technique
- [http://www.emdrrevue.com la revue officielle de l'EMDR en langue française
Evaluations & critiques
- Synthèse de différentes méta-analyses par l'INSERM dans laquelle la thérapie EMDR est classée comme une thérapie cognitivo-comportementale.
- Article EMDR sur le site Charlatans.info
- La page EMDR sur le site « Skeptic dictionary »